AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,3

sur 305 notes
5
10 avis
4
15 avis
3
3 avis
2
0 avis
1
0 avis
Enfin le final tant attendu ! C'est un tome périlleux et j'ai eu peur un moment d'être déçue, il faut dire que Clemens avait placé haut la barre et les attentes de ses lecteurs.

Petite frayeur donc parce que le tome prend du temps à véritablement démarrer, j'ai eu peur que la fin soit finalement précipitée, expédiée dans les derniers chapitres.
Au final c'est juste que Clemens savoure un peu son final, et je pense prend un malin plaisir à faire lambiner un peu son lecteur (le vilain !), le pire c'est que ça marche !
En même temps il peut véritablement se le permettre, le déroulement de cette conclusion est vraiment réussi et alterne avec un bon rythme suspens, émotion et action.

On a également le droit à quelques scènes attendues au milieu du flot de surprises et de rebondissements (j'ai presque crié de joie à la mort d'un des personnages quelque chose du style "vlan dans tes dents"). Autant vous dire qu'on est vraiment pris dans cette lecture et que plus on avance plus on a de peine à lâcher le livre !!

La révélation finale et le choix décisif d'Elena m'ont surpris mais pas véritablement emballée je dois dire... Plus sur la forme que sur le fond d'ailleurs ! Déjà dans le tome précédent je trouvais que les scènes se déroulant dans les portails / dans la magie étaient assez floues et un peu ennuyeuses, c'est encore le cas dans ce tome.
Il est toutefois plus qu'appréciable que Clemens ne laisse aucune question en suspens, le lecteur a toutes les réponses qu'il attendait, jusqu'aux fameuses introductions et avertissements sur le contenu du livre qui restaient jusque là assez mystérieux !

En résumé Clemens démontre dans ce final qu'il maîtrise sa saga et nous livre une conclusion à la hauteur du reste de la série. Si on peut lui reprocher quelques zones de flou c'est plus au sujet du style de narration de certaines scènes que de sa trame.
Il est plaisant d'être à la fois contentée sur ses attentes de lecture et de se voir fournir même plus à la fois que ce que l'on attendait, les bonnes surprises ont toujours du bon !

S'en est donc fini du périple de la sor'cière, je garderai cependant un oeil sur Clemens !
Lien : http://www.perdreuneplume.co..
Commenter  J’apprécie          100
Et voilà. Cette série est enfin terminée pour moi. Ce cinquième tome était à la hauteur de mes espoirs. L'action a toujours été présente, les rebondissements se sont enchainés et les révélations m'ont coupé le souffle. Je sais enfin qui est le mystérieux auteur des parchemins Kelvish et pourquoi ils ont été interdits ! Ces questions me taraudaient depuis looongtemps (trois ans et demi, en fait).
Le volume 4 m'avait beaucoup déçue et j'ai mis du temps avant de trouver le courage de poursuivre les aventures d'Elena. Je m'y étais ennuyée presque tout du long. Car Les Bannis et les Proscrits ont beau avoir de bons côtés, ils ont aussi des points faibles très récurrents et donc très énervants.

L'écriture est restée fidèle à elle-même tout au long de ces tomes : fluide, mais pas merveilleuse. Les mêmes expressions reviennent continuellement : l'éb'ène est une pierre « si noire qu'elle semble aspirer la lumière au lieu de la refléter », Ragnar'k apparaît toujours dans un tourbillon ou dans une « explosion d'écailles et de griffes argentées »… (D'ailleurs, l'argent est un des métaux les plus malléables au monde : comment ses griffes et ses crocs peuvent-ils couper quoi que ce soit ?)
Les descriptions sont souvent inutiles car elles sont très répétitives. Au début, je lisais mécaniquement ces descriptions en me demandant ce que j'allais me faire à manger le midi. Mais sur la fin, ça commençait vraiment à me pomper.
Au moins, le tome 5 offre plus d'action que le Portail de la Sor'cière, où je me suis clairement endormie. En fait, le premier et le dernier volume étaient les meilleurs de la série, ce qui me fait penser qu'il aurait peut-être mieux valu que l'auteur ne fasse qu'une trilogie ou une tétralogie. Trop de longueurs parsèment les livres médians.
La fin, elle, est bel et bien une vraie fin, mais elle laisse présager un gros changement pour la suite. Elle est donc très réussie. Malgré tout, j'ai regretté qu'on n'en sache pas plus sur l'avenir des personnages : que leur arrive-t-il après ?

