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Critiques filtrées sur 4 étoiles  

Ce que j'aime avec cet auteur belge, c'est la liberté totale avec laquelle il mène ses intrigues pour nous livrer des romans kaléïdoscopiques qui ne vont jamais exactement là où on les attend.

Cela démarre pourtant très classiquement par la garde à vue de Nikola Stankovic, 35 ans, artiste-peintre, pour l'assassinat d'une jeune prostituée croate comme lui. Tout l'accuse, ses empreintes, ses croquis, tout. Mais lui nie , sans pour autant collaborer avec les forces de police.

Forcément, tu te dis que cela va partir en enquête policière pour découvrir si oui ou non il a commis ce crime ... sauf que l'enquête à proprement parler est mené par un duo atypique composé par son avocat et la directrice du centre psychiatrique dans lequel il est interné en attente de son jugement. le polar rebondit et se transforme en thriller psychiatrique intime pour fouiller l'âme, le passé et les traumatismes refoulés de Nikola.

Puis l'intrigue rebondit encore ailleurs avec la thématique des mystères de l'art. Nikola est un graffeur génial, surnommé le Funambule pour ses performances, capables de peindre d'immenses oeuvres d'une rare violence en des lieux improbables. Il est évident que ces oeuvres sont emplies de messages, de symboles et que celui qui les décryptera saura la vérité. le pinceau pour dire lorsque l'artiste se tait.

Paul Colize ne s'arrête pas là et propose encore une couche de lectures qui, superposée aux autres, donner la clef : la dimension historique avec un des épisodes les plus sanglants du conflit yougoslave, les 87 jours de siège de la ville croate de Vukovar, ville martyre rasée par les nationalistes serbes après viols et massacres.

Tous les thèmes abordés le sont avec intelligence et justesse, chaque mot à sa place, ce qui rend ce roman inclassable souvent passionnant, incarné par des personnages attachants, jusqu'à une fin lumineuse faisant la part belle à la résilience et à la chaleur humaine. Paul Colize est un humaniste.

Lu dans le cadre du Club Sang Bepolar.com
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Peut-être pour ceux qui sont belges, avez-vous déjà vu les fresques violentes qui ornent certains murs de Bruxelles ? Qualifiées de scandaleuses par certains, de chefs-d'oeuvre par d'autres, Paul Colize a imaginé que ces fresques nous racontaient quelque chose. Ainsi lui vient l'histoire de ce polar Toute la violence des hommes. Mon premier livre de cet auteur, conseillé par une lectrice qui se reconnaîtra, son enthousiasme et ses nuits blanches ont fait mouche chez moi. Merci dame Laurence, l'éclaireuse.

Banlieue de Bruxelles, une jeune femme est retrouvée morte, poignardée. Tout accuse Nikola Stankovic, pourtant celui-ci ne cesse de clamer son innocence « c'est pas moi ». Nikola surnommé le funambule, est l'auteur de fresques ultra-violentes comme celle sur la page de couverture montrant un égorgement. Nikola se terre dans le mutisme et semble prisonnier d'une souffrance indescriptible. Est-il coupable ? Qui est-il ?

Sa psychiatre et son avocat vont dénouer les pistes autour de ce meurtre et de ces fresques heurtantes. Petit à petit, on découvre l'histoire de Nikola né dans les années 80 dans l'ex Yougoslavie.

Je n'ai fait qu'une bouchée de ce thriller qui détourne les ficelles des polars habituels. Pas de flics, pas de scènes ultra gores mais une histoire sensible sur une période charnière de l'histoire pas si lointaine. La guerre en Yougoslavie. J'avais douze ans quand elle s'est déclarée et j'en tremble encore moi qui ai du sang yougoslave dans mes veines.

On vit ici de l'intérieur les traumas de la guerre. L'auteur fait revivre entre suspense et passages émouvants ce pan de l'histoire en y mêlant habilement réalisme, actualité, psychologie et ce, sans temps mort.

