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4,23

sur 904 notes
J'avais envie de lire ce roman avent de regarder l'adaptation ciné. Et c'est chose faite. Alors est-ce pour les durs à geek ? Eh ben, oui, hein ! Un peu. C'est ici bien vulgarisé, mais pour les personnes moins fans des jeux (vidéo et de société), de la musique, de films des 80's, il faudra peut-être parfois s'accrocher un peu.

Dans un futur assez proche (les années 2040), Anorak, le créateur d'un jeu virtuel ultra-réaliste, l'OASIS, meurt. Cette réalité virtuelle permet la création d'un avatar (évidemment idéalisé) et concentre des milliers de mondes, autant pour jouer, se détendre que pour apprendre et aussi faire du shopping. Anorak laisse son immense héritage au premier qui parviendra à découvrir ce trésor lors d'une immense chasse aux indices. Tous les utilisateurs de l'OASIS se mêlent à cette quête qui va prendre plusieurs années. A ceux-là, s'ajoute une vilaine entreprise d'accès à l'Internet et de création de produits de réalité virtuel prête à tout pour récupérer le pactole et pouvoir enfin faire payer l'accès à ce jeu. Evidement, notre héros et narrateur Wade/Parzival ne veut pas de cela.

Après un début de récit lent, dans le bon sens, avec la présentation du narrateur, de son mode de vie (orphelin, vivant à 99% dans le monde virtuel pour les loisirs et sa scolarité), du contexte actuel (pauvreté, fin des ressources pétrolières, régression mondiale) et de légères explications sur des jeux vidéo/films (une petite vulgarisation qui pourra faire bailler quelques connaisseurs), le récit prend un rythme de plus en plus rapide. Pour se finir dans une haletante « course-poursuite ». Enfin, plutôt une chasse au trésor. C'est simple, je n'ai pas pu décrocher des derniers chapitres. On se retrouve bien plongés dans certains jeux, dans cette quête parmi les jeux d'arcades et de consoles et d'ordis !
D'ailleurs, lors de la « biographie » du créateur de l'OASIS, les petits moments de création m'ont fait penser à la série TV « Halt & Catch Fire » basée sur des personnes qui créent des ordinateurs, mettent en place un réseau de jeux par internet lors des années 80 (justement) aux States.

Souvent, je me suis vu crispé à me demander si le héros allait parvenir à passer tel niveau ou à battre tel record sur PacMan ou Joust. On sent que l'auteur est lui-même un geek ou est au moins un joueur de jeux vidéo qui n'hésite pas à devoir « try hard » certains niveaux. La romance est aussi bien amenée et vraisemblable tant sur les plans de la virtualité (facilité de parler) que de la réalité (timidité/peur de la rencontre). L'ensemble fonctionne bien. Plein de plaisirs à lire ce roman, même si certains passages sont un peu tirés par les cheveux. J'ai d'ailleurs appris quelques petites choses et j'ai noté quelques titres de musiques, de films et de jeux à tester.

En tout cas, lisez-le tout en écoutant « 2112 » de Rush ! Ceci est plus qu'un conseil.


Quant au film… c'est une douche froide ! Quoique sympa, il manque tout ce qui est les petites explications sur des jeux, des eater eggs, des titres de musique et des films. Il est certain qu'il faut faire plus vite pour un film d'aventures/action. Mais bon, ça joue la facilité au max, tout en collant plus avec des easter eggs trop axés sur les années 2000 ! A part avec la mythique DeLorean et la bande son de « Back to the Future » ! Et aussi. Ça se veut trop familial comme film. En même temps, c'est Spielberg le réalisateur. Alors que le roman a des passages bien adultes (servage, sexe, morts réelles). Mais bon, faut attirer les foules… Après j'avoue avoir savouré quelques scènes dont celles sur « The Shinning » (absolument non présentes dans le livre), diablement bien foutues tout en étant marrantes.
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« -C'est pas ma faute, je te jure ! La file d'attente était hyper longue devant la porte des étoiles. »
Qui n'a jamais rêvé de dire un truc pareil ?!