J'ai également remarqué qu'il y avait beaucoup de fautes de frappe dans les derniers chapitres de mon édition (Milady), du style « sakl'tum », « Chi » au lieu de « Cho » (deux fois sur la même page !), « liée » au lieu de « Liée » et ainsi de suite. Les correcteurs étaient vraiment impatients d'arriver à la fin ?

L'univers est trop manichéen pour moi. Les opposants sont tous des bêtes difformes et cruelles, les alliés décrivent les terres proches de Noircastel comme des terres de désolation, des mers instables ou les icebergs côtoient des eaux fumantes ou les récifs sont ravageurs. Tyrus regarde ce paysage détruit et son coeur se serre d'inquiétude quand il se dit que c'est là le monde que veut le Coeur Noir. Mais je me suis demandée pourquoi : qu'est-ce qu'un monstre mégalomane comme lui pourrait bien faire d'un univers désolé où presque plus aucune vie ne demeure ? Ça n'a aucun intérêt !

J'ai pas pu m'empêcher de noter que le continent d'Alaséa est morcelé selon les quatre points cardinaux : le Grand Mur du Nord et le Grand Mur du Sud, Château Mryl au nord et Tular au sud, le Grand Croc du Nord et le Grand Croc du Sud, les Contrées du Couchants à l'ouest, les plaines de Stendi à l'est, le Grand Océan à l'est et l'Océan du Couchant à l'ouest. Et la grande séparation des terres dans un axe est-ouest grâce aux montagnes centrales. Étrange... Est-ce que c'est voulu et pourquoi ?
Autre chose : tous les peuples (mer'ai, el'phes, n'ains…) révèrent une seule et unique déesse, la Douce Mère. « Mère d'en-haut » et « douce Mère » sont des jurons internationaux. Avouez que pour des créatures aussi différentes et parfois, avec aussi peu de contact, il aurait été mieux de faire des religions plus variées. Ils ne peuvent pas tous avoir la même mythologie, quand même !

Les personnages ont une sacrée propension à renaître :

J'ai eu l'impression que l'auteur faisait de réels efforts pour me rendre Mogweed antipathique – tout spécialement dans le tome 4. Il passe son temps à se cacher derrière ses camarades dès qu'une ombre bouge et se permet en même temps de réfléchir à la meilleure manière de les trahir. Il est terriblement froid envers son frère qui, pourtant, ne cherche qu'à le protéger – comment des jumeaux peuvent être aussi différents ?
Mais son personnage gagne en profondeur dans les toutes dernières pages de la saga. Enfin (enfin ‼) il rassemble son courage à deux mains. Et la dernière chose qu'on le voit faire pour son frère m'a touchée… Finalement, peut-être que je vais pas le détester tant que ça, celui-là. Je regrette quand même que personne n'ait pu déjouer son double jeu et qu'il s'en sorte sans une explication.

Pour moi, le défaut principal des Bannis et des Proscrits est que les protagonistes manquent de profondeur (excepté Mogweed, du coup). Les histoires d'amour sont évidentes et clichées, sans relief et sans surprise.
Et les méchants ! Les méchants sont mauvais UNIQUEMENT parce que c'est dans leur nature (ou parce qu'ils sont possédés par de viles entités démoniaques). Aucune explication sur leurs actions et aucune nuance dans leur noirceur. Toutefois, certains sont corrompus, et donc leur nature est transformée et DEVIENT mauvaise. Mais d'une manière tellement exagérée qu'elle n'est pas crédible. Encore, si ça se faisait sur la durée ; mais non, c'est immédiat.
Quant au méchant des méchants, le Coeur Noir, le Parjure, le maudit…

Un petit détail (mais qui a son importance) : TOUS les descendants de quelques illustres personnages ont EXACTEMENT les mêmes traits qu'eux. Elena, de la lignée de Sisa'kofa, lui ressemble tellement que Tol'chuk a failli les confondre, et ce dernier est le reflet parfait de son ancêtre. Je rappelle juste qu'il y a plus de cinq cents ans d'écart entre leurs naissances et que ce n'est pas possible d'être le portrait craché d'un aïeul aussi lointain. C'est un cliché trop récurrent dans les littératures de l'imaginaire.