J'aime ces thrillers qui vont au-delà de leurs codes, qui osent nous toucher, nous couler, nous rendre insomniaques, ces thrillers qui touchent à la mémoire, à l'Histoire sans jamais nous perdre ou nous écoeurer.
Lien : https://coccinelledeslivres...
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Un roman graffiti !
Niko est un graffeur clandestin d'origine croate, surnommé le Funambule. Il a choqué Bruxelles par des fresques à la violence provoquante qui tapissèrent les parois vertigineuses des immeubles les plus inaccessibles de la ville. Rien à voir avec les gribouillis pitoyables d'un adolescent en rébellion qui bombe son pseudo, décalcomanie aussi ratée qu'un tatouage tribal sur un coup de soleil, sur les murs d'un supermarché ou d'un panneau électrique. Niko est un vrai artiste, marginal, provocateur, qui rappelle un peu Bansky.
Son anonymat prend fin quand il est accusé du meurtre d'une jeune femme poignardée sauvagement. Des esquisses de la scène du crime sont retrouvées chez lui mais l'artiste reste muet devant les policiers et ses juges. Il est transféré dans un hôpital psychiatrique pour que les experts diagnostiquent si l'équilibriste n'est pas trop déséquilibré.
Chaque chapitre de ce polar est une performance. Comme à son habitude, l'auteur belge dévore son lecteur en taguant le mur de l'intrigue de scènes rythmées au chronomètre, comme si sa prose devait respecter l'urgence créatrice de son personnage. C'est une narration addictive, partage d'adrénaline entre le lecteur et le peintre « sur » bâtiment. Ce n'est pas nouveau. Paul Colize aime aller à l'essentiel. C'est un auteur de refrains, il laisse les couplets aux maçons paveurs de l'écriture. Aux scènes de transition, il préfère ici les souvenirs d'enfance de Niko à Vukovar, en pleine guerre des Balkans. Dans ces passages, la plume se fait pudique à travers le regard d'un enfant de 9 ans, témoin innocent de l'horreur des bombardements, des exécutions et autres atrocités qui frappèrent les civils.
Son avocat des causes perdues et la directrice de la clinique, beauté arctique impitoyable (un rôle fait pour Isabelle Huppert) vont essayer de décrypter le faux du vrai dans les oeuvres de Niko et dans son passé douloureux.
Je suis d'ordinaire assez frileux face aux récits qui alternent passé et présent. Je les trouve un peu boiteux, les allers-retours claudiquant dans l'espace-temps du roman. Les flashbacks tiennent lieu de psychanalyse pour les personnages et je m'assoupis souvent sur la méridienne de leurs pensées. Mais, ici, la foulée du récit est aussi gracieuse que soutenue. Des morts mais pas temps mort. Les chapitres conversent et se répondent à travers les oeuvres de l'artiste urbain qui exorcise ainsi ses cauchemars.
Paul Colize ne raconte pas toujours la même histoire, évite le recyclage des idées reçues. Dans les ruines fumantes de Vukovar, l'auteur a délaissé son humour noir pour un style concis. Les mots s'effacent face à l'incompréhension et à l'effroi.
" Cela n'avait aucun sens (...) Les Serbes et les Croates parlaient la même langue, habitaient les mêmes quartiers, riaient des mêmes blagues, jouaient, buvaient, mangeaient, dansaient ensemble. La seule chose qui les différenciait était leur écriture. Cyrillique pour eux, latine pour nous. Personne ne penserait à se battre pour une question d'écriture."
Un roman que j'ai trouvé très abouti qui mérite bien qu'on lui tague une nuée d'étoiles.
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A Bruxelles où, ces derniers temps, les murs ont vu fleurir de vastes fresques ultra-violentes anonymement exécutées de nuit par un graffeur de talent, un homme d'origine croate est arrêté pour le meurtre d'une jeune femme retrouvée poignardée chez elle. Alors que tout l'accuse, l'assassin présumé s'enferme dans le mutisme, se contentant de nier sans explication. Placé en observation psychiatrique, il ne semble intéressé que par le dessin, pour lequel il fait preuve d'un véritable don.


Paul Colize a inventé cette histoire à partir des vraies fresques, impressionnantes par leur taille et leur violence, parfois inspirées de tableaux célèbres de la peinture classique comme le sacrifice d'Isaac du Caravage et Les corps des frères Witt de Jan de Baen, qui sont apparues ces dernières années sur des immeubles de Bruxelles, sans que leur controversé mais talentueux auteur se soit jamais fait connaître. L'écrivain a imaginé un personnage atteint de trouble de stress post-traumatique, qui aurait trouvé un exutoire dans l'expression graphique urbaine. le récit alterne entre l'enfance de Nikola Stankovic pendant la guerre de Croatie, et son séjour en hôpital psychiatrique bien des années plus tard. Il nous fait vivre les terribles siège et massacre de la ville de Vukovar en 1991, nous enferme dans une souffrance psychique qui risque de déboucher sur une réclusion physique définitive faute du diagnostic adéquat, et nous interroge sur la puissance de l'art, véritable élan vital aux manifestations parfois très peu conventionnelles.


Le roman entretient le suspense autour du sort de Nikola, doublement victime de la violence des hommes puisqu'à son traumatisme répondent la répression et l'enfermement. Dans son univers de noirceur tremblotent quelques lueurs d'espoir auxquelles, tout comme le lecteur, il va tenter de se raccrocher : son art, et l'humanité de quelques personnages atypiques et attachants.


