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Alexia Tarabotti est sommée de présenter sa petite Prudence à la Reine vampire de la ruche d'Alexandrie, la plus vieille des vampires. Accompagnée de son époux et de sa fidèle amie Ivy, elle-même munie de son acteur de mari et de toute leur troupe de théâtre, elle débarque en Egypte.

Ah, j'ai quand même bien rigolé ! le couple Alexia-Conall est si amusant, la petite Prudence, tout autant. C'est agréable de lire cette série, elle ne se prend au sérieux et met l'accent sur l'humour et la légèreté tout en plaçant l'histoire dans un contexte steampunk bien léché.

Par contre, je vois que c'est le dernier volume sorti pour le moment. Même en anglais, rien. Il va falloir attendre. Dommage...
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Ce tome est selon toute apparence le dernier volume des aventures d'Alexia et compagnie.

Toute chose a une fin et il était temps me semble-t-il que la série autour d'Alexia ait une fin.
Cette série était une de mes séries bit-litt/fantastique favorites mais j'avoue que le dernier tome m'a moins emballée que les autres.
Je l'ai lu en plusieurs fois au lieu de le dévorer, comme cela a été le cas pour les autres volumes.
Est-ce dû au fait que l'humour de la série a fait long feu, que l'intrigue était moins trépidante que précédemment, que l'histoire était partagée entre ce qui arrivait à Alexia et sa famille en Egypte et la romance de Biffy resté à Londres?

C'est sûr qu'on en apprend plus sur le professeur Lyall mais comme il n'a jamais été un personnage intéressant pour moi, j'ai suivi avec peu d'enthousiasme son histoire avec Biffy.
En tout cas, cela permet de clore intelligemment la série et d'imaginer clairement ce que sera le futur des personnages, une fois la série finie.
Ce qui est pas rien, surtout quand on a des protagonistes immortels.

En résumé, même si j'ai moins apprécié ce tome-ci de cette série steampunk avec vampires et loups-garous, elle reste une série de qualité, plutôt originale qui voit évoluer les personnages et leurs relations au fil des tomes et qui déploie une véritable intrigue et non seulement une toile de fond à une éième romance, comme c'est le cas de pas mal de séries fantastique où l'on ne lit que pour savoir avec qui l'héroïne va finir.
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Et voici le dernier tome des aventures de notre chère Alexia. Je l'avais dans ma bibliothèque depuis un petit moment déjà, mais j'avoue avoir retardé le moment de le lire encore et encore. Je sais qu'il y a une suite avec Prudence (qui va se laisser désirer…) mais même en sachant cela, il est difficile de quitter une héroïne comme lady Maccon.

Je ne savais plus trop à quoi m'attendre en commençant ma lecture. J'avais délibérément mis de côté le résumé, voulant garder un peu de surprise. Et je n'ai pas été déçue bien que je trouve que certains éléments de ce dernier tome manque un peu d'explications. On ne s'ennuie pas une seconde, j'ai lu le roman d'une traite et les différentes intrigues qui se mêlent les unes aux autres sont toujours autant sympathiques à suivre. J'ai beaucoup aimé le fait que nous ayons deux narrateurs : Alexia et Biffy. Ce dernier a su prendre de l'importance petit à petit, et bien que je ne m'attendais pas à ce que le personnage devienne aussi important, j'en suis très ravie. Gail Carriger a su fomenter une fin tout à fait parfaite pour nombres de ses personnages et j'en suis plus que ravie.

L'histoire en elle-même nous fait voyager en Egypte. Nous changeons radicalement de décor, mais nombres de personnages suivent Alexia dans son nouveau périple et nous ne sommes pas tellement dépaysés. Nous nous retrouvons deux ans après la fin du tome quatre (bien que quelque fois dans le récit, l'auteur nous donne l'impression qu'une décennie s'est écoulée). Il n'y a pas eu beaucoup de changements, et ce petit lapse de temps nous permet aussi d'avoir des interactions plus intéressantes avec Prudence, la fille d'Alexia et Conall. Cette dernière montre déjà un caractère bien trempée et elle est vraiment adorable. La voir évoluer avec ses parents étaient très attendrissant. Alexia, elle-même, a beaucoup changé. Pas vraiment dans son caractère, elle reste la même, mais elle semble plus « humaine » dans le sens où son manque d'âme, la caractéristique des paranaturels, semble quelque peu se dissiper. Elle est moins distante par rapport à ses sentiments, et c'est très plaisant. Voir Conall en papa poule, bien que moments assez rare, était aussi un pur plaisir.

