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Je crois avoir dévoré cette série en moins d'un mois et cela aura été une excellente découverte, tant de l'autrice de que cet univers qui avait déjà tout pour me séduire.

Dans ce tome-ci, on a vraiment l'impression que la boucle doit être bouclée. Alexia doit aller en Egypte, là où l'on retrouve les momies paranaturelles du tome 2 qui font tant de dégâts. L'occasion également de faire le point sur le père d'Alexia, son passé, ses entreprises. L'occasion également de préparer l'avenir comme il convient, avec toute une série de solutions "élégantes" dirons nous. En somme, une fin réussie pour un cycle qui m'a beaucoup séduit.

L'univers reste toujours aussi plaisant : steampunk, bit-lit, une dose de romance bienvenue, avec des créatures non-naturelles originales telles que les paranaturelles et surtout, à présent les métanaturelles.
Aux personnages charmants de ce cycle, s'ajoute une touche de splus charmantes : Prudence Alessandra Maccon Akeldama, petit bout de chou de 2 ans, véritable terreur par moment!
Le rythme est resté bien dosé, la narration toujours plus fluide avec une bonne dose d'humour. C'est sûr que les convenances de l'époque victorienne et la nudité régulière des loups-garous ne font pas bon ménage, mais qu'est-ce que ça donne comme scène !
A cet humour, on peut ajouter de l'émotion, encore plus que dans les autres tomes. Nos personnages se trouvent, se perdent, se retrouvent. Tout cela, toujours dans un bilan adéquat à terme.

J'ai adoré ce cycle, j'ai adoré la plume de cette autrice. J'ai cru comprendre qu'un spin-off concernait Prudence adulte. J'avoue être bien tentée même si le fait que 2 tomes sur 4 seulement ont été traduits à ce jour me freine un peu je l'avoue. Dans tous les cas, si ce n'est pas prochainement, il est certain que je lirai avec plaisir de nouveau le plume de Gail Carriger.
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Et voici le dernier tome des aventures de notre chère Alexia. Je l'avais dans ma bibliothèque depuis un petit moment déjà, mais j'avoue avoir retardé le moment de le lire encore et encore. Je sais qu'il y a une suite avec Prudence (qui va se laisser désirer…) mais même en sachant cela, il est difficile de quitter une héroïne comme lady Maccon.

Je ne savais plus trop à quoi m'attendre en commençant ma lecture. J'avais délibérément mis de côté le résumé, voulant garder un peu de surprise. Et je n'ai pas été déçue bien que je trouve que certains éléments de ce dernier tome manque un peu d'explications. On ne s'ennuie pas une seconde, j'ai lu le roman d'une traite et les différentes intrigues qui se mêlent les unes aux autres sont toujours autant sympathiques à suivre. J'ai beaucoup aimé le fait que nous ayons deux narrateurs : Alexia et Biffy. Ce dernier a su prendre de l'importance petit à petit, et bien que je ne m'attendais pas à ce que le personnage devienne aussi important, j'en suis très ravie. Gail Carriger a su fomenter une fin tout à fait parfaite pour nombres de ses personnages et j'en suis plus que ravie.

L'histoire en elle-même nous fait voyager en Egypte. Nous changeons radicalement de décor, mais nombres de personnages suivent Alexia dans son nouveau périple et nous ne sommes pas tellement dépaysés. Nous nous retrouvons deux ans après la fin du tome quatre (bien que quelque fois dans le récit, l'auteur nous donne l'impression qu'une décennie s'est écoulée). Il n'y a pas eu beaucoup de changements, et ce petit lapse de temps nous permet aussi d'avoir des interactions plus intéressantes avec Prudence, la fille d'Alexia et Conall. Cette dernière montre déjà un caractère bien trempée et elle est vraiment adorable. La voir évoluer avec ses parents étaient très attendrissant. Alexia, elle-même, a beaucoup changé. Pas vraiment dans son caractère, elle reste la même, mais elle semble plus « humaine » dans le sens où son manque d'âme, la caractéristique des paranaturels, semble quelque peu se dissiper. Elle est moins distante par rapport à ses sentiments, et c'est très plaisant. Voir Conall en papa poule, bien que moments assez rare, était aussi un pur plaisir.

