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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ça y est, j'ai enfin terminé le cinquième et dernier tome du protectorat de l'ombrelle. J'ai mis du temps pour le lire, non pas qu'il n'est pas bien, au contraire, mais j'étais prise par mon projet de reconversion professionnelle et le webinaire sur les métiers du numérique, ce qui me prenait la journée entière ainsi que les soirées.

J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire :
Deux ans ont passé depuis la naissance de Prudence et la vie des Maccon ainsi que celle de lord Akeldama est rythmée par les frasques de la petite fille. Une fois la nuit tombée, cette dernière vole les pouvoirs des surnaturels, et sa mère est obligée d'intervenir.
Tout au long de cette lecture, on découvre les capacités de l'Abomination, mais également ses limites, ce qui était intéressant.
Deux événements marquants se produisent :
– lady Kingair revient d'Écosse pour demander de l'aide. Son Bêta s'est rendu en Égypte pour enquêter sur la momie, mais il a disparu.
– Alexia et Prudence reçoivent une invitation que notre héroïne ne peut pas refuser, venue de Matakara la plus vieille des vampires. C'est ainsi que toute la famille se rend à Alexandrie avec les Tunstell – il faut bien une excuse pour voyager là-bas et quoi de mieux que d'accompagner la troupe de théâtre dont ils sont les mécènes ?

On sent que c'est un dernier tome : beaucoup de révélations sont faites que ce soit sur le Alessandro Tarabotti, sur Floote ou sur Biffy.
D'ailleurs les passages que j'ai préférés sont ceux avec le jeune loup dandy de la meute de Londres : il est tellement attachant que je ne peux m'empêcher de l'adorer. Quand il était là, ça se lisait tout seul et j'avais terriblement envie de savoir la suite.
J'ai eu un peux plus de mal avec les scènes en Égypte. Sûrement parce que j'apprécie énormément le côté anglais du récit et là, je me suis sentie déracinée : le contraste entre les deux cultures était trop violent et ce, malgré le fait que les personnages restent eux-mêmes et un peu guindés.
Malheureusement, l'atmosphère qui se dégage de ce pays m'a déplu : toutes ces étendues arides, ces dunes de sable, la ruche de Matakara tellement différente de celle de la comtesse Nadesky ou de la maison d'Akeldama.
J'ai fini par m'y faire, mais ce n'était pas aussi fluide que d'habitude.

Ça n'empêche que j'ai beaucoup aimé cette lecture, surtout les derniers chapitres qui m'ont fait hurler, l'angoisse totale !
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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Dans cette saga, on découvre le personnage d'Alexia Tarabotti dans un Londres du XIXe siècle un peu steampunk et complétement surnaturel. La jeune femme est ce que l'on appel une "sans âme", ce qui signifie qu'elle n'a pas d'âme et qu'elle à donc un côté un peu froid et bien plus rationnel que le reste des gens. Cela lui donne aussi l'étrange capacité de neutraliser les être surnaturels tel que les vampires, les loups-garous et les fantômes. Dans ce tome 1, Alexia doit faire face à une attaque de vampire alors qu'elle était à une réception. C'est Lord Maccon, un comte écossais loup-garou travaillant pour la reine Victoria qui est changé de l'affaire. Alexia, quand à elle ne compte pas se laisser accusé et compte bien prouvé son innocence.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette série, à tel point que j'ai enchainé tous les tome ce qui n m'arrive pas souvent...
J'ai beacoup aimé l'univers et tout ce qui touche au créature, comment elles fonctionnent, comment elles sont transformées... J'ai beaucoup aimé l'idée des sans âmes, c'était assez original.
J'ai adorée les enquête et l'intrigue, c'était très plaisant à lire.
Les personnages sont vraiment vraiment tous très chouette. Alexia est un des meilleurs personnages principaux que j'ai put rencontrer, elle m'a fait penser à Esther Parmentier et 'a bien fait rire. J'aime beaucoup son caractère et son répondant. C'est pour la même raison que j'ai beaucoup aimé Lord Maccon et Lord Akeldama.
J'ai bien sûr aimé la petite romance qui se développe en parallèle, elle est vraiment sympa.
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Mmmmh, je reste assez mitigée quant à la lecture de ce dernier tome des aventures d'Alexia ! Je lui ai trouvé un goût de trop peu...