Ca aura vraiment été une très bonne lecture ! Dans ce roman, rien n'est laissé au hasard et l'auteur a placé des éléments importants absolument partout !

« Trois clefs cachées ouvrent trois mystérieux portails
Où l'errant valeureux sera jugé de taille
Et tous ceux qui sauront surmonter ces dangers
Atteindront la Fin pour s'emparer du trophée. »
Nous allons suivre le personnage de Wade, un jeune homme très pauvre qui vit dans un monde apocalyptique. L'histoire se déroule dans les années 2040, la Terre est mourante : pollution, surpopulation, guerres… Par conséquent, afin d'échapper à la destruction, la plupart de la population terrestre (y compris les gens les plus démunis) est en permanence connectée à l'OASIS, un monde virtuel où tout est possible. Un jour, le créateur de l'OASIS, James Halliday, décède subitement sans laisser d'héritiers. Il a donc organisé une chasse au trésor géante dont le prix sera la fortune de Halliday et surtout le contrôle absolu de l'OASIS ! Evidemment, tous les utilisateurs se mettent en quête des trois clefs en s'aidant des indices laissés par Halliday dans un journal. Mais les geeks ne sont pas les seuls à vouloir gagner le contrôle du monde virtuel, puisqu'une multinationale du nom d'IOI a de grands projets pour l'OASIS (qui consistent en gros à faire payer chaque centimètres carrés par les utilisateurs).
Malheureusement, le roman commence cinq ans après le début de la chasse et personne n'a encore trouvé la première clef…

Niveau personnage, je n'ai pas été super transportée mais j'ai quand même bien aimé le personnage de Wade.
Il est intelligent et généreux, mais surtout il est passionné par Halliday et son oeuvre. Pour lui, la chasse n'est pas que synonyme de gain, c'est aussi un moyen de ne faire qu'un avec son idole.


Malheureusement, je n'ai pas accroché au personnage d'Art3mis parce que je l'ai trouvé trop arrogante et compétitive envers ses propres amis. Cependant les personnages de Shoto et Aech étaient vraiment attachants.

Les agents de la multinationale m'ont franchement saoulé, surtout Sorrento ! Ils ne s'intéressent pas à la chasse en elle-même, ni à l'oeuvre d'Halliday, ils veulent seulement avoir le contrôle de l'OASIS. Ils n'hésitent pas à tricher et menacer les autres participants pour essayer de prendre la tête du classement. Ils n'ont aucun respect pour le jeu et ne sont que cupidité et avarice… Ils m'ont dégouté !

Au niveau de l'écriture, je n'ai pas eu de problèmes particuliers. le roman se lit très facilement et l'action est bien présente. Un seul petit bémol : entre les scènes de chasse j'ai trouvé quelques longueurs qui auraient, je pense, pu être évitées…
Ce qu'il faut savoir sur ce roman c'est qu'il est bourré de références à la culture pop des années 80 ! Mais pour des personnes qui n'ont pas connu cette époque (comme moi), on peut parfois se retrouver perdu. du coup, j'ai apprécié le fait que l'auteur nous explique à chaque fois de quoi il retournait (par exemple, si il cite un film, il nous donne un résumé).

Le prologue met tout de suite dans l'ambiance et nous donne envie de continuer notre lecture. de plus, il nous permet d'attendre puisque l'action ne commence pas avant la page 120, et donc sans ce prologue, cette carotte qu'on nous donne au début du livre, j'aurais peut-être été un peu ennuyée. Mais grâce à celui-ci, on sait ce qu'il va se passer et le flot d'informations qu'on nous délivre jusque là nous semble plus digeste.

La fin de ce roman était juste exceptionnelle et émouvante (du moins pour moi) ! [master] J'ai pleuré à partir de la scène des ordinateurs jusqu'à la fin du jeu !
Cependant, j'aurais aimé avoir un aperçu de la vie après la fin de la chasse: que devient la Terre ? Et l'OASIS ? Et les personnages ?