Mais il y a aussi les enquêtes. Non, ce cinquième tome n'est pas qu'amour et tendresse. D'une part, Alexia enquête sur son père. Un homme qui reste encore un mystère pour moi. On en découvre ainsi encore un petit peu plus sur le surnaturel mais rien de bien folichon. J'aurais aimé en découvrir beaucoup plus. L'enquête en elle-même est palpitante avec des voyages, des rencontres, des combats, mais ma curiosité n'a pas été assez assouvie. C'est un peu dommage. La seconde enquête, intimement liée à la première, se déroule à Londres avec Biffy et Lyall. Et de ce point de vue là, c'est surtout les interactions de Biffy et Lyall que j'ai appréciées. L'enquête étant un peu en second plan, Gail Carriger se concentre plus sur l'évolution du louveteau. Et, bien que ces passages soient courts, je les ai adorés. J'aurais aimé le voir évoluer encore plus (peut-être avec la série consacrée à Prudence ‼) car c'est un personnage avec du potentiel, et en fin de compte, il est le seul surnaturel que l'on voit devenir surnaturel. L'avoir connu humain, puis loup-garou avec toutes ces phases d'adaptation et d'évolution était vraiment chouette. Sans compter sa personnalité : un pur régal.

Le tout est toujours saupoudré d'humour, d'une petite touche british, d'action, de découvertes et de voyages palpitants. Un vrai plaisir. Je ne regrette pas du tout d'avoir commencé cette série qui n'a cessé de me plaire tout du long. L'auteure a une plume que j'apprécie énormément, et même si je n'ai pas entendu que du bien de son autre série, je me ferai un plaisir de la lire.
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Toutes les bonnes choses ont une fin et c'est tant mieux. Dans ce dernier tome, Alexia reçoit une invitation de la part de la Reine vampire, de la ruche d'Alexandrie, la priant instamment de la rejoindre en Egypte avec sa fille Prudence, l'"Abomination".
C'est donc accompagnées de Lord Maccon, de Mme Lefoux, de la famille Tunstell et de leur troupe de théâtre, qu'elles embarquent pour le pays des pharaons ...
Je n'aurais peut-être pas dû lire les cinq tomes les uns à la suite des autres. J'ai éprouvé une certaine lassitude ... Lecture distrayante, un brin loufoque, mais sans plus ... assez prévisible dans son ensemble.

Challenge Multi-auteures SFFF
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HAAAAAAA zut, c'est fini... Bon heureusement on a la possibilité de retrouver nos personnages favoris dans les aventures de la fille des Maccon !

D'ailleurs leur fille, Prudence (elle porte tellement mal son nom), est au coeur de ce dernier volume, avec ses habilités extraordinaires elle attire la convoitises de personnes extrêmement importantes. Heureusement tous ses parents veillent au grain.
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Changement de décor pour ce cinquième et (actuel) dernier tome du « Protectorat de l'Ombrelle ». En compagnie de l'indomptable et têtue comme une mule Alexia Maccon et de sa petite famille, nous délaissons le brouillard londonien pour le soleil brûlant d'Egypte. Bien que le voyage relève plutôt de l'excursion touristique que d'une véritable plongée dans l'Egypte coloniale, le dépaysement reste agréable et évite à la saga de tomber dans la monotonie. Il faut bien reconnaître cependant qu'une certaine lassitude se fait sentir… L'intrigue est amusante mais sans plus et les traits d'humour commencent à se faire un peu répétitifs. Quelques retournements de situation particulièrement tirés par les cheveux m'ont également laissée assez dubitative.