Je m'explique : à l'instar de ses prédécesseurs, il est très dynamique, parsemé de touches d'humour qui font toujours mouche et haut en couleur au niveau de la galerie des personnages. A la surprise générale, on y découvre une Alexia plus humaine que d'ordinaire (pour une personne sans âme et extraordinairement pragmatique, c'est surprenant). Biffy, Lyal, Prudence prennent de l'ampleur... mais au détriment d'autres éléments de l'histoire qui ont été instillés au fil des précédent tomes. Nombre de choses restent à mes yeux inexpliquées malgré une conclusion assez satisfaisante. faite d'action et de retournement de situation maîtrisés. A force de jouer sur de nombreux tableaux, l'auteure n'a pas su mettre, à mon goût, tout le monde sur un même pied d'égalité. Cela dit, la lecture ne s'en est pas trouvée gâchée puisque comme à chaque fois, je ne me suis pas ennuyée, que du contraire, elle ne m'en a pas laissé le temps.

J'espère que certaines réponses seront enfin apportées dans le cycle portant sur Prudence.. A moins qu'elles ne restent un éternel mystère, qui sait?

De manière générale, le Protectorat de l'Ombrelle sera une série steampunk/policière que je recommanderais chaudement aux amateurs des deux genres, ces romans sont une base idéale pour faire découvrir l'univers du steampunk en étant d'une part, une série légère et drôle et d'autre part, une série policière avec ses mystères qui captivent.
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C'est avec peine que je tourne la dernière page de cette série si loufoque et si passionnante. Alexia et son ombrelle vont me manquer tout comme sa meute de loups-garous, son protectorat de l'ombrelle et Lord Alkeldama auquel je m'étais fortement attachée.
Je sais qu'une suite relatant les aventures de sa fille Prudence vient de sortir, mais cela ne sera pas pareil, car Alexia est unique!!!

Dans ce dernier tome, l'humour est toujours omniprésent. Rien que la scène du bain vaut le détour (j'en ris encore). Sans compter, comme à son habitude sur les remarques cinglantes et si criantes de vérité de notre chère Alexia.


Côté intrigue, il est vrai que ce n'est pas la meilleure des cinq tomes. C'est surtout la moins riche pour être franche. Alexia et son "abomination" de fille son convoquées en Égypte par la reine vampire Matakara. Une convocation qui ne se refuse pas. Aussi elle quitte Londres avec sa petite famille et une grande troupe de théâtre, laissant derrière elle un vampire extravagant et une meute enquêtant sur la mort d'un loup-garou.
Faire mener deux intrigues de front était à la base une très bonne idée. À terme, même si elle marque l'originalité par rapport aux autres tomes de la saga, elle en est moins captivante.


En réalité c'est la fin qui m'a un peu laissée sur ma faim (désolée pour le jeu de mots). C'est le dernier tome, mais l'auteur a choisi une fin ouverte. Résultat, beaucoup trop de points en suspens. Pour certains c'est bien, on s'imagine nous même le scénario. Pour d'autres, c'est plus ennuyeux.


En dehors de cela, ce tome nous réserve son lot de surprises, de cascades, d'émotions et de dépaysement.
Gail Garriger nous fait aimer l'Égypte (même si je mets un véto sur les voyages en ballon), nous fait trembler (elle n'y va pas de main morte avec notre couple Alpha), nous fait sourire (ah Biffy!) et va même jusqu'à briser notre petit coeur (bon d'accord j'exagère un peu, mais parfois c'est triste).


Quant à Prudence.... eh bien ça promet!!!!