C'était toutefois une série sympa à lire, quelques fois lourde, quelques fois bateau. Il y a des incohérences qui trainent par-ci par-là, mais en 3 550 pages, c'est normal de faire des erreurs. J'ai aimé le suspense, le gore (sauf à la fin, c'était too much), les révélations… Je n'ai éprouvé aucune assimilation aux personnages parce qu'ils sont trop simplistes (la plupart des alliés ne sont caractérisés que par un trait de caractère : Er'ril, l'emportement, Nee'lahn, l'écologie, Mogweed, la lâcheté, Fardale, le courage…). C'est fatiguant.
Je ne pense pas relire cette saga, même si je suis contente de l'avoir découverte.
Commenter  J’apprécie          90
Enfin, l'ultime affrontement entre Elena et le Seigneur Noir ...

Pour rappel, les deux premiers tomes m'avaient laissés un peu sceptique mais mon intérêt pour cette série n'a cessé de croitre avec les tomes suivants.

Comme les autre, cet opus est un concentré d'action, de magie, de suspense et parfois d'émotions.
Il est aussi d'une grande densité. En tant que dernier tome, il doit révéler toutes les énigmes et achever le combat entre Elena et le Coeur Noir.

Seule ombre au tableau, la bataille finale est une surenchère de monstres en tout genre pour aboutir au combat contre le Coeur Noir qui se fait tuer à la manière d'un jeu vidéo genre Zelda.

De plus, bien que le livre nous dévoile la nature et objectifs du seigneur noir (pour un peu, on se prendrait de sympathie pour lui), les origines des pouvoirs d'Elena et l'identité du narrateur lui-même, beaucoup de choses sont tut.
Que deviennent tous nos héros une fois la bataille terminé ? Que devient la prophétie des Si'lua ?

Cette petite déception mise à part, la plume presque magique de Clemens nous dépeint des personnages de plus en plus fouillés et attachants, en particulier Mogweed et Joach.
Ce dernier est partagé entre le soutien de sa soeur dans sa quête et la résurrection de Kesla.
Quand à Mogweed, malgré tout ses défauts, il se découvre une grande noblesse d'âme devant la nécessité.


Au final, c'est avec tristesse que je ferme ce dernier opus. Cette série se révèle être un bon et long moment de lecture (chacun des cinq tomes fait en moyenne 800 pages).
Lien : http://lombredeskarnsha.blog..
Commenter  J’apprécie          80
Suite à l'avant dernier volet plus que renversant, je n'ai pas eu envie d'entrecouper mes lectures et me suis directement plongé dans la suite des aventures d'Elena et ses nombreux compagnons de route. Malheureusement et quand bien même j'ai apprécié cet ultime épisode, ce dernier m'a semblé manquer de panache et d'audace en comparaison de ce que nous a précédemment offert James Clemens.

En effet et pour la première fois, j'ai ressenti certaines longueurs dans le déroulement de l'intrigue. Sans pour autant manquer de piment, L'Étoile de la Sor'cière manque parfois cruellement d'action et de punch. Je ne suis pas habitué à ce que l'auteur s'attarde tant et cela m'a parfois dérangé et freiné dans mon immersion. D'autant plus que certains retournements de situations ou d'autres révélations ne m'ont pas semblé à la hauteur de toutes les promesses laissées présager dans ses précédents écrits même si ce dernier le laisse aucune question en suspend. Ainsi et quand bien même j'ai apprécié découvrir la conclusion de cette série, cette dernière se démontre réussie mais souffre d'un manque d'apothéose et se dévoile peu spectaculaire et fortement linéaire. James Clemens semble alors prendre que trop peu de risques et après avoir fait braver tant et tant de dangers à ses personnages, je m'attendais à une finalité épique et bouleversante et ce ne fut pas tout fait le cas. Ce dernier suit le schéma traditionnel du genre et seule la poésie de sa conclusion sauve la donne. Indéniablement, le titre de ce dernier volume est des plus évocateur et pourtant je ne m'attendais pas à autant de poésie et encore moins à de magie. Celle-ci baigne et immonde totalement l'univers de l'auteur et se veut d'une puissance renversante. C'est pourquoi, en réalité et avec quelques passages réduits, je suis certain que ma lecture aurait été bien moins monotone et toute aussi excellente.