Et pour terminer, un petit point sur cette couverture pour le moins décevante. Honnêtement, si je ne connaissais pas l'histoire, je ne me serais jamais dirigé vers ce roman si j'avais juste vu la couverture ! Ils pourraient faire un effort au niveau esthétique, surtout quand je vois la beauté des couvertures de certaines éditions !

Vraiment un très bon livre que je conseille à tous, qu'ils soient fan ou pas de jeux vidéos, fan ou pas des années 80, ce roman vaut le détour !

Lien : https://passionlivresblogblo..
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2045. Wade Watts, comme presque toute l'humanité, se connecte à l'OASIS, programme de réalité virtuelle mondial, pour fuir la misère et vivre la vie qu'il a toujours rêvé. Décédé quelques années auparavant, le créateur de l'OASIS James Halliday a caché un Easter Egg dans son monde virtuel. Celui qui le trouvera héritera de toute sa fortune. Wade s'est juré d'être le premier de cette "chasse à l'oeuf".

Les années 80 connaissent un regain d'intérêt depuis quelques années et Player One s'inscrit à fond dans cette mouvance nostalgique. Mais là où certains flattent le geek avec des références subtiles, Ernest Cline y va avec de gros sabots bien lourds. Son arme : le name dropping ; son objectif : citer un maximum de films, séries, chansons, jeux vidéos emblématiques des années 80.

Si vous êtes allergiques aux eighties, fuyez ! pauvres fous, car vous ne passerez pas.
En dehors d'une poignée, importantes et vraiment intégrées à l'intrigue, la grande majorité des références sont purement gratuites, du genre : "Il ressemblait à ce personnage du feuilleton Ricky ou la belle vie" ou "L'escalade des poutrelles des Piles me faisait penser aux anciens jeux vidéos de plate-forme, comme Donkey Kong ou BurgerTime". Si vous êtes trop jeune pour avoir connu les années 80, pas de panique, vous ne serez pas perdu pour autant. Ernest Cline n'oubliera pas de préciser que Dragon Magazine était une revue dédiée aux jeux de rôles et la Folle Journée de Ferris Bueller, un film de John Hugues décrivant la vie des adolescents... et tant pis si ça alourdit encore un peu plus le récit.

Pour vous donner une idée de la quantité, j'en ai listé une partie :

Je ne sais pas vous, mais moi j'ai frisé l'overdose. Surtout que cela sert essentiellement de cache-misère à une intrigue finalement pauvre. Une simple chasse au trésor à la structure répétitive : un message codé permet de découvrir une clef qui ouvre un portail qui renferme un message codé, and repeat it. Les rebondissements sont convenus et se voient venir de très loin. La troisième partie de l'histoire est truffée de facilités scénaristiques qui mènent à une fin attendue

Les personnages sont tout aussi convenus. Wade est un jeune ado introverti dans la vraie vie, mais qui devient un mec cool dans la peau de Parzival, son avatar. Idéal pour que l'identification du lecteur. Si tu es une fille, rassures-toi, Art3mis est exactement le même personnage, avec une paire de seins. Mais la palme revient au méchant.
Nolan Sorrento est le président d'IOI, un société de fournisseur d'accès Internet qui aimerait mettre la main sur l'OASIS pour en rendre l'accès payant et l'inonder de publicités. Sorrento vole, ment, tue, corrompt, triche aux jeux vidéos, bref, il ne lui manque que le rire maléfique dans sa panoplie de grand méchant de bande-dessinée caricatural.
À propos, j'aurais imaginé que n'importe quelle société dans le monde, quelle que soit son secteur d'activité, aurait forcément cherché à mettre la main sur l'héritage de l'homme le plus riche du monde, mais visiblement seul IOI semble intéressé. Peu crédible.