Si je devais résumer "Sans âge", je dirais que c'est une nouvelle aventure abracadabrante d'Alexia qui nous fait une fois de plus passer un très bon moment de lecture malgré quelques petits défauts.


Boulimique des livres




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Le dernier tome de cette saga, qui nous offre une fin digne de ce nom.

Toujours pleines d'humour, ses aventures en Égypte offre un final grandiose à l'intrigue, avec ses personnages haut en couleurs, offrant à chacun un avenir avec des responsabilités, mais aussi très riche

J'aurais cependant aimé savoir
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Je ne saurais assez remercier la lectrice de BABELIO qui m'a donné envie de découvrir cette série réjouissante et originale qui me permet entre deux lectures sérieuses , de m'aérer complètement l'esprit !
Le 5ème volume des aventures d'Alexia Tarabotti devenue Lady Maccon en épousant son loup-garou préféré, reste dans la même veine avec un humour omniprésent et des rebondissements particulièrement hilarants. Ici la joyeuse troupe se trouve en Egypte et l'exotisme est de rigueur.
J'en profite pour signaler un lien qui peut ouvrir sur un horizon de nouvelles lectures et qui est resté présent à mon esprit pendant la lecture des livres de Gail Carriger : la série d'Elisabeth Peters consacrée à Amélia Peabody et son archéologue de mari l'irascible Emerson. Ces deux séries l'une franchement steampunk et l'autre policière humoristique, ont l'avantage de présenter des héros qui ne se prennent pas au sérieux et de fidéliser le lecteur (ou plutôt la lectrice c'est vrai) avec des personnages attachants, typiquement britanniques dans leurs excentricités .
Bien sûr , il ne faut pas chercher la logique et le rationalisme dans les histoires de vampire et de loups-garous, et c'est vrai que quelquefois, l'auteur nous emmène sur des chemins de traverse où l'on a un peu de mal à la suivre, mais qu'importe !
La vie est trop courte pour s'habiller triste comme le proclamait il y a quelques années un célèbre slogan publicitaire , et également pour ne lire que des ouvrages sérieux;
Alors amusons-nous , que Diable !
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Un tome qui clôt à merveille cette petite série très sympathique sur laquelle j'avais pourtant quelques a priori au début !

La résolution de l'intrigue principale se résout un peu trop facilement, mais c'est rattrapé par tous les points positifs : on retrouve l'humour propre à la série, toujours aussi pince-sans-rire, on en apprend plus sur les surnaturels et paranaturels et les personnages secondaires développent une sous-intrigue mieux amenée que la principale.

Bref, un bonheur à lire, et on se sent un peu triste la dernière page tournée de dire adieu aux personnages, qui sont tous devenus de plus en plus attachants au fil des tomes.
J'ai beaucoup aimé la fin, vraiment adorable !
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Et voici le dernier tome des aventures de notre chère Alexia. Je l'avais dans ma bibliothèque depuis un petit moment déjà, mais j'avoue avoir retardé le moment de le lire encore et encore. Je sais qu'il y a une suite avec Prudence (qui va se laisser désirer…) mais même en sachant cela, il est difficile de quitter une héroïne comme lady Maccon.

Je ne savais plus trop à quoi m'attendre en commençant ma lecture. J'avais délibérément mis de côté le résumé, voulant garder un peu de surprise. Et je n'ai pas été déçue bien que je trouve que certains éléments de ce dernier tome manque un peu d'explications. On ne s'ennuie pas une seconde, j'ai lu le roman d'une traite et les différentes intrigues qui se mêlent les unes aux autres sont toujours autant sympathiques à suivre. J'ai beaucoup aimé le fait que nous ayons deux narrateurs : Alexia et Biffy. Ce dernier a su prendre de l'importance petit à petit, et bien que je ne m'attendais pas à ce que le personnage devienne aussi important, j'en suis très ravie. Gail Carriger a su fomenter une fin tout à fait parfaite pour nombres de ses personnages et j'en suis plus que ravie.