Tout n'est pas noir pour autant : malgré quelques redites, le plaisir de retrouver la plupart des personnages reste intact. J'avoue avoir suivi avec un intérêt tout particulier la storyline de ce bon professeur Lyall resté à Londres pour l'occasion afin de gérer le bordel quotidien de la meute pendant que les Maccon faisaient du camping à l'ombre des pyramides : certes, toute cette petite histoire était fort prévisible, mais très réjouissante à suivre tout de même ! La fin du roman est un autre bon point, puisqu'elle redistribue un peu les cartes et laisse espérer des changements importants pour l'avenir, ce qui pourrait donner au « Protectorat de l'Ombrelle » le petit coup de fouet dont il commence à avoir besoin.
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Lord Maccoon et lady Alexia ont la joie de vous annoncer la naissance de leur premier enfant. Tous sont d'accord sur le sujet : ce n'est pas une fille, c'est une abomination. Alexia ne proteste pas, non, elle a suffisamment de contrôle sur soi pour demander à son interlocuteur de reformuler sa phrase. « Son enfant », « sa fille », ou « Prudentia » conviennent mieux à la jeune maman.
IL faut un village pour élever un enfant, disait Hillary Clinton. Pour élever Prudentia Maccon Akeldama (du nom de son papa adoptif), il faut une meute de loups garous surentraînés, des drones, des amies de maman dévouées, et un papa adoptif vampire. Je vous rassure, elle n'est pas si terrible que cela, la petiote, sauf quand il s'agit de lui donner son bain. Là, personne ne répond plus de rien, mais meurt littéralement d'envie de poser des RTT.
Enfant différente ? Bien sûr ! La fille d'un loup-garou et une paranaturelle ne peut qu'être hors norme – et les voisins doivent s'habituer à voir parfois un louveteau courir en pleine rue – mais pas très longtemps, tous veillent. D'ailleurs, si elle est si indisciplinée, elle tient ce trait de caractère de sa maman, lord Macoon est formel, sa progéniture personnelle, enfin, s'il avait eu un enfant avec une autre femme, elle serait très sage !
Si jeune, Prudentia est déjà un objet de convoitise, et quand la Reine Vampire de la région d'Alexandrie veut la rencontrer, Alexia n'a d'autres choix que d'obtempérer. Hors de question de partir seule ou de ne pas assurer ses arrières – Alexia peut compter sur son amie Ivy, membre active du Protectorat de l'ombrelle, pour la seconder. N'allez pas croire cependant qu'Ivy n'ait pas elle aussi une vie personnelle : elle est mariée, elle est comédienne, elle a des jumeaux. Les deux amies ne se contentent pas de vivre des aventures invraisemblables, elles vivent aussi.
Dans le monde des romans fantasy/bit-lit dans lequel les héroïnes passent une dizaine de tomes à hésiter entre leurs prétendants, Alexia et son mari, Ivy, même lord Akeldama ou encore le professeur Lyall sont des modèles de stabilité, de volonté aussi de construire leur vie, en dépit des obstacles qu'ils traversent – et ils sont nombreux, variés, dérangeants. Si faire évoluer ses personnages tout en gardant ce ton unique, cette fantaisie était un pari, je peux dire que Gail Carriger l'a amplement réussi à mes yeux.
Le protectorat de l'ombrelle est une série que je quitte à regret, tant elle est drôle et inventive. Mais qui sait ? Les enfants grandissent….
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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C'est toujours un peu triste d'arriver à la fin d'une série! On a tendance à oublier les défauts qu'on lui a découvert au fur et à mesure pour ne se souvenir que des points positifs, des personnages appréciés, des rebondissements loufoques qui faisaient qu'on continuait, tome après tome, à dévorer avec passion les aventures baroques d'Alexia, de son loup-garou d'époux et de la troupe d'hurluberlus qui les accompagnaient!

