Je ne sait pas trop quoi penser de ce livre alors je vais énoncer ce que j'ai aimé et ce que je n'ai pas aimé.
j'ai aimé;
-que pour une fois les vampires soient de vrais psychopathes.
-que ça ne soit pas une histoire gnangnan pour jeunes filles en fleurs
- que ça se passe en France (à Bordeaux)
- que la transformation vampirique soit gore (ça me parait plus logique)
ce que je n'ai pas aimé;
-trop de gore tue le gore, et là on retrouve tous les clichés des films d'horreurs (cochons, tronçonneuses etc)
- le fait qu'au final, d'avoir trop mis des scènes de cul déviantes ne sert à rien à l'histoire mais plutôt l'alourdit (un peu moins ça n'aurait pas été si mal)
- le fait qu'au final il n'y a pas vraiment de surprise à la fin, le sentiment de "tout ça pour ça" m'ayant submergée...
Bon, au final, ça sent plus le règlement de compte avec son histoire personnelle, l'idée de mettre des éléments aussi violents dans un roman de vampires était une bonne idée, mais là ça tourne au petit répertoire des horreurs humaines (viol, inceste, pédophilie, meutre, drogue, homosexualité, bisexualité, il ne maque que la zoophilie au tableau). C'est dommage car je trouvais l'idée que les vampires soient un reflet de la violence humaine asses bonne. Mais là, tout est noir, rien n'en réchappe, et le message se noie sous les vomissures de l'écrivain... Un ramassis de clichés, la preuve que l'exercice de faire un négatif de
Barbara Cartland ne fait pas un bon bouquin, loin s'en faut !