Finalement, seul la description du fonctionnement de l'OASIS recèle quelques bonnes idées. le système éducatif imaginé par Ernest Cline repose sur des règles crédibles et cohérentes. le monde réel, quant à lui, est une dystopie assez générique comme on en a lu milles fois. En gros, la Terre est polluée, les inégalités se sont creusés entre riches et pauvres, etc. On en saura pas plus, mais de toute manière, cela n'intéresse pas l'auteur qui privilégie l'OASIS et son étalage de pop culture.

Pour résumer, je dirais que Player One est un roman écrit pour les jeunes blindé de références pour les vieux. Je n'ai pas aimé.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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Wade est un ado qui vit dans un immeuble fait uniquement de caravanes. Ses parents sont morts, dans ce monde où le virtuel est plus important que le réel. Dans le monde virtuel, il est possible de travailler, d'étudier, de jouer à des jeux vidéo, d'avoir des amis et même de tomber amoureux... il est même possible de tenter l'aventure et être le premier à trouver la clé qui permettra d'accéder à l'empire de James Hallyday, le créateur de l'Oasis, ce monde virtuel.
Pour quelqu'un né dans les 70's, ce livre est une énorme pochette surprise qui regorge de références à des livres, de la musique, des films et bien sur des jeux vidéo qui ont bercé mon enfance. J'ai hâte de voir le film maintenant !
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Relecture du 1er janvier 2022 avant de découvrir la suite Ready player two (oui, j'ai cette habitude sans doute chronophage de relire les tomes précédents lors de la parution d'une suite).
J'ai aimé cette relecture, j'ai fait plus attention aux références geek des années 80 car c'est totalement l'époque de ma jeunesse. Moi même, j'ai recopié au clavier des pages de code sur un Amstrad avant de pouvoir lancer un jeu (et il ne fallait pas se tromper d'un caractère !), ça m'a sans doute appris la patience et la précision mais j'apprécie aujourd'hui de pouvoir lancer une petite partie sans délai sur une console.
Les auteurs, les films cultes, les jeux vidéos évidemment, un souffle de nostalgie lorsque l'on retrouve tous les noms de nos "héros" de jeunesse. Comme dirait Art3mis, être une geek asociale bourrée de tocs, ça a du bon parfois ! ;-)

Première lecture :
J'ai décidé d'approfondir en lisant le livre après avoir vu le film (c'est très rare car je préfère toujours découvrir une histoire par les mots) et je n'ai vraiment pas été déçue car il est très différent, même les épreuves ne sont pas du tout les mêmes, moins visuelles mais plus intéressantes, le contexte est plus détaillé, la vie de Wade également.
Une belle découverte
Merci
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Qui n'a jamais voulu se projeter dans son film ou son jeu-vidéo préféré (malheureusement, on ne parle ici pas de livres…) ?

Dans un futur proche, la majorité de la population vit plus un monde virtuel, nommé l'Oasis, que dans la réalité, qui n'est plus très accueillante. C'est dans cet univers virtuel qu'est organisée une immense chasse au trésor, qui permettra au vainqueur de devenir immensément riche et puissant.
Nous suivons donc Wade, qui participe férocement à cette quête, entre son quotidien et les étapes franchies de la quête.

Malheureusement, le rythme est très inégal : on alterne entre des chapitres vraiment addictifs et des passages trop lents ou des explications un peu obscures pour la novice que je suis.
Le roman comporte de nombreuses références aux films, jeux-vidéos et musiques des années 80 nord-américaines. Quasiment aucune ne m'a parlée. Ce n'est pas forcément très dérangeant, mais je ne pouvais pas réfléchir à la résolution des énigmes et recherches qui ponctuent la lecture, alors que justement ce qui est intéressant dans les énigmes, c'est de faire participer le lecteur…

Globalement, c'était une bonne lecture, mais certains éléments scénaristiques étaient un peu trop faciles. Un peu comme dans les films hollywoodiens : il ne faut pas regarder de trop près à la cohérence des actions si on veut passer un bon moment. Et c'est que j'ai fait…