Néanmoins et peu importe ces légers manques, je suis plus que triste de devoir faire mes adieux aux attachants et éloquents personnages composant cette palpitante et magistrale épopée. L'auteur mise bien plus sur ces derniers que sur son intrigue et cela se ressent totalement. Ainsi, chacun se dessine à son apogée dans cet épisode et tous auront le droit à leur propre conclusion même si, au vu de leur toujours plus important nombre, certains traitement peuvent sembler manquer de profondeur. Néanmoins et en ce qui concerne les personnages principaux, j'ai adoré les choix réalisé par James Clemens quant à Elena et Joach, tant chacun d'eux s'est à nouveau vu mis à nu lors de cette ultime bataille. Ces protagonistes centraux brillaient déjà grâce à leur construction ainsi que leur profondeur et j'en ai été encore davantage saisi par leur complexité et leur moralité durement mis à l'épreuve. Mieux encore, l'auteur boucle la boucle avec réussite et brio en apportant toutes les réponses à nos questions. Les identités encore secrètes sont dévoilées et j'ai été surpris de découvrir qui se cachait derrière l'auteur de ces livres interdits. Finalement, ce dernier laisse des pistes dans chacune de ses oeuvres et bien que plus qu'évident, j'ai réussi à me faire surprendre par ce choix plus que certain.

Enfin et malgré une narration légèrement plus bancale et moins entrainante qu'à l'accoutumé, James Clemens apporte un point final des plus juste quand bien même l'absence d'audace et d'ambition. Ainsi, j'ai pris un incroyable plaisir à suivre les dernières aventures d'Elena et sa bande de parias à laquelle je me suis plus qu'attaché et que je ne suis pas prêt d'oublier.
Lien : https://mavenlitterae.wordpr..
Commenter  J’apprécie          70
Ce dernier tome m'a très légèrement déçu. En effet, celui-ci est très dense il y a beaucoup à raconter et beaucoup de secrets à révéler, alors l'auteur a été obligé de faire des raccourcis. Il a passé sous silence des phases de l'histoire, même si on peut deviner ce qu'il se passe en poursuivant notre lecture. Ensuite, pour la bataille finale, j'ai eu l'impression d'une surenchère de monstres et de gros méchants qui aurait, à mon avis, pu être évitée ou allégée.
À part ça et comme toujours, l'auteur m'a enchantée, il a encore une fois réussi à nous surprendre, nous faire rêver ... Et il est maintenant certain que je vais étudier sa bibliographie de près (pour ces deux noms d'emprunt).
Encore une fois, j'ai été totalement prise dans l'histoire. Les éléments se sont précisés, puis enchaînés plus vite qu'on ne l'aurait voulu. Nos amis ont du faire des choix, bons ou mauvais mais qui déterminent l'avenir du monde. La frontière entre le bien et le mal est très mince et on finit par s'interroger si, à vouloir trop faire le bien, on ne finit pas par faire le mal autour de nous.
La bataille finale pour sauver le monde approche et les stratégies se mettent en place. Dans ce dernier tome, j'ai particulièrement tremblé pour notre Me'rai préférée et son dragon. J'ai vécu la transformation de l'O'gre à la sanguine. J'ai pleuré pour certains autres dont je tairai le nom. Et j'en ai maudit quelques autres.
Des méchants je ne dirai rien car si la sor'cière gagne, ça n'aura plus d'importance et si les méchants détruisent le monde, cela importera encore moins.
Je peux dire sans conteste que cette saga est superbe, tant au niveau de l'action qu'au niveau de la quantité et qualité des personnages : une saga que je relirai très certainement avec plaisir !
Lien : http://lefso.blogspot.com/20..
Commenter  J’apprécie          70
Une série fantasy vraiment géniale de bout en bout. Un univers ciselé avec une précision énorme. Des personnages (nombreux, très nombreux) profonds et attachants. Une oeuvre impressionnante. On va de rebondissement en rebondissement.
(Dans mon édition quelques coquilles, aussi dans les noms des personnages... pas cool quand il y en a autant)
Commenter  J’apprécie          60
J'ai beaucoup aimé ce dernier tome même si il m'a légèrement déçue : c'est un peu trop ce que j'attendais sans réelles surprises. Je veux dire par là que l'histoire est très proche des autres tomes, peut-être même trop et que maintenant je connais bien l'écriture de James Clemens.

Cela dit, cette conclusion de l'histoire m'a beaucoup plu.



J'ai notamment bien aimé le fait de ne pas réellement savoir qui était l'ennemi dans ce tome. Bon, peut-être que ce point ne vient que de moi (j'ai tendance à penser à mes cours quand je lis, du coup, parfois je loupe certains passages importants...) mais j'ai bien aimé ce flou. du coup, je n'ai fait réellement sa connaissance que dans la dernière centaine de pages. Ces sbires en tout cas me marqueront !



