In Tenebris

Un peu trop long, fouillis, avec quelques vagues incohérences d'actions et des descriptions superflues... Mais un excellent thriller horrifique dans l'ensemble.

Je n'ai pas passé un moment exceptionnel à la lecture de ce roman, alors que j'aime beaucoup Chattam en général, bien que son style et son imagination soient sans commune mesure.

Ce n'est donc pas mon Chattam préféré mais, évidemment, ce ne sera pas mon dernier !

C'est avec beaucoup de joie et d'impatience que j'ai commencée In Tenebris, le tome deux de « La trilogie du Mal » très heureuse de retrouver Joshua Brolin, et le redécouvrir plusieurs mois après l'enquête du fantôme de Portland. Cette nouvelle enquête est dérangeante et attirante. L'auteur a vraiment le don de nous faire plonger dans ce qu'il y'a de pire en l'homme et de réussir à nous y faire rester de notre plein gré.
Honnêtement, âmes sensibles ? Ne lisez pas ce livre, de même si c'est votre premier thriller je pense, ne commencez pas par celui-ci, L'âme du mal est parfait pour ça. Amateurs? Foncez!
Gros point positif, il y a beaucoup moins d'explications scientifiques et de termes policiers.
Néanmoins je ne me suis pas du tout prise d'affection pour les enquêteurs que l'on découvre ici, voire même un certain énervement contre Annabel, le personnage secondaire...
Je me suis surprise plusieurs fois à lever les yeux au ciel tellement je n'ai pas adhéré à ce qu'elle pouvait penser ou dire. Je pense sincèrement que ce n'est pas l'effet voulu de l'auteur, car elle est aimée de tous dans le livre, tous sauf moi.

Troisième Chattam et une déception de plus.
Très bien écrit, du suspense, mais tellement prévisible, comme pour "L'âme du mal". Je ne suis en général pas doué pour deviner les fins et savoir qui est le tueur avant les toutes dernières pages mais, avec Chattam, c'est téléphoné.
Je pense lire le troisième tome de cette trilogie du mal mais pas maintenant. Et après, stop.
Un serial vendeur, et une déception, de plus !
On me l'avait pourtant bien vendu...

On retrouve, dans ce second volume de la trilogie du mal, ce bon vieux Josh Brolin qui va quitter Portland pour New-York et collaborer avec Annabelle O'Donnell. Une enquête palpitante qui nous plonge dans les antres infernaux de NY et qui parvient à nous dérouter par la complexité de ses méandres.

12 avril 1997. Un Boeing 747 de la Continental s'embrase en plein ciel et explose quelque part au-dessus du Colorado.
Janvier 2002 à Brooklyn. Annabel O' Donnel, détective au 78e precinct de Brooklyn est de retour chez elle. Elle vient juste de quitter son service quand son équipier, Jack Thayer, lui demande de revenir d'urgence. Une jeune femme vient d'être découverte marchant dans Prospect Park, nue, droguée et en état de choc. Son crâne sanguinolent montre qu'elle vient d'être scalpée à vif… Les médecins constatent de nombreuses ecchymoses et lésions sur tout son corps sans parler de traces de viol. le tortionnaire neutralisé rapidement collectionnait les portraits de ses nombreuses victimes. L'ancien profileur Joshua Brolin, devenu détective privé, vient proposer ses services à Annabel car lui-même travaille sur une affaire de disparition de jeune femme qui pourrait être tombée dans les griffes du monstre au domicile duquel les enquêteurs ne trouvent que deux crânes de femmes suppliciées croupissants dans une bassine d'eau alors que 67 portraits de possibles victimes sont affichés sur un mur. Une enquête compliquée s'annonce pour Annabel et Josh !
« In tenebris » est le second volet de la Trilogie du mal. C'est un thriller peut-être encore plus glauque et angoissant que le précédent opus. Chattam a voulu quitter les rivages trop fréquentés du genre en abandonnant le stéréotype du psychopathe sadique accumulant tortures et meurtres dans son sillage au profit de tout un groupe de monstres satanistes, une sorte de secte insaisissable mais responsable cette fois de plusieurs dizaines de crimes d'un sadisme encore plus accentué si cela est possible. On en arrive même à une certaine forme de paroxysme sur laquelle on jettera un voile pudique à la fois parce que c'est un des tabous absolus de nos sociétés modernes (quoi que…) et pour ne pas déflorer une intrigue si monstrueuse, si sanguinolente qu'il faut bien conseiller aux âmes sensibles de s'abstenir. Certaines descriptions lèvent le coeur pour ne pas dire qu'elles sont à vomir. le lecteur comprend très bien que l'auteur ait voulu en rajouter dans l'horreur et l'ignominie. L'ennui, c'est que ce trop-plein de sang, de monstruosité et de cruauté gratuite fait basculer cette histoire dans le grand guignol et dans une invraisemblance encore plus importante que celle du premier tome et finit même un peu par lasser. D'autant plus que le style reste très quelconque et que la narration manque toujours autant de rythme. Quel nouveau cercle de l'enfer, Chattam devra-t-il nous faire franchir pour maintenir notre intérêt dans le prochain ?
Lien : http://www.bernardviallet.fr