L'histoire en elle-même nous fait voyager en Egypte. Nous changeons radicalement de décor, mais nombres de personnages suivent Alexia dans son nouveau périple et nous ne sommes pas tellement dépaysés. Nous nous retrouvons deux ans après la fin du tome quatre (bien que quelque fois dans le récit, l'auteur nous donne l'impression qu'une décennie s'est écoulée). Il n'y a pas eu beaucoup de changements, et ce petit lapse de temps nous permet aussi d'avoir des interactions plus intéressantes avec Prudence, la fille d'Alexia et Conall. Cette dernière montre déjà un caractère bien trempée et elle est vraiment adorable. La voir évoluer avec ses parents étaient très attendrissant. Alexia, elle-même, a beaucoup changé. Pas vraiment dans son caractère, elle reste la même, mais elle semble plus « humaine » dans le sens où son manque d'âme, la caractéristique des paranaturels, semble quelque peu se dissiper. Elle est moins distante par rapport à ses sentiments, et c'est très plaisant. Voir Conall en papa poule, bien que moments assez rare, était aussi un pur plaisir.

Mais il y a aussi les enquêtes. Non, ce cinquième tome n'est pas qu'amour et tendresse. D'une part, Alexia enquête sur son père. Un homme qui reste encore un mystère pour moi. On en découvre ainsi encore un petit peu plus sur le surnaturel mais rien de bien folichon. J'aurais aimé en découvrir beaucoup plus. L'enquête en elle-même est palpitante avec des voyages, des rencontres, des combats, mais ma curiosité n'a pas été assez assouvie. C'est un peu dommage. La seconde enquête, intimement liée à la première, se déroule à Londres avec Biffy et Lyall. Et de ce point de vue là, c'est surtout les interactions de Biffy et Lyall que j'ai appréciées. L'enquête étant un peu en second plan, Gail Carriger se concentre plus sur l'évolution du louveteau. Et, bien que ces passages soient courts, je les ai adorés. J'aurais aimé le voir évoluer encore plus (peut-être avec la série consacrée à Prudence ‼) car c'est un personnage avec du potentiel, et en fin de compte, il est le seul surnaturel que l'on voit devenir surnaturel. L'avoir connu humain, puis loup-garou avec toutes ces phases d'adaptation et d'évolution était vraiment chouette. Sans compter sa personnalité : un pur régal.

Le tout est toujours saupoudré d'humour, d'une petite touche british, d'action, de découvertes et de voyages palpitants. Un vrai plaisir. Je ne regrette pas du tout d'avoir commencé cette série qui n'a cessé de me plaire tout du long. L'auteure a une plume que j'apprécie énormément, et même si je n'ai pas entendu que du bien de son autre série, je me ferai un plaisir de la lire.
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Un superbe dernier tome! On découvre une autre facette de plusieurs personnages : Alexia, professeur Lyall, Biffy et Floote! J'aime beaucoup la petite Prudence qui a déjà une grande personnalité du haut de ses 2 ans et qui n'est pas sans rappeler sa maman.
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Dans ce dernier tome, on retrouve le même univers de fantasy urbaine mâtiné de steampunk que dans les 4 tomes précédents, là où nous avions laissé Lady et Lord Maccon. Une des miettes de pain semée lors d'un des tomes précédents est ramassée et nous embarquons pour l'Egypte afin de découvrir qui ose sommer Alexia de faire quelque chose. le voyage est toute une histoire à lui seul, une vraie pièce de théâtre :3

[...]

Ce tome clôt magnifiquement la série, avec un ou deux rebondissements notables (mais spoil donc bon, faut plutôt lire ce tome) mais surtout des réponses à toutes les questions ouvertes dans les tomes précédents. L'alternance du récit entre le voyage des Maccon en Egypte et ce qu'il se passe à Londres permet de tout régler.

[Plus de détails sur le bloug !]
Lien : http://le-fataliste.fr/justi..
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