Des défauts, il y en a en effet, mais tant pis: il y a bien longtemps qu'un livre, ou plutôt une suite de livres, n'avait eu un tel effet positif sur mon moral! Qui plus est, le détour par l'Égypte d'une partie du casting permet un renouvellement appréciable.
L'histoire en elle-même continue sur sa lancée: il y aura donc des révélations sur le père d'Alexia, des complots à travers les siècles, une machine à vapeur totalement ubuesque, une nouvelle histoire de tourtereaux faisant fondre mon petit coeur tendre et assez de coups d'ombrelle pour faire avancer tout ce beau monde dans la direction que désire notre paranaturelle préférée! C'est léger, cela ne se prend pas au sérieux et on referme le livre avec le sourire aux lèvres: que demander de plus?
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Tout comme les précédents tomes, ce Sans âge, réunit tous les ingrédients qui ont fait le succès de ses prédécesseurs et le tout sans jamais lasser. Au contraire même, il arrive à se renouveler pour le plus grand plaisir des lecteurs. le monde steampunk crée par Gail Carriger est une petite perle qui arrive toujours à vous surprendre et à vous accrocher. Bref, une série à ne pas manquer et que je doute de voir égaler de sitôt. Alexia et son franc parler vont me manquer vous pouvez en être sûr et si vous n'avez pas encore découvert cette série je vous envie. Jetez-vous dessus et régalez-vous, vous avez cinq tomes de pur plaisir devant vous.
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Ah là là, j'ai refermé ce dernier volet des aventures de notre paranaturelle préférée, heureuse et triste à la fois. Heureuse parce que le Protectorat de l'ombrelle m'aura régalée jusqu'au bout. Triste, eh bien, parce que c'est le moment de dire au revoir à tout ce petit monde attachant et à cet univers loufoque qui aura égayé ma vie de lectrice comme peu de séries ont su le faire. Et celle-ci est vraiment inclassable, inimitable, ce qui la rend, à mon sens, incontournable.

Gail Carriger a de quoi être fière d'elle, et je lui lève ma tasse de thé bien haut pour avoir réussi à maintenir une telle qualité d'écriture, un véritable don qui lui a permis de créer des personnages inoubliables et des situations cocasses dont on se souviendra longtemps, très longtemps. Cette Jane Austen des temps modernes, aux accents victoriens et steampunks, nous livre ici un tome plus intimiste ; on sent qu'elle nous prépare gentiment à des adieux qui, reconnaissons-le, tombent à pic, au moment où la série a atteint une apogée délectable.

Nous retrouvons donc une lady Maccon qui nage en plein bonheur familial, et elle nous invite dans le second placard de lord Akeldama en mettant à notre disposition des chaussons confortables qui portent l'empreinte de son humour grinçant si addictif. Évidemment, on se régale de découvrir, deux ans plus tard, ce qu'il est advenu de son entourage et comment Alexia s'en sort avec l'ex désagrément embryonnaire, la petite Prudence, une voleuse de peaux. Et dans la première partie du roman, on peut dire qu'elle fait tourner son monde en bourrique, à l'aide de crocs ou de griffes, pour le plus grand plaisir de son « Dama » adoré. On ne se lasse pas de l'organisation domestique de cette famille très atypique.

Très vite, les soucis surnaturels reviennent en force. du meurtre trouble d'un loup-garou découlent beaucoup de soucis qui tendent à rendre intrigante l'invitation formulée par la reine de la ruche égyptienne, Matakara. C'est l'occasion pour la petite troupe d'Alexia de se séparer, certains restant à Londres pour gérer les affaires courantes, tandis qu'elle, son mari, sa fille, les Tunstell et madame Lefoux planifient une croisière très théâtrale sur le Nil.

C'est un tome qui nous dépayse encore une fois, mais de manière plus tranquille, l'action étant surtout présente sur la fin à la manière d'un feu d'artifice. Alexia qui tombe amoureuse de l'Égypte nous la décrit avec affection et quantité de détails savoureux. Mais ce qui fait, à mon sens, la force de ce tome, c'est l'alternance de points de vue qui permet de mettre en avant le personnage de Biffy, cet ex drone devenu loup-garou malgré lui, et on l'adore pour la frivolité et l'intelligence dont il fait preuve. J'ai été scotchée par l'évolution que Gail lui a réservée (à lui comme à bien d'autres protagonistes, d'ailleurs). Et j'ai découvert mon personnage préféré, le professeur Lyall, sous un jour plus tendre. Une certaine relation homosexuelle sortie d'un chapeau malicieux, qui n'a rien à envier à ceux d'Ivy, m'a terriblement touchée. Que c'est romantique !

