Citations sur Bagatelles pour un Massacre (42)
{Cela fait longtemps que j'ai promis à Michel de dire haut et fort, sans me tromper de cible, ce qui est à vomir de Céline. Voici un petit échantillon de l'abjection dont a été capable l'auteur du Voyage Au Bout De La Nuit. Les événements récents me poussent à agir à ma façon pour dénoncer l'antisémitisme, d'hier ou d'aujourd'hui, sous toutes ses formes. Lisez et tremblez.}
Un Juif est composé de 85 % de culot et de 15 % de vide !... L'Aryen n'a aucun culot... Il n'est brave qu'à la guerre... timide dans la vie... mouton... On lui fait honte ? Il a honte ! Immédiatement !... Il a honte de sa propre race !... On lui fait croire tout ce qu'on veut... C'est-à-dire tout ce que le Juif veut... Les Juifs, eux, n'ont pas honte du tout de leur race juive, tout au contraire, nom de Dieu !... ni de la circoncision ! S'ils avaient éprouvé la moindre honte d'être juifs, il y a belle lurette, au cours des siècles, qu'ils se seraient fondus dans la masse... qu'ils n'existeraient plus du tout en tant que Juifs et racistes juifs... Leur juiverie n'est plus leur tare, c'est tout leur orgueil au contraire, leur culot suprêmissime, leur hystérie. Leur religion, leur bagout, leur raison d'être, leur tyrannie, tout l'arsenal des fantastiques privilèges juifs... Seigneurs du monde juif, ils entendent bien demeurer seigneurs du monde juif et puis despotes, de plus en plus... " Le Mythe des Races ", c'est pour nous le mensonge préjudicieux ! Pour nous le foutre dans le cul ! Que ça nous ouvre grand les fesses ! Pendant qu'ils nous mettent et se régalent. Il faut être cul comme un Aryen pour ne pas avoir pigé ces caractéristiques pourtant extrêmement évidentes, de la juiverie qui nous possède, qui nous cerne, nous écrase, et nous saigne de toutes les façons possibles, inimaginables...
{Et ça se poursuit comme ceci sur des pages et des pages, de cette inextinguible logorrhée à filer la nausée et à faire froid dans le dos. Voici certains des termes de l'abjection signée Céline. Édifiant !}
Une citation de Bagatelles pour un massacre de Celine ..
"Le Juif est un nègre, la race sémite n'existe pas, c'est une invention de franc-maçon le Juif n'est que le produit d'un croisement de nègres et de barbares asiates".
Commentaire : c'est le vrai visage de celine ...
CELUI QUE TOUS SES ADMIRATEURS CONNAISSENT ou devraient connaitre ...
J'ai toujours su et compris que les cons sont la majorité, que c'est donc bien forcé qu'ils gagnent !
Le monde est plein de gens qui se disent des raffinés et puis qui ne sont pas, je l'affirme, raffinés pour un sou. Moi, votre serviteur, je crois bien que moi, je suis un raffiné ! Tel quel ! Authentiquement raffiné. Jusqu'à ces derniers temps j'avais peine à l'admettre... Je résistais... Et puis un jour je me rendis... Tant pis !... Je suis tout de même un peu gêné par mon raffinement... Que va-t-on dire ? Prétendre ?... Insinuer ?...
"L'opinion des renégats n'a, bien sûr, aucune importance, les Gides, les Célines, les Fontenoys... etc. Ils brûlent ce qu'ils ont adoré..." Il est soufflé, merde, ce cave !... De quel droit il se permet, ce veau, de salir de la sorte ?... Mais j'ai jamais renié rien du tout ! Mais j'ai jamais adoré rien !... Où qu'il a vu cela écrit ?... Jamais j'ai monté sur l'estrade pour gueuler... à tous les échos, urbi et orbi : "Moi j'en suis !... moi j'en croque !... j'en avale tout cru !... que je m'en ferais mourir !..." Non ! Non ! Non ! J'ai jamais micronisé, macronisé dans les meetings !... Je vous adore Staline ! Mon Litvinoff adoré ! Mon Comintern !... Je vous dévore éperdument ! Moi j'ai jamais voté de ma vie !... Ma carte elle doit y être encore à la Mairie du "deuxième"... J'ai toujours su et compris que les cons sont la majorité, que c'est donc bien forcé qu'ils gagnent !... Pourquoi je me dérangerais dès lors ! Tout est entendu d'avance... Jamais j'ai signé de manifeste... pour les martyrs de ceci... les torturés de par là... Vous pouvez être bien tranquilles... c'est toujours d'un Juif qu'il s'agit... d'un comité youtre ou maçon... Si c'était moi, le "torturé" pauvre simple con d'indigène français... personne pleurerait sur mon sort... Il circulerait pas de manifeste pour sauver mes os... d'un bout à l'autre de la planète... Tout le monde, au contraire, serait content... mes frères de race, les tout premiers... et puis les Juifs tous en chur... "Ah ! Qu'ils s'écriraient, dis-donc ! Ils ont eu joliment raison de la faire aux pattes le Ferdinand... C'était qu'un sale truand vicieux, un sale hystérique emmerdeur... Faut plus jamais qu'il sorte de caisse... ce foutu vociférant. Et puis qu'il crève au plus vite !..." Voilà ce qu'on dirait pour ma pomme... le genre de chagrin éprouvé... Moi jes suis bien renseigné... alors j'adhère jamais rien... ni aux radiscots... ni aux colonels... ni aux doriotants... ni aux "Sciences Christians", ni aux francs-maçons ces boys-scouts de l'ombre... ni aux enfants de Garches, ni aux fils de Pantin, à rien !... J'adhère à moi-même, tant que je peux... C'est déjà bien mal commode par les temps qui courent. Quand on se met avec les Juifs, c'est eux qui revendiquent tout l'avantage, toute la pitié, tout le bénéfice ; c'est leur race, ils prennent tout, il rendent rien.