Histoire terrible inspirée par de dérangeantes et anonymes oeuvres de rues, ce livre illustre le pouvoir libérateur de l'art, cri muet universel et irrépressible, que ni l'indicible ni l'oppression ne sauront jamais faire taire.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Un bon p'tit thriller en mode pageturner de temps à autres, je ne dis jamais non. Un genre bien plus difficile qu'il n'y paraît, qui ne souffre pas la facilité dans laquelle certains voudraient parfois le faire tomber. Un travers que ne connaît pas Paul Colize, maître belge du genre, qui ne m'a une fois de plus pas déçu avec Toute la violence des hommes.

« C'est pas moi ! » Difficile de croire Niko quand il n'apporte que cette simple réponse alors que tout l'accuse du meurtre d'Ivanka, prostituée croate retrouvée assassinée au couteau avec des traces de la présence de Niko dans son appartement. Introverti et mutique, il est transféré pour observation au sein d'un établissement psychiatrique afin de déterminer sa responsabilité psychique ou plutôt, sa part de conscience des faits.

Peu à peu, le dessin et les clés cachées dans ses oeuvres graphiques, mais aussi la conviction bienveillante de son avocat et de la directrice de son innocence, vont aider ce street-artiste-graffeur de génie à libérer sa parole. Remontent alors peu à peu les traumatismes du passé : une enfance à Vukovar, l'invasion des tenants d'une Grande Serbie, le siège interminable, puis l'horreur et l'indicible. Puis la fuite, qui sauvera le jeune Niko.

En bon virtuose qu'il est, Paul Colize est appliqué dans la maîtrise technique (chapitres courts, dialogues secs, rythme tenu, pas d'abus de twist à deux balles) mais donne toute sa valeur ajoutée dans l'apport d'une dimension historique (la bataille martyre de Vukovar) et contemporaine (les mystérieuses et funambulesques fresques apparues en quelques nuits sur les murs de Bruxelles).

Si on ajoute une vraie réussite dans le traitement des personnages (qu'on pourrait même imaginer devenir récurrents), vous comprendrez pourquoi ces 300 pages ont été avalées d'une traite !
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Encore un très bon moment de lecture avec cet auteur belge talentueux , spécialisé dans les polars .
Une jeune femme d'origine croate a été tuée et son assassin présumé peut difficilement se défendre , tout l'accable .
Pourtant , il se dit innocent , on ne peut pas dire qu'il clame son innocence haut et fort , bien au contraire , il se contente de dire en boucle , presque comme un murmure , que ce n'est pas lui .
Devant son mutisme persistant , il est envoyé en observation dans un service de défense sociale , c'est à dire , un service de psychiatrie spécialisé pour recevoir des criminels irresponsables de ses actes .
L'enquête révèle que la jeune femme assassinée était sans doute une prostituée et est d'origine croate comme le jeune accusé.
Le jeune homme se révèle être ' le funambule ' , artiste recherché par la police , qui peint des fresques sur les murs de Bruxelles , fresques qui existent réellement et font beaucoup parler d'elles .
Comme dans tous les romans de l'auteur , il y a toujours plusieurs histoires qui s'entremêlent et qui finissent par se rejoindre à la manière d'un puzzle .
On y rencontre l'humanité de certains personnes comme la directrice du centre de défense sociale , l'anecdote l'a concernant à la fin du roman m'a fort touchée ; ou encore l'avocat qui ressemble beaucoup à un grand avocat belge .
La guerre en ex Yougoslavie est présente avec son cortège d'horreur , sa violence qui donne son nom au titre .
Une lecture originale .
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" Toute la violence des hommes", roman intelligent, bien construit qui nous amène dans l'univers du street art et de fresques existantes à Bruxelles.
Si les fresques sont réelles, l'histoire est quant à elle bien une fiction. Nikola stankovic, graffeur de talent est accusé de meurtre. Tous les indices mènent à lui. Arrêté il n'aura d'autres arguments de défense que "c'est pas moi"
Voilà qui est pour le moins intriguant.
On apprend que Niko est originaire de croatie, et au fil des chapitres qui alternent avec le présent, on découvre qu'il était âgé de 8 ans durant la guerre en Yougoslavie. Il était avec ses parents au coeur du siège de Vukovar et a vu ce que personne ne devrait voir et encore moins un enfant.
Le lien entre ce passé traumatisant et son talent artistique est vraiment passionnant. Niko va se retrouver interné et pris en charge par Pauline Derval, la directrice de l'établissement psychiatrique, peu avenante et pourtant...
Tout est bien construit, ce Niko est attachant intéressant, bouleversant.
J'aurais pu mettre 5 étoiles, je reproche juste le point de vue de l'auteur qui diabolise les Serbes sans aucune nuance, les Croates n'étant ici perçus que comme victimes.
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Toute la violence des hommes, elle vient de là elle vient des tripes. Les mots ne sont jamais les mêmes pour exprimer ce qu'est le Mal…

Paul Colize apporte depuis plusieurs romans sa pierre à l'édifice, et lapide certaines idées préconçues.

