Quid des retrouvailles de
Sophie Chauveau avec la peinture ? J'espérais être à nouveau portée par celle que je considérais encore il y a peu comme notre
Tracy Chevalier à nous. Mais ce roman est lourd, à l'instar de sa biographie de
Diderot. Un luxe de détails pénible, un encyclopédisme barbant. le pire est sans doute lorsque le récit aborde la fin du XVIIIème siècle-début du XIXème, la dernière partie du livre. En effet, c'est à un cours ennuyeux d'Histoire de France que se livre l'écrivaine. de la Révolution à l'Empire, les dates sont égrainées, guère d'ellipse ni de subtilité, quant à ses commentaires, on s'en passerait : elle se fait presque intrusive. On doute franchement que ce soit Fragonard qui pense, ce sont plutôt ses opinions qu'elle lui prête.
Quel dépit…
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