Mais il y a aussi les enquêtes. Non, ce cinquième tome n'est pas qu'amour et tendresse. D'une part, Alexia enquête sur son père. Un homme qui reste encore un mystère pour moi. On en découvre ainsi encore un petit peu plus sur le surnaturel mais rien de bien folichon. J'aurais aimé en découvrir beaucoup plus. L'enquête en elle-même est palpitante avec des voyages, des rencontres, des combats, mais ma curiosité n'a pas été assez assouvie. C'est un peu dommage. La seconde enquête, intimement liée à la première, se déroule à Londres avec Biffy et Lyall. Et de ce point de vue là, c'est surtout les interactions de Biffy et Lyall que j'ai appréciées. L'enquête étant un peu en second plan, Gail Carriger se concentre plus sur l'évolution du louveteau. Et, bien que ces passages soient courts, je les ai adorés. J'aurais aimé le voir évoluer encore plus (peut-être avec la série consacrée à Prudence ‼) car c'est un personnage avec du potentiel, et en fin de compte, il est le seul surnaturel que l'on voit devenir surnaturel. L'avoir connu humain, puis loup-garou avec toutes ces phases d'adaptation et d'évolution était vraiment chouette. Sans compter sa personnalité : un pur régal.

Le tout est toujours saupoudré d'humour, d'une petite touche british, d'action, de découvertes et de voyages palpitants. Un vrai plaisir. Je ne regrette pas du tout d'avoir commencé cette série qui n'a cessé de me plaire tout du long. L'auteure a une plume que j'apprécie énormément, et même si je n'ai pas entendu que du bien de son autre série, je me ferai un plaisir de la lire.
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Nous y sommes, le bout du tunnel et la fin des aventures d'Alexia Tarabotti, alias Lady Maccon. Et j'en ressors éblouie, le tout s'est achevé de toute beauté, un véritable feu d'artifice. On a enfin les réponses tant attendues à presque toutes nos questions, il ne reste que très peu de mystères. de plus, l'auteure arrive à nous étonner de bien des façons et cela dès la première page en nous annonçant que 3 ans se sont écoulés depuis le livre précédent. Mais que cela ne tienne, Alexia Maccon n'est pas une personne à rester au calme et elle se lance dans de nouvelles folles aventures en famille et en Egypte !

Et quelles aventures ! Alexia a changé bien entendu, la maternité l'a responsabilisé et elle est plus soudé avec la meute, avec Lord Akeldama et surtout son mari. Pourtant, elle reste toujours égale à elle-même, attirant les ennuis comme un aimant, un trait de caractère parmi tant d'autres qu'elle a légué à sa fille. Prudence est une fillette de 2 ans adorable et à mourir de rire, elle est la principale source d'humour de l'histoire. Elle est à part, précoce et maligne, une aide inattendu du haut de ses peu d'années d'existence. Quand à Connall, il semble être épanoui grâce à sa famille, il est plus doux et tendre que jamais et il pense déjà à l'avenir.

Les alliés des Maccon sont toujours aussi présent, avec quelques petits nouveaux inattendus puisque le couple Tunstell ont eu des jumeaux. Loin d'être aussi précoce ou amusant que Prudence, ils jouent un certain rôle. Mais bien évidemment c'est leur mère qui est la plus fervente aide de Lady Maccon, une Ivy qui se montre étonnement censée. Lyall et Biffy resté à Londres doivent résoudre une affaire de meurtre qui va tout changer pour la meute, tout comme leur rapprochement qu'on n'avait pas vu venir.

Bref, toute la petite famille part visiter l'Egypte et ses mystères, résolvant bien plus qu'une enquête et des révélations sont faites, détruisant bien des choses sur le chemin. Entre vampires, pharaons et paranaturels, sans oublier quelques créatures métalliques, une pièce de théâtre loufoque et des voyages en ballon, on ne se repose pas un seul instant, jonglant entre plusieurs intrigues qui sont intimement liées les unes aux autres. Que ce soit la mission d'Alexia et le passé de son père, les problèmes de Connall et l'enquête de Biffu, tout est lié depuis le début.

