AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,03

sur 961 notes
Walter Hartright, jeune professeur de dessin plutôt modeste, est embauché pour enseigner le dessin à deux jeunes filles dans une propriété isolée du reste du monde, Limmeridge House. En route pour son futur lieu de travail, il fait une rencontre de nuit étrange : une femme toute de blanc vêtue lui tient des propos assez incompréhensibles mais qui retiennent son attention, puisqu'ils évoquent Limmeridge House. Lui paraissant sympathique et un peu perdue, il la raccompagne à Londres, avant d'apprendre un peu plus tard que cette femme fragile s'était échappé d'un asile.
A Limmeridge House, la vie de Walter parait bien douce : il est accueilli comme un hôte dans cette belle propriété, le maitre du domaine, souffreteux, passe son temps seul dans sa chambre, et il s'entend fort bien avec ses deux élèves, demi-soeurs, la belle Miss Laura Fairlie et l'intelligente et énergique Miss Marian Halcombe. Miss Fairlie, qui ressemble étrangement, en plus jolie, à la fameuse dame en blanc, ne laisse pas indifférent le jeune professeur, et elle-même est assez attiré par ce dernier. Mais outre les différences de statut social, Miss Fairlie est promise à un autre homme. Ses fiançailles approchant, elle reçoit une lettre anonyme la mettant en garde contre son futur mari. Walter et Miss Halcombe enquêtent au village, et entendent rapidement des rumeurs à propos d'un fantôme qui hanterait le cimetière, un fantôme vêtu tout de blanc.

Mon club de lecture m'aura amené cette année encore à faire de très belles découvertes. Sans lui, je n'aurais probablement jamais exhumé des années passées ce très sympathique ouvrage. Quel délice de se plonger dans ces pages à l'élégante écriture et au suspense angoissant ! Ancêtre du thriller, histoire d'amour, peinture de moeurs de l'Angleterre du 19ème siècle, La dame en blanc est un peu de tout cela. Au travers de la reconstitution chronologique, à la manière de celles dont se servent les forces de police, des faits déroulés autour de Miss Fairlie, W. Wilkie Collins fait la part belle au mystère, aux secrets de famille, aux anciennes propriétés pleines de pièces et recoins... Cette reconstitution fait intervenir différents témoins (Hartright et Halcombe, bien sur, mais aussi un avocat, une gouvernante...) et s'appuie sur différents supports (journaux intimes, procès verbaux...). L'alternance des points de vue rythme naturellement le récit et amène le lecteur à revenir sur ce qu'il a appris pour lui donner un nouveau sens quand de nouveaux évènement corroborent ou contredisent les évènements et suppositions précédents.
Après un démarrage assez "fleur bleue", le temps de planter le décor et les personnages fort réussis d'ailleurs (une mention spéciale à Miss Halcombe, qui détonne dans la paysage de la société anglaise d'époque, et à l'oncle hypocondriaque égocentré !!), le suspense et la tension psychologique s'installent et ne lâchent plus le lecteur tout au long de la lecture.
J'avoue avoir deviné assez vite une grande partie du fin mot de l'intrigue, et puis l'histoire d'amour est un peu trop fleur bleue (ah, si seulement Walter avait délaissé de beaux yeux bleus au profit de la beauté intérieure de Marianne), le deus ex-machina final est peut-être un chouïa tiré par les cheveux, mais franchement, le plaisir est là : le plaisir d'une vraie bonne histoire, maitrisée de bout en bout par la main de maitre de W. Wilkie Collins, et racontée merveilleusement bien... La Femme en blanc mérite bien sa 28e place au classement des cent meilleurs romans policiers de tous les temps établie par la Crime Writers' Association en 1990. Et moi, j'en redemande !!
Commenter  J’apprécie          530
Décidément, l'ancêtre des auteurs de thrillers ne m'enchante guère. Recommandé par beaucoup de membres de Babelio, ce roman relatant une sombre histoire conjugale ne m'a pas passionnée outre mesure.
Relatée par plusieurs narrateurs, l'intrigue nous mène aux confins du Cumberland, cette région anglaise au sud de l'Ecosse, dans un manoir tenu par un riche excentrique, Mr Fairlie, tuteur de sa nièce Laura. Un professeur de dessin londonien vient faire partager son art aux deux jeunes filles de cette maison, et inévitablement, l'amour s'en mêle. L'amour et le mystère...car une dame en blanc apparait et réapparait à ce professeur, une dame en blanc bien nerveuse, recelant un « terrible » secret (hem, il ne m'a pas semblé si terrible que ça, mais il est vrai que je suis une femme du 21e siècle assez impatiente devant les atermoiements romantiques).

Je m'attendais à passer de bons moments, car je suis totalement acquise à la campagne anglaise et à l'atmosphère de l'époque victorienne, mais très vite, les protagonistes m'ont irritée : ce Mr Fairlie est un hypocondriaque névrosé et se fiche complètement de sa jolie nièce très oie blanche, celle-ci étant très attachée à sa demi-soeur, une célibataire totalement dévouée, intelligente, laide et sans défauts. Peu vraisemblable, tout ça ! Mais bon, nous sommes dans les années 1850, et il faut reconnaitre que Wilkie Collins dresse un portrait édifiant (et fidèle ?) d'une certaine classe de la société de son époque. Les femmes sont considérées comme de faibles créatures, fragiles et pourtant dont on doit se méfier. Les hommes sont soit de parfaits gentlemen, soit de sombres individus manipulateurs et/ou violents.
Ajoutez à cela un envoi permanent de lettres et de mots griffonnés à la hâte à l'avocat, à la femme de chambre, à l'ami(e) fidèle, à la gouvernante, etc. dont on attend la réponse avec impatience – et pourtant, il en faut, de la patience, car la Poste évidemment n'est pas ultra-rapide à cette époque -, des pleurnicheries et des évanouissements en veux-tu en voilà, des maladies de coeur et des institutions psychiatriques peu recommandables...et vous me direz que j'aurais dû aimer.

Eh bien non. Enfin, oui et non. Amusée, écoeurée, étonnée, sceptique, oui ; passionnée, certainement pas.
Conclusion : l'époque victorienne, j'adore, la campagne anglaise, j'adore, mais racontées de façon moderne, et pas par un auteur de l'époque. Désolée d'en choquer plus d'un, mais moi, je quitte définitivement Wilkie Collins qui m'avait déjà ennuyée avec un autre roman, « le secret ».
Commenter  J’apprécie          469
Diantre, en voilà une histoire romanesque ! Un preux jeune homme volant au secours d'une belle jeune femme prise dans les griffes de son vilain mari, et qui sera aidé dans sa croisade par la soeur de sa bien-aimée, laide mais dévouée. Un conte de fées médiéval ? Que non pas, c'est un thriller de l'époque victorienne. God bless the Queen.
Et doncques, dans le rôle du chevalier blanc, nous avons William Hartright (droit de coeur s'il en est), jeune professeur de dessin qui vient d'être embauché à Limmeridge House, aux confins de l'Angleterre et de l'Ecosse, pour enseigner son art aux deux jeunes filles de la maison. Laura, belle, fragile, réservée, enfantine, peu dégourdie, et Marian, son exact opposé, mais cependant aimante et entièrement dévouée à sa petite soeur. Ce qui devait arriver arriva, Walter tombe amoureux de Laura et vice-versa. Las ! L'amour est impossible, en plus de la différence sociale, Laura a été promise depuis le lit de mort de son père à Sir Percival. Walter, compréhensif mais mortifié, s'en va au bout du monde (sur)vivre à de dangereuses aventures, et Laura finit par épouser Percival, homme plus tout à fait jeune mais a priori bien sous tous rapports. A priori... Car Sir Percival n'aura de cesse de capter le riche héritage de Laura, avec l'aide de son complice Fosco, comte italien aux origines moins nobles que suspectes. God save the Queen, ou plutôt la Dame en blanc, personnage étrange dont la ressemblance avec Laura sera utilisée par son mari et son acolyte pour mettre au point une mystification diabolique et enterrer définitivement le grand secret qui pourrait détruire Percival.

