Elle dégageait tant de lumière qu'à ses côtés, le jour le plus sombre semblait briller sous le soleil.
Je suis dans l’antre de Satan et j’ai survécu. Mieux que ça, je n’ai pas pris feu. Les anges comme moi ne sont pas censés partager la scène avec le diable.
- Comment va ton cœur ?
- Il est parfaitement et merveilleusement comblé.
Car mon cœur, ce cœur meurtri et couvert de fissures... battra à jamais pour elle.
Ça m’a d’ailleurs appris que les gens qui souffrent ont davantage tendance à critiquer ceux qui les entourent, sans doute pour se sentir moins minable.
- Je t’aime […] Je t’aime plus que tout, Shay, et je suis désolé d’aller si mal. J’aurais aimé être celui que tu veux, celui dont tu as besoin et que mérites, mais c’est impossible. J’espère que tous tes rêves se réaliseront. J’espère que tous tes vœux seront exaucés. Je t’aime comme je n’ai jamais aimé personne, et je suis désolé. Je suis tellement désolé de t’avoir fait souffrir.
- C’est l’effet qu’on a l’un sur l’autre. On se tire vers le haut, même sans le vouloir. Je crois que c’est ça l’amour en fait. Quand on aime une personne, on se sent guéri dès qu’on est avec elle.
Il m’appelle son remède, son havre de paix, sa liberté, mais Landon est tout l’inverse pour moi. Il est mon point faible, ma kryptonite, ma cage. Alors que je le tire vers le haut, il m’entraîne vers le bas. J’ai du mal à comprendre que l’amour ressemble autant à une bataille. Et si Landon est en train de la remporter, je suis en train de mourir au combat.
L’amour arrive à son propre rythme, sans se soucier du temps, de l’espace ou des contraintes.
Même s’il n’est pas toujours le bienvenu, il remplit les êtres de chaleur, d’espoir et d’un sentiment d’appartenance. Or, quand la personne qu’on aime nous quitte sans donner de date de retour… on est forcé d’attendre en retenant son souffle.
Parce que si je ne te déteste pas, tu pourras de nouveau me briser le cœur.
- La vraie vie devrait être plus belle que les films.