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Catherine Despeux (Traducteur)
29 pages
afec.hypotheses.org (30/11/-1)
5/5   1 notes
Résumé :
Article sur la réalité historique du roi des médecins pourquoi son livre a disparu. Une page d'histoire sur la disparitions des manuscrits médicaux de Dunhuang, par un chinois, traduit par une française. Résumé de l'article, en français, en chinois et en anglais, article traduit en français par Catherine Despeux. Article établissant des liens très anciens entre médecine ayurvédique et médecine chinoise.
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Que lire après Le roi des médecins dans les manuscrits médicaux de Dunhuang : un titre indien dans la Chine médiévaleVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
En cherchant es informations sur le divin laboureur, je suis tombé sur le roi des médecins, qui serait un autre médecin issu de l'antiquité, et qui se révèle être, à étudier les écrits indiens tibétains et chinois, un médecin de l'Inde ancienne dont les prescriptions auraient été utilisé en pédiatrie!
QipoTongzi 耆婆童子 en chinois, serait en fait Jīvaka Kumārabhṛta ! C'est que les gens en occident qui étudient la médecine chinoise, sente un lien sur tout le continent asiatique dans les soins, et ne s'opposent pas à la médecine tibétaine ou la médecine ayurvédique, car oui, on sent en se sens une interconnexion sur tout le continent asiatique!
C'est que ce qui opposent les asiatiques ne sont ni la cuture de la médecine, ni la religion, dès le départ, cela a été des luttes de pouvoir régionaux... pas des questions de religions... quitte en Chine à avoir un curieux sens de l'interprétation des philosophes... alors oui, e suis contente d'avoir trouvé, écrit par un Chinois, traduit par une Française un texte de recherche récent qui nous parle d'un Indien qui aurait via le bouddhisme influencer les méthodes de soins chinoises et tibétaines... Pour comprendre les liens complexes depuis toujours entre ces trois régions asiatique, il faut déjà comprendre ce qui les unit avec de comprendre ce qui les divise! 32 pages intéressantes d'un article visiblement universitaire... en chinois, traduit en français.... quand le savoir n'a plus de frontière malgré les divisions mondiales... et l'on perçoit la vue de cet article, combien il est difficile d'établir un lien historique, combien de sources il faut lire en langues différentes ( chinois, sanscrit et tibétain) pour établir ce lien de façon sûr car si le non tibétain va se trouvé être du sanscrit tibétanisés ( qui existe depuis la création de l'alphabet tibétain à partir de l'alphabet sanscrit adapté aux sons de la langue tibétaine) et donc être très proche du sanscrit, on le voit toute de suite, en chinois, c'est une autre père de manche, Et pourtant, la pai dans la région et la préservation des trois médecines ancestrales, est à e pris, trois médecines qui ont beaucoup à nous dire sans être forcément compréhensible par la médecine occidentale, même ci cette dernière a parfois des correspondances étonnantes avec elle, des petits ilots de vérités universelles qui rassurent. Si cette article ne parle qu'un détail, il fait partie de ces détails qui vont rétablir la stabilité de la paix.... parce que toutes les sociétés de notre planètes terre ont des vérités universelles à apporter, des ajustements de connaissances à apporter à la science! Et c'est pour cela que nous devons les considérer comme faisant parti du patrimoine mondiale, et non comme des oppositions à la science!
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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
The King among physicians in Dunhuang medical manuscripts:
An Indian title in medieval China The title “King among physicians” (yiwang 醫王), which appears in Buddhist writings, is often associated with Jīvaka, the Buddha’s physician. In Dunhuang manuscripts, four versions of the Treatise of the Five Viscera by Zhang Zhongjing mention it. But the title does not appear in Chinese medical writings before the Tang dynasty. The present article discusses the origin and the meaning of this title in Dunhuang manuscripts as well as its use and evolution in other documents. It also describes the relationships between the medical cultures of ancient China and India.

敦煌醫學手稿中的醫王: 中國中古時代的一個梵文頭銜
陳明 (戴思博譯)
醫王這個頭銜出現在佛經裡,並且經常與耆婆(Jīvaka)連在一起。敦
煌醫學手稿中,有四部張仲景的《五藏論》裡面出現這個詞。但是
該頭銜並不存在於唐之前的醫學文獻裡。本文討論敦煌文獻裡醫王
的來源及其涵義,以及該詞在其他文獻中的用法和演變。文章也描
述中印之間醫學文化的關係。
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Citons également un poème conservé dans les manuscrits de Dunhuang, intitulé « S’enquérir de la maladie d’un ami » (Wen youren ji 問友人疾), et dans lequel il est dit :
Je ne sais quand je peux tomber malade, j’exerce toute ma vigilance pour éviter d’être alité. Si le mal est sérieux, il me faut prendre des remèdes à chaque repas ; s’il l’est moins, il me faut boire une bonne liqueur. Le palais envoie des lettres pour s’enquérir de ma santé. L’ami maudit la longueur de la route pour arriver chez moi. Aux murailles des frontières, je m’en remets au destin ; nul endroit où je puisse consulter un roi des médecins. 50
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L’importance de ce médecin indien au Japon se fait aussi sentir chez le moine japonais Eisei 榮西 qui, à l’époque des Song, se rendit en Chine pour chercher la Loi. Dans la première partie de son « Récit sur l’entretien de la vie par la boisson du thé », on trouve l’indication suivante : « L’Indien Jīvaka est mort voici plus de deux mille ans. De nos jours, qui sait prendre le pouls ? En Chine, le Divin laboureur a disparu depuis plus de trois mille ans, qui de nous maîtrise les principes des remèdes ? » 100 Ainsi, ces deux sources témoignent de l’influence de Jīvaka dans les ouvrages médicaux japonais écrits en langue classique aux époques de Nara (710-794) et de Heian (794-1185).
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Dans le Ŭībang yuch’wi de Kim Yemong citant le Traité des cinq viscères (Wuzang lun 五藏論), il est dit : « La section des médicaments vient du roi des médecins. L’empereur Jaune créa des aiguilles et son œuvre comptait plus de mille rouleaux. La nature et les bienfaits des médicaments, qui peut en donner une étude exhaustive sinon un immortel ? […] Le jeune Jīvaka le fait à merveille et les prescriptions du roi des médecins Yu Fu sont de la plus haute qualité. » 107 Ces documents nous apprennent que, depuis le royaume de Sylla jusqu’à celui de Chōsen, le titre de roi des médecins et le nom de Jīvaka n’étaient pas inconnus en Corée.
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L’époque des Tang voit le médecin indien Jīvaka devenir le symbole du parfait guérisseur. Il est cité par le moine Zhanran 湛然 (711-782) parmi une liste de plusieurs médecins chinois et étrangers, tous plus célèbres les uns que les autres : « Les règles de médecine ont été recueillies en Chine par Hua Tuo 華佗 (†220), Qibo, Bian Que, Shennong, l’empereur Jaune, le vénérable immortel Ge [Hong] 葛仙公, Zhang Zhongjing et bien d’autres.
Dans les contrées d’Occident, elles l’ont été par des personnes comme Jīvaka, Chishui 持水 (Jñanadhara) ou Liushui 流水 (Jalavāhana). » 8
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