Exit pour un temps son humour pince-sans-rire, le ton est précis, parfois clinique (à raison), journalistique parfois. Mais à force de côtoyer certains personnages, l'émotion vient fleurir.

Il est question d'un meurtre, mais ce roman est assez inclassable. Pas vraiment un thriller, même s'il joue avec les codes du genre. Et toujours cette part importante de réalité qui est présente en fond, et qui donne du corps au récit. Colize est un conteur mais aussi un auteur qui donne des clés pour comprendre, et qui dénonce également.

L'un des points de départ réel de son histoire est en lien avec des graffs qui sont apparus sur les murs de Bruxelles, il y a quelques années. Réalisés par un graffeur inconnu, qui a pris des risques inconsidérés pour les réaliser. Il a imaginé quelle pourrait être l'histoire qui se cache derrière.

Voilà une intrigue aux multiples entrées. Par le dessin, par le crime, par l'Histoire, par le traitement de la folie (du moins ce qu'on considère comme tel). Ce mélange de thématiques est passionnant et captive de bout en bout !

L'art est parfois rapproché de la folie. Alors, quand un graffeur aux dessins violents se retrouve soupçonné d'un meurtre sordide, la société se pose vite la question de sa santé mentale. A-t-il toute tête ? Vit-il dans notre réalité ?

Pour comprendre, il faut entendre. Manque de bol, le bonhomme reste mutique. Et, il est rare de trouver encore les personnes qui veulent bien écouter et déchiffrer. C'est ce que cherchent à faire son avocat et la directrice du centre où il est en « observation ». Deux personnages forts, complexes, qui se cachent sous des masques. Mais quand on creuse le vernis, on y découvre une vraie humanité.

C'est cette humanité qui permettra de déchiffrer les failles du « patient », celles venues de son passé. Touchant.

Tous les thèmes abordés le sont avec justesse, sans tomber dans certains excès trop courants de nos jours. Les chapitres sont donc courts. Une économie de mots, où chacun d'eux est pesé et à sa place.

Le livre est également l'occasion de dénoncer certaines conditions d'incarcération et d'internement, en Belgique (je doute qu'en France ce soit mieux…).

Toute la violence des hommes est un roman noir prenant et interpellant, à travers les mots justes, et le sens inné et unique de Paul Colize pour en parler. Comme souvent avec lui. Et le cru 2020 est excellent.
Lien : https://gruznamur.com/2020/0..
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J'ai beaucoup aimé ce livre, tant les sujets qu'il traite me sont inconnu.
Je parle de l'art du graff et de la psychiatrie. Ici nous suivons Nikola Stankovic, artiste marginal, placé en institut psychiatrique suite au meurtre d'une femme.
Et je dois dire que du policier en milieu psy, hé ben pourquoi pas. Mais la l'enquête se fait avec son avocat et la directrice de l'établissement de défense sociale.
Pour ma part se cheminement qui est fait pour essayer de faire sortir Nikola de son quasi-mutisme, du a ses traumatismes, m'a beaucoup captivé.
Ici nous parlons de la guerre serbo-croate, et plus précisément de la bataille de Vukovar.
Tous ces aparté sur ce massacre, sont parfaitement retranscris, et trouve un écho avec le monde d'aujourd'hui.
Malheureusement pour moi, le problème vient de la fin du livre qui n'est pas vraiment crédible, du moins pour moi.
Je ne peux pas trop en dire sans dévoiler la fin, mais connaissant Nikola comme il nous a était présenté dans le récit, j'ai du mal a accrocher a ce dénouement.

Au final j'ai passé un super moment a lire ce livre, mais il ne restera pas en moi bien longtemps.
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Toute la violence des hommes, c'est du belge. Un bon policier digne d'un Simenon en plus moderne. L'intrigue se passe à Bruxelles dans le monde des graffeurs. Depuis quelques années des fresques murales peintes à la bombe sont apparues dans les rues de Bruxelles. Les sujets sont rudes et violents. L'occasion pour l'auteur d'échafauder une histoire palpitante de meurtre sur fonds de guerre en Croatie il y a 25 ans. Paul Colize livre une intéressante analyse psychologique de Nikola STANKOVIC auteur d'un crime qu'il nie avoir commis. Son psychiatre et son avocat prennent le temps d'apprivoiser le présumé meurtrier pour comprendre sa personnalité. J'ai commencé à lire ce livre pour son caractère bruxellois, habitant cette ville et ensuite j'ai été prise par l'intrigue.
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