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James Bond avait pour ennemi Jaws, l'homme à la mâchoire d'acier et Blueberry a Jethro Steelfingers, l'homme au poing d'acier.

Et Steelfingers est cent fois plus méchant et machiavélique que Jaws (qui fait chaton à côté).

L'histoire continue et elle monte en intensité : le camp est entouré d'Indiens sur le sentier de la guerre, tout ça à cause des exactions que Steelfingers a faites pour favoriser la compagnie de chemin de fer pour laquelle il travaille vraiment, à savoir, la Central Pacific.

Blueberry va-t-il arriver à sauver tout le monde ou va-t-il se foutre un peu plus dans la merde ? Si on connait le personnage, on a déjà la réponse… Si Lucky Luke triomphe toujours, on sait qu'il n'en est rien dans la réalité et les auteurs n'ont jamais épargné notre lieutenant à la barbe mal rasée.

Dans cet album, tous les sales coups sous la ceinture sont permis pour faire échouer la ligne de chemin de fer de l'Union Pacific car il y a un marché à rafler et quand il s'agit de business, tous les coups de pute sont permis.

Les dessins de Giraud sont toujours superbes, foisonnants de détails sur la vie en ces temps-là et les décors sont grandeur nature.

Le scénario n'est pas à la ramasse avec Charlier et Steelfingers continue dans les saloperies à faire pour foutre le bordel, ment comme il respire, manipule tout le monde… Au rayon des Méchants, il est tête de gondole !

Pas de temps mort, de l'action, du suspense, des emmerdes comme s'il en pleuvait pour Blueberry et ses deux acolytes, Red Neck et Jimmy MacClure (que j'adore) pendant que le camp du chemin de fer est assiégé.

Rien à redire, Blueberry, c'est de la toute bonne came western !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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La suite du Cheval de fer...
Blueberry est au prise avec un des pires outlaws qui sévissent sur la route du transcontinental.
Mais notre lieutenant, élevé dans l'horreur de la guerre de sécession, et affiné
dans ses premières aventures à Fort Navajo, ne s' en laissera pas conter par l' Homme au poing d'acier.
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- L'Homme au poing d'acier, c'est pas un James Bond, ça?
- Meuh, non, qu't'es pomme, c'est le 8è tome des aventures de Blueberry !

Et quelles aventures ! le chassé-croisé entre Blueberry (accompagné de McClure et de Red Neck) et Steelfingers n'en finit pas et atteint même des sommets de rouerie. Tous les coups sont permis. Les ruses de Sioux suffiront-elles à Blueberry pour échapper à ses ennemis? Saura-t-il retrouver l'argent planqué près de la rivière? Et McClure et Red Neck sur leur draisine, auront-ils assez de gnôle pour aller jusqu'à Julesburg?

Superbe couverture. Superbe première case sur 2/3 de la planche qui montre le camp de l'Union Pacific en pleine agitation. Scénario qui fonce à la vitesse d'une train poussé à fond. le lecteur est comblé. On peut de nouveau louer l'intelligence des auteurs qui ont étalé sur plusieurs tomes une histoire dont ils peuvent alors gérer les rouages, la complexité, les rebondissements... Cela dit, je lis les tomes à la suite, et je plains le lecteur qui, en 1970, devait attendre la suite du tome chaque semaine... puis le tome suivant au bout de plusieurs mois.
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Le huitième tome de Blueberry, suite du cheval de fer où le lieutenant se retrouve à protéger convoi des cheyennes. Des personnages atypiques telle que la colérique Guffie ou Jethro Steel-fingers, le fameux homme au poing d'acier. On y découvre de belles scènes de far west et de villages indiens.
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Suite du Cheval de Fer, La situation des hommes de l'Union Pacific est critique : des milliers d'indiens vont leur tomber dessus et les actes de sabotage continuent... autant dire que la mission de Blueberry de trouver de l'aide est compliquée, surtout si l'homme au poing d'acier continue ses perfidies...
Une histoire encore passionnante, agrémentée des techniques indiennes de Blueberry, sa chance légendaire (qu'il provoque quand même), son intelligence évidemment et surtout cette propension à accomplir sa mission coûte que coûte.
Un pur western.
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EXTRAIT "Voilà un second volet encore haut en couleur. Trahisons, courses-poursuite, situations désespérées, la mission de Blueberry ne sera pas simple à remplir, surtout avec un adversaire aussi tenace que Steelfinger."
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..
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Encore une fois, Charlier et Giraud nous captivent avec cette aventure. Malheureusement, ils m'ont légèrement déçu avec la fin! J'aurais aimé voir le "scalpage". Malgré ça, c'est une bonne aventure.
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Pour moi, c'est tout simplement la meilleure couv de Blueberry au Monde !
C'est aussi la meilleure période des albums de Blueberry, là où l'unvivers du western y est le mieux retranscris.
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super
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Encore un album de grande classe...

Dans L'homme au poing d'acier, Blueberry est chargé de ramener puis d'escorter un train de secours, au camp avancé de l'Union Pacific. Il contient les armes pour se défendre contre les Sioux, ainsi que que les salaires des ouvriers en colère.

Le lieutenant y est confronté à Steelfingers, dans une alliance intéressée avec les Amérindiens de Sitting Bulls. En effet, en bon archétype du brigand de grand chemin, Jethro Diamond nourri le plan de récupérer les 300 000 dollars, convoyés dans le train. Mais rien ne se passera comme prévu...

Encore une fois, le scénario de Charlier tient la route, avec de nombreuses surprises et autres retournements de situation. Il introduit quelques personnages supplémentaires : en particulier la tumultueuse Guffie Palmer.

Les « Indiens » sont mieux mis en avant, notamment lors de leurs tractations avec le crapuleux Steelfingers. Mais ils restent rattachés au camp des méchants.

Dans ce cycle, si ces braves guerriers ne sont pas responsables de la guerre, leur fierté les poussent tout de même à l'entreprendre avec brutalité. Influencés par Jethro, leur côté naïf et primitif contraste avec la crasse modernité des colons blancs. Ainsi, Chalier développe une atmosphère hétéroclite, propre aux western des années 1960.

Les grandes étendues de l'Ouest sont également réalisées avec de plus en plus de finesse. Dans ce cycle, Giraud pousse son art vers l'avant, pour encore plus de réalisme. Ses décors gagnent en profondeur, avec une succession de plans dans la plupart des cases. Les dernières planches sont justes magnifiques et Giraud, en accumulant des cadrages impossibles au cinéma, apporte avec la BD une dimension nouvelle au western.

La narration graphique prend d'ailleurs le pas sur l'écriture. Si les dialogues restent fondamentaux pour l'intrigue et l'ambiance de la série, les vignettes explicatives paraissent parfois désuètes. En effet, le dessin et la mise en page de Giraud sont devenus suffisamment éloquents.

Ainsi, dans la scène finale de l'attaque du train, on passe par tous les états : inquiétude quant au sort des protagonistes, tristesse pour ces hommes tués, surprise, rire et finalement bonheur de voir nos héros s'en sortir.

Une petite pensée pour cette vieille carcasse de Mc Clure, au plongeon désopilant...
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