La dictature des larves est la plus étouffante, la plus soupçonneuse de toutes. Du moment où elles gouvernent tout peut se violer, s'engluer, se travestir, se trafiquer, se détruire, se prostituer... N'importe quelle croulante charognerie peut devenir à l'instant l'objet d'un culte, déclencher des typhons d'enthousiasme, ce n'est plus qu'une banale question de publicité, faible ou forte, de presse, de radio, c'est-à-dire en définitive, de politique et d'or.
Évidemment que les Juifs, au départ, avaient grand intérêt à choisir les auteurs judéo-anglo-saxons pour mener à bien leur standardisation mondiale littéraire, même tabac que pour les films. Identiques manigances. Une langue immensément répandue dans le monde, dont les livres se vendent déjà parfaitement sur leur marché d'origine. Voici l'immense atout de ces Juifs "standardistes". Prenez un auteur "moyen" français, qui se tire en France, dans de bonne passes, par exemple à 20 000 exemplaires, le même auteur, tout à fait moyen, mais englais, sur son propre marché anglo-saxon, se "tire", très normalement, automatiquement, à 200, 300 000 exemplaires.
Pour cette simple raison que le marché judéo-anglo-saxon est infiniment potentiellement beaucoup plus riche que le marché miteux français (100 millions de lecteurs possibles au lieu de 2 à 3 millions). Parfaitement égaux en tous point de toute leur médiocrité, l'auteur anglais deviendra cependant un auteur "très connu", d'un "immense talent" par tirage décuplé, donc gavé de droits et de ristournes, tandis que le pauvre auteur français végète ou crève littéralement de misère (s'il n'est pas quelque part fonctionnaire de l'État, soit deux fois abruti).
Il existe au théâtre quelques exceptions, mais ce sont forcément tous des Juifs. Ils misent sur tous les tableaux, les plus faisandés de l'Internationale juive : cinéma, police, radio-théâtre, politique, banque, ils se sont voués dès le prépuce au troc des moutures internationales. Mais quant au livre, l'avantage immense, incomparable, le privilège royal des anglo-saxons, c'est leur marché centuple du nôtre...
C'est ainsi, par l'effet du "nombre" que les très insignifiants Lawrence, Huxley, Cohen, Wells, Cahen, Lewism, Shaw, Faulkner, Passos, etc, dont on nous bassine interminablement à longueur de Revues enthousiastes atteignent avec un peu de snobisme et de gonflage publicitaire des renommées fantastiques ! Des "Victor Hugo Prix unique" !... tout à fait marrantes quand on connaît les oiseaux. Les Juifs, pour nous les imposer, comptent énormément sur le snobisme et la jacasserie des petites cliques dites "d'avant-garde"... judéo-aristico-enculagaillentes-communisardes et ne se trompent guère. Tout ira parfaitement, nos miches en ont vu d'autres. Vive la liberté ! Non ! Vive la Liberia ! Avec quelque chose de Tartare ! En plus !
Moi j'ai jamais voté de ma vie !... Ma carte elle doit y être encore à la Mairie du "deuxième"... J'ai toujours su et compris que les cons sont la majorité, que c'est donc bien forcé qu'ils gagnent !...
Plus on est haï, je trouve, plus on est tranquille... Ça simplifie beaucoup les choses, c'est plus la peine d'être poli, je ne tiens pas du tout à être aimé... Je n'ai pas besoin de "tendresse"... C'est toujours les pires saloperies de l'existence que j'ai entendu soupirer après les "tendraîsse"...
J'ai toujours su et compris que les cons sont la
majorité, que c'est donc bien forcé qu'ils gagnent !...