Ce que j'ai le plus aimé finalement, c'est que l'auteur réalise les fantasmes des joueurs : avoir des artefacts badass, piloter des robots géants et d'une manière générale vivre dans le jeu…
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super bouquin = mauvais film
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Même si j'aime beaucoup les jeux vidéos, ce livre ne me tentait pas du tout. J'estime qu'il est difficile de retranscrire, par l'écriture, les sensations et l'enthousiasme ressentis en jouant à un jeu. Bref, ça me semblait frustrant de lire un livre dont le sujet principal est un jeu vidéo auquel je ne peux pas jouer. Comme c'est ce titre qui a été choisi pour une lecture commune à laquelle je participais, j'ai pris sur moi et tenté l'aventure. Et "Player One" s'est révélé être une bonne surprise...

Nous sommes en 2044 et la situation de l'humanité s'est encore dégradée. Les couches les plus pauvres de la société vivent dans des piles constituées de mobile-homes et caravanes empilés les uns sur les autres, on peut être quasiment réduit en esclavage si l'on ne paye pas ses dettes, etc. Par contre, il y a eu de grandes avancées technologiques, l'une d'entre elles s'appelle l'OASIS. Il s'agit d'un énorme jeu vidéo, d'un monde virtuel illimité où chacun peut vivre, au travers de son avatar, une existence plus intense et agréable. Son créateur, Halliday, est maintenant décédé, laissant un drôle de testament à tous les joueurs de l'OASIS : celui qui parviendra à trouver l'easter egg caché dans l'OASIS héritera de toute sa fortune. Cette quête passionne donc de nombreux joueurs, dont Wade, le héros de ce roman.

Pas très emballée par le résumé, j'ai changé d'avis après avoir lu les premières pages. L'auteur décrit très bien les univers réel et virtuel qu'il a imaginés, nous aidant à nous immerger dans son histoire. L'écriture est assez prenante et on finit par s'attacher à Wade/Parzival et les autres chassoeufs. Il y a énormément de références aux années 80,mais même si je ne les maîtrisais pas (étant donné que je suis née au début des années 90), elles ne m'ont pas gênée plus que ça. J'ai parfois pensé également à des personnes ou des jeux plus actuels que les années 80 : Halliday est un genre de Steve Jobs/Bill Gates/Mark Zuckerberg, l'OASIS me fait penser à Second Life, etc. Les thèmes abordés dans "Player One" me parlent : l'avenir de la planète et de l'humanité, l'isolement et la solitude, la frontière entre vie réelle et vie virtuelle, l'amitié et le respect entre joueurs,... Par contre, j'ai parfois ressenti un manque de crédibilité pendant ma lecture .

Je suis finalement contente d'avoir découvert ce livre, je ne l'aurais évidemment jamais lu sans y être "forcée" !
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Player one. de Ernest Cline. Une histoire qui se plonge dans les années 80 et explore les mythes de ces années. Cette aventure m'a paru plaisante, dans un univers totalement innovant, avec ses hauts et des bas. J'ai aimé être baigné dans les anecdotes, même si la plupart d'entre elles m'ont semblé m'echapper. Nostalgique, non. Car ce ne sont pas mes années, ce qui fait que je n'ai certainement pas été enchanté par toutes les petites pointes de retour dans le passé. Reste que le roman a été un très bon moment, avec une histoire prenante. Juste un début de roman plutôt brouillon au niveau des phrases alourdissant les propos. Peut-être le temps de me faire au style. Et j'aurais aimé être transporté dans plus de questionnements autour de l'effermement dans le virtuel.
Bref, sympa.
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En voilà un roman surprenant. Je ne m'attendais pas à ça avant de commencer la lecture. Alors bien sûr, il faut avoir un minimum de culture générale des années 80 pour apprécier et comprendre les références (et notamment connaître des films comme War Games et La folle journée de Ferris Bueller).
C'est un livre qui se dévore, qu'on n'a pas envie de refermer avant d'avoir atteint la dernière page quitte à en passer des nuits blanches.
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