Citations sur Les Détectives du Yorkshire, tome 7 : Rendez-vous avec .. (13)
Delilah et Samson laissèrent échapper un gémissement tandis que Calimero émergeait de sous la table , l'air parfaitement innocent , mais arborant, sur le museau, les traces de ses libations furtives.
Le contentement était le secret d'une belle vie.
Elle regarda sa montre et laissa échapper un "tut-tut" mécontent. Il n'était même pas dix heures du matin, et les gens étaient dans le pub en train de bambocher. Au nom du ciel, tout foutait le camp dans cette ville !
Des côtes cassées, un poignet fracturé et peut-être une hanche aussi, murmura le véto en palpant le meurtrier meurtri.
– ... il n’y a personne d’autre en qui j’ai confiance au point de lui confier la vie de Samson. On sait toutes les deux à quel point il est spécial.
– Humph ! J’crois qu’elle devrait penser à l’lui dire l’plus vite possible, et qu’y d’vraient arrêter de s’tourner autour comme ça. Ca rend fou des gens parfait’ment sensés d’attendre qu’ces deux-là s’mettent ensemble.
(Delilah et Ida, parlant de Samson)
- Tu es la première personne de cette ville qui ne m'oblige pas à boire du thé.
- C'est comme ça qu'on repère ceux qui ont vécu ailleurs. On revient avec des goûts exotiques.
Un sentiment qu'elle estimait être le pinacle de toutes les émotions. Bien plus durable que la joie ; bien plus réaliste que le bonheur. Le contentement était le secret d'une belle vie.
Une dernière question, fit Clive Knowles, un fermier d'au delà de Horton, en se levant. Quel genre de saleté de tueur à gages travaille le week-end ?
- C'est tout? .. Vous basez votre identification d'un criminel sur un durillon ?
- Et sur quoi voudriez vous que je me base ? Ce n'était pas comme s'il affichait un badge de l'association internationale des tueurs à gages, hein ?
Essayer de contrôler les mouvements de ce garçon se révélait plus difficile que de cornaquer un troupeau de chats.