« La gentillesse n’existe pas, chacun ramène toujours à soi » …
Je n'ai plus la bride lâchée qui me fouette. Je suis envahie de stabilité.
Le gentillesse n'existe pas, chacun ramène tout à soi.
C'est la courtoisie du début. Un jour, elle se transforme en masque et on se rend compte qu'on n'a pas épousé un ange qui manque de courtoisie mais un courtois qui n'a rien d'un ange.
Quand l'amour commence à sentir, je sais bien qu'il faut partir.
Un jour, je n'ai plus mentionné Quick. Si je parle de lui, j'en perds un peu. Je n'ai pas envie de perdre mon chagrin, c'est tout ce qui me reste de sa présence.
J'aimais bien son parfum, sa voix, le mouvement de ses vêtements, ses recettes de cuisine timbrées. Elle soignait mes faux bobos, j'inventais des maux incroyables pour trouver l'endroit de sa présence.
Elle ne se trouve pas fiable comme mère, elle a toujours peur de mal faire, mais ce n'est pas faire, à ce point-là, elle a peur de mal être, voilà.
Juste après, j'ai souri à un passant d'âge mûr pour le plaisir qu'il me tranche en deux, me recouvre de beurre avec son regard, puis que je me récupère toute ouverte, glissante. J'aime bien provoquer le frottement dans ma grande fracture.
Les métiers trop intéressants remplissent une vie. Moi, je veux aimer.