Ce livre clôture bel et bien cette saga qui n'a été qu'en se bonifiant, devenant de plus en plus intéressant et étonnant. Je me suis totalement accroché à cet univers complexe et original, me donnant qu'une seule hâte : découvrir les 2 spin-off qui se déroule 20 ans plus tôt avec Sighead entre autres, et l'autre 20 ans dans le futur avec notre chère Prudence et d'autres petites têtes blondes bien connues. le Protectorat de l'Ombrelle n'a pas encore dit son dernier mot !
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Un superbe dernier tome! On découvre une autre facette de plusieurs personnages : Alexia, professeur Lyall, Biffy et Floote! J'aime beaucoup la petite Prudence qui a déjà une grande personnalité du haut de ses 2 ans et qui n'est pas sans rappeler sa maman.
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Dans ce dernier tome, on retrouve le même univers de fantasy urbaine mâtiné de steampunk que dans les 4 tomes précédents, là où nous avions laissé Lady et Lord Maccon. Une des miettes de pain semée lors d'un des tomes précédents est ramassée et nous embarquons pour l'Egypte afin de découvrir qui ose sommer Alexia de faire quelque chose. le voyage est toute une histoire à lui seul, une vraie pièce de théâtre :3

[...]

Ce tome clôt magnifiquement la série, avec un ou deux rebondissements notables (mais spoil donc bon, faut plutôt lire ce tome) mais surtout des réponses à toutes les questions ouvertes dans les tomes précédents. L'alternance du récit entre le voyage des Maccon en Egypte et ce qu'il se passe à Londres permet de tout régler.

[Plus de détails sur le bloug !]
Lien : http://le-fataliste.fr/justi..
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Il me tardait de lire ce dernier tome de la série du protectorat de l'ombrelle que j'ai continué sur ma lancée avec la LC.

Je trouve que cette série est géniale dans les 3 premiers tomes : on découvre un univers steampunk, des personnages hauts en couleurs, de l'humour et des intrigues autant intéressantes qu'hilarantes.

Mais déjà le tome 4 je l'ai trouvé moins captivant. Et pour ce tome ci, j'y ai trouvé des longueurs. Et soit je ne l'ai pas lu dans une bonne période, soit je ne sais pas, mais j'ai trouvé l'humour pénible. J'avais l'impression de tourner en rond, comme si ce livre ne pouvait pas avancer sans cet humour. Je ne dis pas que je n'ai pas trouvé cela drôle à certains moments, mais que « tout le temps » ça alourdit l'intrigue. Surtout que dans ce dernier tome, j'ai aimé l'intrigue et que l'on découvre les dernières informations sur les effets du Fléau des Dieux, et sa conséquence sur les paranaturels, les surnaturels et les métanaturels. C'était très intéressant à découvrir.

Je n'ai pas non plus accroché autant que les premiers tomes sur les inventions steampunks, tels que les ballons voyageurs, l'ombrelle d'Alexia, la coccinelle mécanique pour enfant… Ou encore les excentricités d'Ivy sur les convenances, ou ses chapeaux… J'ai l'impression de m'être lasser de l'univers, comme si il y en avait trop, encore une fois, j'adore, mais comme il n'y a que ça, ça devient encore une fois lourd.

Ce tome n'est pas non plus négatif, comme je le disais, l'intrigue m'a plu, découvrir l'Egypte et de nouvelles « cultures » m'a intéressé. Et d'autres moments, m'ont touché. Comme la relation entre Biffy et le professeur Lyall qui se développe. Je l'ai trouvé touchante et mignonne. On n'était pas dans l'excès, et ça m'a plu. Ils se découvrent, ils passent beaucoup de temps ensemble, et apprennent à se connaître tous les deux. Ces passages ont permis une pause dans ma lecture, et j'ai apprécié ces moments. D'autres moments, même pleins d'humour m'ont plu, comme ceux où la petite Prudence se transforme, sous les yeux des voisins, en petit loup qui coure partout et qui veut jouer, ou le moment du bain.

En bref, un roman qui m'a moins plu, moins captiver. L'humour est toujours aussi présent, mais je l'ai trouvé lourd. Malgré ça, un dernier tome intéressant au niveau de l'intrigue, qui conclut bien la série et l'univers de l'auteur. Une série à découvrir.
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Une fin de saga exceptionnelle.

C'est avec tristesse mais avec un plaisir non dissimulée que j'ai voulu connaître la fin des aventures d'Alexia Tarabotti, une femme comme je les aime dans un univers que j'affectionne particulièrement. Et oui, il fallait que je puisse savoir ce qu'allait devenir la petite du couple Maccon. Comment leur relation allait évoluer (ou pas, ils s'aiment toujours autant et avec la même passion et surtout le même ironie). Bref, ce dernier tome allait me permettre de quitter, de faire le deuil de cette saga et de cet univers qui m'a littéralement mise de bonne humeur ces dernières années. Cail Garriger a une plume particulière mais aussi une plume particulière. Et je dois dire que ce tome qui clôt le tout est juste parfait .


En effet, on saura l'avenir de Biffy, les affres de Lord Akeldama lorsqu'il doit élever Prudence, les bêtises de Prudence, les chapeaux d'Ivy, l'avenir de Madame Lefoux, les origines d'Alexia, les envies de Lord Maccon. Oui, cela fait beaucoup et l'on ne s'arrête pas du tout dans les intrigues et dans le rythme du livre.


La juste mesure et l'humour anglais au rendez vous.

Enfin, je ne dirai même pas l'humour anglais, je dirai plutôt l'humour et le sens pratique d'Alexia. Cail Garriger a choisi d'accélérer un peu le rythme mais elle n'en a pas fait de trop. A la limite, la saga aurait continué quelques tomes de plus, cela ne m'aurait pas non plus dérangé. Mais là, j'avoue que cela se termine sur une fin de cycle pour nos personnages principaux. Et c'est ça qui est top. Car on est assurés que cette partie là du Protectorat de l'ombrelle est terminée et que peut être on s'intéressera plus tard à d'autres personnages.

Aussi, oui je sis toujours triste que cette saga soit achevée mais en même temps, j'attends l'auteure au tournant sur d'autres fronts. Histoire de voir si elle pourra se renouveler. (ou pas). En espérant avoir tout de même quelques fois des nouvelles d'Alexia. Car elle me manquera beaucoup :)
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Résumé : " Une histoire de vampires, de loups-garous et de momies. Lady Maccon, Alexia Tarabotti, est en pleine béatitude domestique. Une béatitude à peine troublée par la fréquentation de quelques loups-garous de la haute société et celle du second placard préféré d'un vampire, sans oublier un bambin précoce ayant des dispositions incontrôlables au surnaturel... Mais Alexia vient de recevoir un ordre qu'elle ne peut ignorer. Avec mari, enfant et Tunstells, elle embarque à bord d'un bateau à vapeur pour traverser la Méditerranée. Direction, l'Egypte, un pays qui pourrait bien tenir en échec l'indomptable Alexia. Pourquoi une des plaies d'Egypte s'abat-elle de nouveau sur le pays ? Que lui veut la Reine vampire de la ruche d'Alexandrie ? Et comment diable Ivy est-telle devenue du jour au lendemain l'actrice la plus populaire de tout l'Empire britannique ?"

nous voilà arrivés à la fin de la fantastique saga de Gail Car mais cela ne suffit pas à nous tenir en haleine
Sauf que ce dernier tome m'a beaucoup déçu. Ppour un peu on s'ennuierait presque. En tout cas, les 100 premières pages ne sont que détails, certes amusant et incongrus, sur le nouveau mode de vie de Lord Akeldama, Alexia et sa famille, mais cela ne suffit pas à nous tenir en haleine.
On apprend que la petite Prudence change de forme au contact de Supernaturels et se sont bien là les seuls moments drôles. Même le voyage en ballon jusqu'en Égypte est ennuyeux.

Heureusement qu'il y a un peu d'action à la fin du livre. Cependant l'impression globale de ce tome est que l'auteur s'essouffle. L'énigme principale est un peu bâclé avec la révélation de la solution qui découle de la logique.
Je m'attendais à plus d'imagination et de panache pour une fin en apothéose. Même la fin ne semble pas coller avec le principe même d'écriture du reste de la série.
Dommage...
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Le protectorat de l'ombrelle (pour ceux qui ne connaisse pas) est un parfait mélange de steampunk et de fantastique. On se retrouve donc en pleine Angleterre victorienne, à Londres plus exactement, avec une multitudes d'avancées scientifiques propre à ce sous genre de la science fiction. Des dirigeables, aux armes, jusqu'au coccinelle mécanique en cuivre, tout y est pour émerveiller le lecteur.

A tout cela, s'ajoute un univers fantastique travaillé et original. de premier abord, on pourrait penser que cet aspect du livre est traditionnel. On retrouve des loups-garous, des vampires et des fantômes. Cependant leur organisation est loin de l'être. de plus, Gail Carriger a proposé des personnages totalement originaux: les paranaturels. Les paranaturels sont des êtres humains capables de rendre les personnages fantastiques humains.
Cette univers a été lorsque je l'ai découvert nouveau et pétillant. Et même après cinq tomes, il ne perd rien de son éclat.

Attention, à ce niveau là, il risque d'y avoir des informations sur les tomes antérieures. Je conseille au personne n'ayant pas lu ces tomes de se rendre à mon avis final (En bref)

J'ai adoré retrouver les personnages dans ce tome. Alexia, l'héroïne est le genre de personnage que j'adore: perspicace, en avance sur son temps, elle possède une forte répartie et une fâcheuse tendance à se retrouver dans les ennuies (tout en gardant calme et bienséance!). Alexia possède vraiment beaucoup de qualité et son franc parler est de loin celle que je préfère. Maccon est aussi un personnage que j'aime beaucoup. Il est très macho au premier abord, brusque (à cause de son côté loup-garou), mais il a une entière dévotion à sa femme, à sa famille et à sa meute. Et il a su me charmer depuis longtemps.

Gail Carriger nous propose toute une série de personnages secondaires: du loufoque vampire Lord Akeldama, en passant par le dandy loup-garou Luffy, ou à la scientifique française Mme Lefoux, jusqu'à la comédienne Ivy, amie d'Alexia et fan de chapeau les plus volumineux et coloré. Tous ces personnages sont très hétéroclitiques et apporte de l'excentricité au livre. Et moi, j'adore ça.

De plus, on découvre dans ce tome, Prudence la fille d'Alexia et Maccon. Et on peux dire que c'est bien la digne fille de ces parents. Elle présente des caractéristiques pour le surnaturel surprenant. Cela à vraiment donner de la nouveauté à ce tome, et je peux dire que cela rendu carrément explosif. :)

J'ai beaucoup aimé ce tome dont les aventures se déroulent en Egypte. Gail Carriger nous entraine dans une intrigue dynamique. Elle répond aux nombreux questions qu'elle a soulevé dans les tomes précédents. (J'ai d'ailleurs du me rafraîchir la mémoire). C'est fait avec brio. Il se passe de nombreux bouleversements au cours de ce tome, pour lequel j'ai ri, eu peur, pleuré, souris. L'auteure a su me faire passer par des multitudes d'émotions.

Le style d'écriture de Gail Carriger est sensiblement identique à celui des tomes précédents. Elle utilise un dialecte proche de celui du dix-neuf ème siècle, auquel s'entremèle des nombreuses notes d'humours sur les coutumes ou la bienséance de l'époque. Pour les personnes n'ayant pas l'habitude de ce style là, il peux surprendre. Mais je trouve que c'est un style qui fonctionne parfaitement à l'histoire.

En Bref,

Sans âge de Gail Carriger est une très très très (très très) bonne lecture; un petit coup de coeur pour moi. Il m'a fait passer par beaucoup d'émotions différentes et j'ai adoré l'univers.
Mon seul regret est de quitter tous ces personnages et ce monde.
Le protectorat de l'ombrelle restera une série que je recommanderais chaudement à tous les lecteurs qui cherche quelques choses d'originale.

18/20
Petit coup de coeur
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