J'ai également aimé les différents couples qui se sont formés au cours des tomes précédents et qu'on retrouve dans celui-ci. Par contre, je n'ai pas franchement apprécié l'avalanche de mots d'amour qui en découlait, je n'ai pas trouvé ça très crédible. Et du coup je les ai trouvé plus niais que mignon même si ça m'a fait très plaisir de les voir évoluer ensemble.

De la même façon, j'ai beaucoup apprécié retrouver les différents personnages de l'histoire. D'autant plus qu'ils ne sont pas gâtés dans ce tome : je ne sais pas comment ils font pour garder la foi. Dès qu'un peu d'espoir apparaît, dans le chapitre qui suit, on comprend que c'est voué à l'échec... A leur place, j'aurais baissé les bras depuis longtemps (c'est sans doute pour ça aussi que je ne suis pas une héroïne de livre !).



Encore une fois, j'ai trouvé des longueurs au livre. C'est peut-être aussi parce que je ne suis pas fan des pavés et que du coup je suis toujours en train de trouver que je n'avance pas dans ma lecture. Mais j'ai trouvé que certains passages étaient longs ou inutiles (déjà rien qu'en enlevant tous les "mon amour" des dialogue d'Elena et Er'yl, on aurait sans doute gagné une bonne vingtaine de page ;D). Cela dit, en regardant les chroniques des autres bloggeurs, j'ai l'impression d'avoir été la seule à trouver des longueurs à L'étoile de la Sor'cière...

L'étoile de la Sor'cière est une belle conclusion à la saga des Bannis et des proscrits.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
Commenter  J’apprécie          61
Nous arrivons enfin à la conclusion de cette longue mais passionnante histoire pour l'affrontement ultime entre Elena et le mystérieux Seigneur Noir. Mais avant d'en arriver là de nombreux préparatifs vont être nécessaires et les problèmes vont rapidement s'accumuler.

Ce dernier tome est un bon condensé, de l'action, de l'émotion, du suspens, tout est là pour tenir le lecteur en haleine jusqu'à une conclusion pas si évidente qu'on aurait pu le craindre.

Pour conclure sur la saga, si on veut lui faire un reproche on pourra toujours parler d'un manque d'originalité, combien de fois a-t-on déjà lu cette histoire de jeune garçon/fille qui se découvre un pouvoir qu'il va devoir apprendre à maîtriser pour sauver le monde en Fantasy ? Mais pour le reste on ne peut absolument rien lui reprocher, le rythme est excellent, l'univers vaste et riche, les personnages attachants et pas trop manichéens et l'intrigue nous surprend régulièrement. Comme tout ça est porté par une écriture claire et efficace autant dire que "Les bannis et les proscrits" mérite largement son excellente réputation.
Commenter  J’apprécie          60
Je vais essayer de ne pas spoiler, mais bon, sans ça, ça va être court, parc que j'aurais beeeeaucoup à dire sur des points d'histoire, qui se trouvent donc tous à la fin du bouquin.
On sait déjà que j'aime le style de l'auteur, et que vous aussi, sinon vous n'en seriez pas au 5° tome. On aime donc le style, l'histoire, les pleins de rebondissements, l'enchaînement quasi sans pause, le monde riche, les personnages nombreux, tout ça tout ça.
Mais bon, là c'est le dernier tome, et si notre auteur clos l'intrigue principale (Elena, Cho, Chi, le Seigneur Noir, la fin du monde), moi, je veux plus détail. Il y a plein de personnages et la fin nous annonce grosso modo "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" (dans les limites du possible anatomique, je suis pas bien renseignée sur les croisements inter-raciaux). Et c'est là que pour bien me faire comprendre, je dois dévoiler 2-3 points:



Toujours est-il que je clos à regret (et à nouveau) cette saga, qui fut riche en émotions, en découvertes et qui me laisse du coup un peu seule avec (juste) une trentaine d'autres livres à lire.
Commenter  J’apprécie          50
Un tome vraiment prenant et surprenant, mais qui m'a rendu mélancolique car j'ai dû laisser derrière moi cette bande de compagnons hors normes, hors pairs et hors du commun. La dernière pas a été celle que j'ai tourné le plus lentement histoire de retenir encore un peu les filaments qui me liaient à ce récit. Chaque saga a une fin, et chaque fin nous laisse un sentiment de manque, d'inassouvi, et ce fut le cas ici.
Merci Mr Clemens pour m'avoir fait vivre ces rebondissements et m'avoir pris au coeur des pages.
Lien : http://themidnightangel.cana..
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (868) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2487 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *}