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4,05

sur 184 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Voici mon retour de lecture sur In vino veritas de Magali Collet et Isabelle Villain.
Lors d'un vernissage, une galeriste est assassinée.
Secrets, mensonges et trahisons vont secouer la quiétude d'une petite commune en plein coeur du vignoble bordelais.
Et lorsque deux frères se retrouvent après des années de séparation, la liberté de l'un va dépendre de la détermination de l'autre.
In vino veritas est un thriller psychologique délicieusement machiavélique.
Une fois de plus la collaboration de Magali Collet et Isabelle Villain est une réussite :) Si vous ne connaissez pas leurs plumes, je vous invite à lire leurs romans, elles sont géniales. Avec elles, on frissonne.. et pas qu'un peu ;)
Une femme est assassinée lors d'un vernissage. Classique..
Sauf que le principal suspect est son mari, qui est gendarme !
L'enquête est diligentée par sa brigade et l'on va de surprises en surprises. En effet, la victime n'est pas si innocente que ça sur certains points. Quand au gendarme.. et s'il avait un motif ?
Rajoutons à ça le frère du suspect qui réapparait soudainement, des secrets de famille..
On mélange de le tout et ça donne un thriller vraiment génial.
J'ai été surprise à de nombreuses reprises. Il y a des tas d'éléments et de détails que je n'avais pas du tout imaginé.
Les autrices sont vraiment très fortes pour nous envoyer sur de mauvaises pistes, c'est bluffant.
Quand à cette fin ! Mais.. cette fin, quoi ! Quel dénouement stupéfiant.
In vino veritas m'a confirmé que je suis devenue fan de Magali Collet et Isabelle VIllain.
J'ai adoré ce roman, que je vous recommande sans aucune hésitation et note cinq étoiles :)
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Bonjour Booksta,
Voici « In vino veritas » de
Magali Collet & Isabelle Villain. J'ai adoré ce redoutable thriller psychologique qui nous entraîne dans un vignoble bordelais. Suite à l'assassinat d'une galeriste, démarre une enquête complexe et captivante où mensonges, escroqueries, arnaques et manipulations se succéderont sur fond de découverte d'art arborigène. de multiples rebondissements, suspicions et interrogations sont au rendez-vous. Les personnages sont peu attachants, parfois même très antipathiques mais leur psychologie est finement analysée. Voici une écriture à quatre mains percutante , incisive et qui donne un récit maîtrisé et passionnant. Un excellent thriller à découvrir en urgence !
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In vino Veritas, Magali Collet, Isabelle Villain
Quand Joël Maïssa des édition Taurnada m'a proposé ce titre, je n'ai pas hésité une seconde. Vous pensez, un livre écrit à quatre mains par deux autrices que j'affectionne tout particulièrement. Alors forcément, dés que je suis entrée dedans, j'ai tout de suite cherché à savoir laquelle des deux avait écrit tel ou tel chapitre. Et bien en fait je ne suis jamais parvenu à déterminer qui avait écrit quoi. L'écriture est tellement homogène que s'en est bluffant.
Mais alors que nous raconte ce « In vino veritas »
Aurélie Dubuisson est marié avec Mathias Clavety. Ils se connaissent depuis toujours. Leurs deux familles sont proches. Nous sommes là au coeur du vignoble bordelais, les deux familles sont ancrés dans la région et elles ont en commun l'amour de la terre et des vignes. Aurélie et Mathias ont tous pour être heureux. Lui est capitaine de gendarmerie, elle est galeriste. Oui mais voilà Aurélie est assassinée lors du vernissage de l'exposition qui aurait être l'évènement de l'année pour toute la petite communauté rassemblée. Aussi les collègue de Mathias vont devoir enquêter, dans ce genre d'affaire le mari est forcément le premier suspect. Heureusement Mathias va pouvoir compter sur le soutient de Fanny sa collègue et de son frère Augustin, revenu expressément après près de 24 ans de séparation.
Vous l'aurez compris nous allons suivre cette enquête, pas à pas. On va remonter le temps, Apprendre à connaitre la victime, remonté dans son passé. Faire de même avec les potentiels coupables.
Et c'est là que ce révèle le véritable talent de nos autrices. Elles n'ont pas leur pareil pour campé chacun de leurs personnages. Avec elle, chaque protagoniste n'est ni tout blanc ou tout noir. Non, chacun est complexe, sa psychologie est fouillée et en plus, souvent, elle est imbriquée avec les évènements du passé. Et visiblement Isabelle et Magali en connaissent un rayon sur la psycho-généalogie.
Ici tout le monde a un mobile pour ne vouloir à la victime. Maintenant reste à trouver qui est le ou la coupable. Et là encore nos auteures nous manipulent jusqu'au dénouement final qui nous laisse sans voix.
Et oui, nous avons là un parfait thriller psychologique avec son lot de rebondissement et ses personnages auxquels on arrive parfaitement à s'identifier.
J'ai aimé les thématiques proposées. La filiation, l'amour, l'amitié, la transmission (…) mais aussi un sujet tabou dont je ne dirai rien ici de peur de spoiler. Mais une sujet sensible que je n'avais jamais rencontrer dans un polar et que seules, deux femmes pouvait traiter.
C'est fluide comme l'écriture d'Isabelle et de Magali ; ça se lit d'une traite ,surtout, qu'on a vraiment envie de connaitre le ou la meurtrier-ère et ses motivations.
Bravo mesdames vous n'avez bluffer et une nouvelle fois vous avez admirablement fait le job !
Alors à quand votre prochain roman à quatre mains ?
Lien : https://collectifpolar.blog/..
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Attention : lire ce roman peut vous placer dans des situations impossibles. Je me suis retrouvée, liseuse à la main, dans ma cuisine, ne voulant pas lâcher ma liseuse tant j'étais prise par l'intrigue du livre - si ce n'est que cuisiner d'une seule main, ce n'est pas vraiment facile. Je vais simplement essayer de ne pas trop vous spoiler l'intrigue (oui, l'on peut être professeure de français et utiliser ce terme) en écrivant cet avis.
J'ai eu l'impression, en lisant ce livre, de me trouver dans un huis-clos, tant l'ambiance était étouffante.
Nous sommes face à des familles qui ont un membre qui les unit toutes les trois : Mathias Clavery. Il est le fils cadet, choyé, de la famille Clavery, de grands propriétaires terriens, bourgeois, qui respectent parfaitement les règles non écrites de la bourgeoisie : pas de bruit, pas de vague, pas de scandale, tout linge sale doit être lavé en famille, et gare aux "faibles" qui ne pourraient résister. Je pense ici aux beaux-parents de Mathias : les deux familles ont toujours été proches, au point d'unir leurs enfants. Seulement, les parents d'Aurélie n'ont pas surmonté (financièrement) les aléas qui ponctuent la vie des vignerons, et les conséquences furent désastreuses, pour eux, pour Aurélie.
Aurélie, justement. C'est elle qui a été assassinée dans sa galerie. Elle n'était pas simplement une grande admiratrice de l'art aborigène, elle était une grande spécialiste de cet art, tenant à le faire découvrir absolument, à partager les créations de ses artistes dont, finalement, l'on sait peu de choses ici. le premier suspect, c'est Mathias, son mari, gendarme de son état. Eh oui : la gendarmerie est une grande famille, cela n'empêche pas les collègues de Mathias de douter sérieusement de son innocence - tous sauf une, qui s'acharnera à prouver son innocence.
Et c'est là qu'intervient Augustin. le fils prodigue. Ou plutôt le fils maudit pour une faute originelle que l'on découvrira peu à peu, et surtout, dont on découvrira l'ampleur des répercutions sur sa vie, sur la vie de sa famille, dans laquelle les mots "solidarité" et "fraternité" n'ont aucun sens. Les codes de la bourgeoisie ont tellement été intégrées chez les Clavery qu'ils sont incapables de s'en détacher, même quand la vie de l'un des leurs est en jeu. Augustin apparaît véritablement seul, surtout que Mathias ne fait pas grand chose pour l'aider - une habitude, chez lui.
Etouffant ? Oui. Prenant ? Aussi. Je me suis laissée prendre au jeu de cette lecture, et j'espère qu'il en sera de même pour vous.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Ayant déjà eu un aperçu de l'écriture à quatre mains de ces deux autrices avec "Des cendres en héritage", j'étais sûre que ce titre allait me plaire. Toute deux ont un talent pour le thriller psychologique indéniable. Il ne leur faut que quelques personnages pour avoir une histoire assez tordue, machiavélique, dont les acteurs cacheront leur vraie personnalité jusqu'au mot fin.

Nous partons dans le bordelais, pas très loin de chez moi, où les vignes recouvrent une grande partie de cette région. Les propriétaires vignerons en sont fiers et ne lâcheraient leurs affaires pour rien. C'est justement ici que l'histoire de deux familles va se révéler sous nos yeux. Jalousie, trahison, meurtre, accident, vengeance, Aurélie est assassinée lors de son vernissage, son mari, gendarme, sera le premier mis en cause.

Deux familles tournent autour de ce thriller policier, que s'est-il passé avant, hier, dans le passé de chacun! Plusieurs pistes se dérouleront mais jusqu'au mot fin vous ne saurez rien! Un roman addictif qui se lit comme on boit un bon rhum arrangé. À ce jour, j'ai lu entièrement la bibliographie des deux autrices et je m'en suis délectée à chaque fois.

"Cerf, cerf, ouvre-moi! Ou le chasseur me tuera! Lapin, lapin, entre et viens me serrer la main."

Pour info vous pouvez trouver gratuitement et légalement la nouvelle "Des cendres en héritage" sur le site des éditions Taurnada que je remercie vivement pour m'avoir permis de lire ce dernier titre. Merci à Joël Maïssa pour sa gentillesse.

Lien : https://passionlectureannick..
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Quelle Claque!! Ce thriller est une petite pépite à mettre entre toutes les mains. Écrit à quatre mains (c'est une première pour moi), c'est une vraie réussite.

Dès les premières lignes, j'ai eu du mal à le reposer et ce n'est qu'à regret que je devais le laisser. Je l'ai lu en moins d'une journée.

L'écriture est fluide et nette. Ici les pistes s'enchaînent, avec des coupables parfaits, mais qui est vraiment le meurtrier? Qui en voulait à cette galeriste, qui à première vue était sans histoire. Mais il ne faudra pas bien longtemps aux gendarmes chargés de l'enquête pour écailler cette vie pas si parfaite que ça.

In vino veritas est complètement addictif, un vrai page-turner. Nous sommes plongés très rapidement dans le feu de l'action et ici aucun temps mort n'est permis. Les théories et les coupables s'enchaînent à un rythme impressionnant et ma théorie du début était bien loin de la réalité. Cette affaire ne sera pas résolue en deux temps trois mouvements et le final vous laissera sans doute comme moi, sans voix. Je ne m'attendais pas du tout à cette fin.

Aucune longueur n'est à déplorer, on sent la maîtrise dans ce thriller psychologique. le récit est crédible et nous entraîne dans une lecture compulsive (juste un chapitre de plus…). Les personnages sont ciselés, un vrai travail d'orfèvre. de plus, les auteures abordent un sujet de société encore trop tabou.

C'est un gros coup de coeur pour moi. Je n'en suis pas sortie indemne.
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Et bien oui, après avoir lu ce thriller, j'ai perdu connaissance quelques instants … le syndrome De Stendhal qui ne s'est pas appliqué à un tableau mais à la lecture d'un récit …
Bref, concis, bourré d'amertume, de remords, de mensonges, de regrets et oui dans ces deux familles bourgeoises bordelaises, il est temps de remettre les pendules à l'heure.
Après un bon verre de rouge, peut-on oublier un geste critique, jusqu'à la mort ?
Des gendarmes démêlent une enquête assez tordue… première partie, on découvre deux clans, deux familles. Un vernissage, une galeriste assassinée.
Le mari, gendarme est fortement soupçonné… tous s'éloignent de lui et pourtant il faudra attendre le dernier chapitre pour comprendre ce polar psychologique.
À votre santé, attention à l'abus d'alcool, aux oeuvres aborigènes ! À ne pas mélanger.
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  Ce roman écrit à quatre mains m'a intriguée. J'avais déjà lu des oeuvres de ces deux autrices. Comme une image de Magali Collet, et de l'or et de larmes pour Isabelle Villain, et j'avais passé un bon moment avec chacun de ces thrillers. J'ai donc été piquée de découvrir ce que donnait l'alliance de leurs univers. J'ai profité des fêtes de fin d'année pour le déguster.

   In Vino Veritas présente le meurtre d'une jeune femme, assassinée lors du vernissage organisé dans sa galerie. Parmi tous les notables de la région, les secrets, les complots et les petites magouilles vont bon train, alimentant rancoeurs et mobiles. Dans ce contexte, deux frères, Mathias – le mari de la victime – et Augustin, son aîné, vont se retrouver. La détermination de l'un étant un élément capital dans la liberté de l'autre.

  Tout d'abord, j'ai beaucoup aimé l'atmosphère familiale créée par les autrices. Chez les Clavery, les non-dits gangrènent tout. L'orgueil du père fait de l'ombre à tous, la mère se complaît dans son rôle de maîtresse de maison parfaite, Mathias – l'enfant fragile suite à un accident de voiture lorsqu'il était enfant- est porté aux nues. Couvé par sa mère, idéalisé par son père, il souffre aussi de cette atmosphère pesante et de la rivalité que cela a instauré avec son frère Augustin. Ce dernier est finalement le vilain petit canard de la famille, celui à qui on reproche tout, mais vers qui l'on se tourne en cas de besoin. Son retour au moment du drame est décisif : pour Mathias, pour sa famille mais aussi pour lui-même.

  Les autrices ménagent dans ce roman des rebondissements que nous ne voyons pas venir tout de suite, elles sèment des indices que nous prenons plaisir à trouver, récolter pour démasquer le coupable. Ce qui est intéressant, c'est que l'explication du meurtre d'Aurélie n'est pas manichéenne. Il y a des torts partagés, une victime loin d'être toujours innocente, un coupable lui-même bien amoché. J'ai aimé les renversements de situation proposés, les révélations étonnantes alors que nous pensions que tout était plus ou moins réglé.

  Un des atouts de ce roman est de présenter des personnages très humains. Au cours de ce thriller, nous découvrons les petites turpitudes, les compromissions et les secrets de chacun. Aucun n'est épargné et finalement, tous ont concouru au drame même si tous n'ont pas achevé la victime.

  Le montage romanesque est d'une efficacité redoutable. Fort du caractère de ses adversaires, le coupable manipule, échafaude des plans, avance en tapinois et porte l'estocade quand nous nous y attendons le moins. En réalité, comme dans une tragédie, la machine infernale est lancée dès que nous ouvrons le livre et il est déjà trop tard pour éviter le drame. Avec une minutie d'horloger, les autrices tissent une inextricable toile, dont personne ne réchappe : ni le lecteur ni les personnages.

  Ainsi, In Vino Veritas est un très bon thriller, il est rythmé, il ménage ce qu'il faut de rebondissements et de surprises pour nous emporter et nous porter jusqu'aux dernières pages sans que nous nous en rendions compte. Les pages filent, nous plaignons les uns, nous doutons des autres, nous nous agaçons de puérilités et de démonstrations d'égo, nous vivons finalement l'histoire aux côtés des personnages, en témoins privilégiés et protégés. C'est donc un très agréable moment de lecture.
Lien : https://lesreveriesdisis.com..
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In vino veritas est la réunion de deux talents. de Magali Collet, j'ai lu ses trois précédents ouvrages et j'ai été remuée par le maléfice de ses histoires. D'Isabelle Villain, j'ai lu quatre de ses livres et j'ai été, à chaque fois, piégée par les apparences. Aussi, j'étais enthousiasmée de découvrir ce que les deux auteures avaient imaginé ensemble. Au début de ma lecture, j'ai cherché la patte de chacune. J'ai très vite abandonné ce petit jeu, car l'ensemble est si harmonieux qu'il semble avoir été écrit d'une seule voix.


Le soir d'un vernissage fastueux, Aurélie, la galeriste est assassinée. Il y avait beaucoup d'invités, aussi les suspects sont nombreux. Certaines pistes sont évidentes, d'autres plus alambiquées. La police semble choisir la voie de la facilité. A-t-elle raison ? Des éléments confirment ses hypothèses quand d'autres les réfutent.


En effet, les témoignages et les preuves s'opposent. À chaque fois que nous nous orientons vers une certitude, un évènement ne s'intègre pas dans le tableau. Volontairement, j'ai présenté la situation initiale de manière succincte, car le récit alterne entre le passé et le présent et chacun de mes mots pourrait évoquer des indices. Je ne savais rien avant de commencer ma lecture, car la quatrième de couverture est mystérieuse. J'ai apprécié de découvrir les évènements quand les auteures l'avaient décidé. J'ai envisagé toutes les possibilités, j'ai accusé de nombreux protagonistes. Ce n'est que quelques pages avant la révélation que j'ai enfin pu applaudir mes capacités de déduction… après d'innombrables échecs. Laissez infuser un meurtre, de nombreux suspects, des secrets, de la manipulation, des thématiques rarement traitées, des rancoeurs, des douleurs irréparables et d'autres inavouables, des mensonges. Ajoutez deux auteures à l'imagination fertile et machiavélique. Vous obtenez un thriller psychologique bluffant. J'ai adoré In vino veritas.


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
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Très bon thriller qui se lit facilement. L'histoire de famille commence sur les chapeaux de roues...."de velo" (bon d'accord humour noir, c'est très bas mea culpa!!!)

Que celui qui n'a jamais vécu de bouleversement émotionnel au sein de sa famille me jette une pierre! Cependant, on ne finit pas tous psycopathe heureusement.

C'est l'histoire, ici, d'une riche famille bordelaise productrice de vin de renom composée des parents et de 2 fils. Lorsque la femme du plus jeune, directrice d'une galerie d'art arborigene meurre assassinée, l'enquête se porte sur plusieurs suspects, et dévoile au fur et à mesure l'obscure personnalité de chacun, jusqu'au dénouement que je n'avait absolument pas vu venir.

Très bon moment de lecture. Je recommande vivement. J'ai d'ailleurs apprécié également les références sur l'art australien en fin de livre.
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