« La dame en blanc » figure parmi les cent meilleurs romans policiers de tous les temps. Oui, certes. Peut-être. Moi j'ai trouvé l'intrigue assez prévisible, tarabiscotée, et décevante quant au « grand » secret de Percival. L'écriture est méticuleuse à l'excès, le moindre mouvement, le moindre fait est détaillé au millimètre. Les personnages sont stéréotypés : Walter le héros sans peur et sans reproche, Laura, la belle au coeur pur, Marian, la moche intrépide au coeur d'or, Percival le très méchant, Fosco le fieffé renard machiavélique, et la palme (ou le César ou l'Oscar, puisque c'est ce week-end) à Mr Fairlie, oncle et tuteur de Laura, malade imaginaire neurasthénique paresseux et lâche. Tout ce petit monde passe trop de temps à tergiverser, pleurnicher, tomber dans les pommes ou à reposer ses nerfs. Heureusement, au milieu de ces atermoiements, les personnages peuvent compter sur l'infaillible ponctualité de la Poste anglaise pour échanger des liasses de missives et plis urgents à travers l'Angleterre et au-delà. Impressive, isn't it ?
Et donc, quitte à passer pour une iconoclaste, j'hésite entre amusement et agacement, mais certainement pas admiration. Quoi qu'il en soit, Wilkie Collins met les femmes en avant dans ce roman, ce qui n'est pas négligeable.
Lien : https://voyagesaufildespages..
Commenter  J’apprécie          455
De Wilkie Collins, je ne connaissais que le nom pour avoir deux de ses œuvres depuis des années tout en bas de ma PAL. Je me suis finalement, pour mon plus grand bonheur, décidée à ouvrir « La dame en blanc ». Et à partir de ce moment, je n’ai eu de cesse de continuer cette lecture, happée par l’ambiance propre aux grands romans du XIXème siècle de la littérature anglaise.
L’intrigue, globalement, tourne autour d’un drame domestique, d’un complot ourdi par l’époux contre son épouse, un danger que l’on pressent dès les premières pages.
Et un secret terrible entoure la Dame en Blanc, dont le véritable nom est Anne Catherick, une jeune femme faible d’esprit qui semble pourtant détenir la clé du mystère. Cette femme en blanc revient sans cesse dans l’histoire et sera de plus en plus mêlée au récit même.
Le roman est écrit sous forme de récits, de plusieurs points de vue, ce qui fait que nous sommes toujours témoins directs des évènements, que ce soit à travers les yeux du jeune professeur de dessin amoureux, de la sœur, de l’Avocat ou toute autre personne impliquée.

L’autre plaisir est naturellement le style, tellement 19ème ! C’est un régal !

« Les jours, les mois passèrent. L’automne traçait des sillons d’or dans la verdure des feuillages, et ma vie s’écoulait comme dans un rêve. O temps de paix, temps bénis entre tous ! mon histoire semble glisser sur vous comme alors vous glissiez sur moi. De tous les trésors dont vous m’avez gratifié, que me reste-t-il qui vaille la peine qu’on en remplisse ces pages ? Rien d’autre que la plus triste des confessions qu’un homme puisse faire de son impardonnable folie. Le secret de cette confession sera facile à dévoiler, car mes paroles m’ont déjà trahi. Les pauvres mots qui n’ont servi de rien pour décrire Miss Fairlie ont au moins trahi les sentiments qu’elle avait éveillés en moi. C’est ainsi. Nos mots sont des géants quand ils nous blessent, des nains quand ils doivent nous servir. Je l’aimais. »

Verdict : Une lecture passionnante qui ravira les amateurs de bons polars riches en rebondissements, sans pour autant laisser sur le bord du chemin les amateurs de très bonne littérature.
Commenter  J’apprécie          448
J'aurai bien souffert pendant cette lecture !

Définitivement, trop de minutie tue le style. Et ici, je ne pointe même pas du doigt les descriptions habituelles de la période auxquelles je suis habituée et que j'apprécie généralement ; non, je veux parler de ce perfectionnisme qui ne nous épargne aucun geste des protagonistes (ouvrir une porte, faire trois pas dans le couloir, poser sa tasse, avancer un fauteuil, etc., etc.) ni aucune de leurs pensées, même les plus anodines, quand il ne s'agit pas d'états d'âme.