L'histoire commence bien mais hélas à un moment donné l'histoire ralenti, j'ai eu un peu de difficultés à garder l'envie de finir mais comme c'est quand même un Chattam, j'ai continué même si l'envie n'étais pas trop là. j'aime les livres rythmé du début à la fin. Ici beaucoup de description qui ralentissent beaucoup l'intrigue. Mais contente d'avoir continué. La fin valait le coup.
Je passe à maléfice en espérant que je ne décroche pas au milieu du livre comme pour ce tome.

Excellent ouvrage, Chattam tient toutes ses promesses dans cet opus qui m'a accroché de la première à la dernière page. Magistral, surtout dans la tension qu'il parvient à instaurer sur des détails, des indices disséminés au fil de la narration. Un vrai régal.

2e opus de la trilogie du mal qui met en scène Annabel et Brolin, devenu détective privé.

L'intrigue est vraiment lente à démarrer et il faut s accrocher jusqu'au 200 premières pages.

Pas mal de trucs vraiment degueu par rapport au premier volume.

Malgré des personnages un peu vides et l omniprésence de la neige et de la météo, certaines phases sont dynamiques et bourrées de suspense.

Une lecture agréable mais rien de transcendant.

Je n'ai pas vraiment réussi à rentrer dedans, l'histoire ne m'a pas paru crédible avec quelques heureuses circonstances qui font avancer l'enquête un peu trop facilement. Par ailleurs je me suis trouvé un peu trop dirigé sur les relations qu'entretiennent les personnages, guère de place à l'interprétation, tant l'auteur nous cadre et nous explique à outrance le ressenti des 2 héros. Bref, déçu par ce Chattam, des choses qui arrivent...

2e opus de la Trilogie du Mal, In tenebris a presque les même défauts que le 1er tome. Maxime Chattam en corrige certains et j'ai remarqué, chez lui, une sorte de dualité dans les intentions. Il cherche, et appuie fortement, sur le côté réaliste des procédures et de l'univers qu'il emploie. Nul doute qu'il y a beaucoup de recherches et de préparation en amont. Il se défend même de s'éloigner des incohérences qu'on trouve dans le cinéma ou la littérature.

Et parallèlement à ça, il développe un style très visuel, très cinématographique avec usage du ralenti ou effet à peu près improbable (je pense aux tirs à travers un mur pour tuer un ennemi et dont le sang coule au travers des trous de ce même mur). S'ajoute les scènes où la mort est promise… Mais non.

En soi, le style cinématographique ne me gêne pas mais Maxime Chattam insiste tellement sur son réalisme que le contraste est criant.
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