Décevant et bourré de clichés.
Commenter  J’apprécie         00
Merci Babelio ! Je vois que je ne suis pas la seule à avoir détesté ce roman annoncé comme un chef-d'oeuvre. Ça fait du bien. Tout est faux. L'héroïne forcément faite au moule et blonde à tomber (comme l'auteur, tiens tiens, qui affiche son frais minois et son titre de normalienne en 4è de couv). le héros, enfant trouvé sous les bombes devenu puissant comme pas permis. Alternance passé/présent mécanique. Grandiloquence-clichés-platitudes mêlés. Harlequin. Roman de gare. Musso/Lévy/Adect même combat. No hioumour. No staïle. Tapaloeil. Je craque après 130 pages et cours rendre le livre à la BPT où, méfiante, je l'ai emprunté...
Commenter  J’apprécie         00
Mais quelle mouche a piqué nos académiciens pour couronner une littérature de gare,un Thriller B --,une philosophie de comptoir?
Alors voilà,nous vivons le coup de foudre, à New York dans les années 70, de deux héros, beaux bien sûr, l'un self made man, genre Trump père, l'autre jeune héritière dont la mère ne s'est jamais remise de sa déportation à Auschwitz.
Jusque là tout va bien, verres de Cabernet, restos branchés, érotisme soi-disant torride. .. On connaît la chanson.
Mais après quand Werner (le héros), enfants adopté, recherche son père en Allemagne tout se gate. Car son papa avait un frère jumeau qui a exercé ses funestes talents à Auschwitz.
Bien sûr tout est bien qui finit bien mais quelle lecture éprouvante, les pires pages écrites sur les camps, mauvais thriller, mauvais livre à l'eau de rose.
Commenter  J’apprécie         00