Je vais m'arrêter là, terminant sur le couple Alexia/Conall, deux êtres très différents et pourtant si bien assortis. Leurs joutes verbales sont un régal, et Alexia, rendue plus « humaine » par sa maternité, dévoile au fil du texte, avec une pudeur typique de sa nature de Sans Âme, les sentiments qui l'unissent à cet homme, sans qui, on s'en rend compte, sa vie serait bien plus triste…

Voici une série menée d'une main de lady, tout en dentelle et en froufrous, qui nous a peut-être dévoilé tous ses secrets d'alcôve, mais qui n'a assurément pas fini de faire parler d'elle. Au revoir, au revoir, les amis, je ne vous oublierai pas, par mon ombrelle, j'en fais le serment !
Lien : http://www.place-to-be.fr/in..
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Nous y sommes, le bout du tunnel et la fin des aventures d'Alexia Tarabotti, alias Lady Maccon. Et j'en ressors éblouie, le tout s'est achevé de toute beauté, un véritable feu d'artifice. On a enfin les réponses tant attendues à presque toutes nos questions, il ne reste que très peu de mystères. de plus, l'auteure arrive à nous étonner de bien des façons et cela dès la première page en nous annonçant que 3 ans se sont écoulés depuis le livre précédent. Mais que cela ne tienne, Alexia Maccon n'est pas une personne à rester au calme et elle se lance dans de nouvelles folles aventures en famille et en Egypte !

Et quelles aventures ! Alexia a changé bien entendu, la maternité l'a responsabilisé et elle est plus soudé avec la meute, avec Lord Akeldama et surtout son mari. Pourtant, elle reste toujours égale à elle-même, attirant les ennuis comme un aimant, un trait de caractère parmi tant d'autres qu'elle a légué à sa fille. Prudence est une fillette de 2 ans adorable et à mourir de rire, elle est la principale source d'humour de l'histoire. Elle est à part, précoce et maligne, une aide inattendu du haut de ses peu d'années d'existence. Quand à Connall, il semble être épanoui grâce à sa famille, il est plus doux et tendre que jamais et il pense déjà à l'avenir.

Les alliés des Maccon sont toujours aussi présent, avec quelques petits nouveaux inattendus puisque le couple Tunstell ont eu des jumeaux. Loin d'être aussi précoce ou amusant que Prudence, ils jouent un certain rôle. Mais bien évidemment c'est leur mère qui est la plus fervente aide de Lady Maccon, une Ivy qui se montre étonnement censée. Lyall et Biffy resté à Londres doivent résoudre une affaire de meurtre qui va tout changer pour la meute, tout comme leur rapprochement qu'on n'avait pas vu venir.

Bref, toute la petite famille part visiter l'Egypte et ses mystères, résolvant bien plus qu'une enquête et des révélations sont faites, détruisant bien des choses sur le chemin. Entre vampires, pharaons et paranaturels, sans oublier quelques créatures métalliques, une pièce de théâtre loufoque et des voyages en ballon, on ne se repose pas un seul instant, jonglant entre plusieurs intrigues qui sont intimement liées les unes aux autres. Que ce soit la mission d'Alexia et le passé de son père, les problèmes de Connall et l'enquête de Biffu, tout est lié depuis le début.

Ce livre clôture bel et bien cette saga qui n'a été qu'en se bonifiant, devenant de plus en plus intéressant et étonnant. Je me suis totalement accroché à cet univers complexe et original, me donnant qu'une seule hâte : découvrir les 2 spin-off qui se déroule 20 ans plus tôt avec Sighead entre autres, et l'autre 20 ans dans le futur avec notre chère Prudence et d'autres petites têtes blondes bien connues. le Protectorat de l'Ombrelle n'a pas encore dit son dernier mot !
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