Je pense donc définitivement lâcher l'affaire avec le sieur Collins. J'avais déjà abandonné la lecture de "Pierre de lune" ; avec "La femme en blanc" j'ai voulu lui donner une seconde chance mais j'ai dû m'accrocher de toutes mes forces pour arriver à un dénouement sans saveur et sans surprise. Envie furieuse de crier "Tout ça pour ça ?!", 850 pages d'intrigues entrelacées qui semblent tourner en rond, avec une narration collégiale qui m'a tapé sur les nerfs, sans parler de la structure temporelle en puzzle tout à fait inconfortable.

Comble de déveine, j'ai dû changer de traduction en cours de route parce que je m'engageais vraiment sur la voie de l'abandon pur et simple. Ma lecture y a un peu gagné en fluidité mais mon ennui et mon agacement n'ont fait que croître. Aucune empathie ressentie pour aucun des personnages, aucun réel intérêt pris à l'intrigue dramatique. Un style que j'ai trouvé verbeux, une trame tirée par les cheveux, des hasards improbables, des situations peu crédibles, un suspense qui tarde à venir et des jeux de dupes invraisemblables.

Une somme d'ennui ; une vraie déception.


Challenge Petit Bac 2016 - 2017
Challenge PAVES 2016 - 2017
Challenge XIXème siècle 2016
Challenge BBC
Commenter  J’apprécie          4316
Quel livre étonnant ! Ce pavé de 600 pages, depuis un bon moment dans ma bibliothèque et lu il y a quelques semaines, a été englouti en 4 soirées.
Après avoir lu "Pierre de lune", je savais un peu à quoi m'attendre avec W. W. Collins. Avant tout, de la belle littérature comme je l'aime, bien que l'on ne parle ni n'écrit plus comme ça de nos jours, mais j'ai goûté un réel plaisir avec cette prose qui nous emmène dans des domaines proches de Londres, au milieu du 19è siècle.
Ensuite, une intrigue. Que dis-je ! Une machination incroyable dans le but d'obtenir la fortune de Lady Glyde.
Puis, du mystère avec cette dame en blanc, dont on sent que la présence en début de récit aura une importance capitale tout au long de l'histoire.
Des personnages magnifiques, qu'ils soient hypocondriaques et irresponsables, dévoués et courageux, fins psychologues et manipulateurs, naïfs et fragiles, colériques et narcissiques, toute une palette de caractères finement décrits.
Et enfin, une narration qui n'est pas seulement originale, mais unique en son genre. Chaque personnage relate, comme un témoignage, ce qu'il a vécu. L'histoire n'est pas répétée, car on avance dans l'intrigue au fur et à mesure des récits de chaque personnage, en fonction de leur implication dans le dénouement de l'intrigue.
C'est très fort et vous l'aurez compris, j'ai adoré !
Commenter  J’apprécie          4018
Wilkie Collins est considéré à juste titre comme l'un des pères du thriller et il le mérite bien. Mais il ajoute à la qualité du suspense les qualités propres à la littérature du 19 ème siècle : beau style, dialogues impeccables, personnages bien campés, psychologiquement crédibles, peinture de société et de moeurs subtile, scénario original, dénouement qui tient la route et ne sombre ni dans la facilité ni dans le rocambolesque. L'auteur a une vision des rapports sociaux extrêmement progressiste mais il n'impose pas ses opinions à grands coups d'apartés, comme a tendance à le faire Balzac : ce sont les faits eux-mêmes qui parlent, ou plutôt l'éclairage toute en nuance que leur donne l'auteur.
Un très bon roman que j'ai eu du mal à lâcher et qui m'a valu deux nuits vraiment écourtées, ce qui ne m'était pas arrivé depuis mon adolescence lorsqu'elle croisa les Frères Karamazov et Vingt ans après. Non que je compare ces oeuvres, mais seulement leur capacité à maintenir en éveil.
Commenter  J’apprécie          401
J'ai découvert ce livre en cherchant un polar du XIX pour répondre au challenge de Gaphanie . Et quelle bonne surprise !! On pourrait même parler de thriller psychologique : le suspens et l'angoisse monte au fur et à mesure . Le danger ne se manifeste pas toujours précisément mais il est omniprésent, latent et fait qu'on tourne les pages car on veut savoir !
Sinon , pour parler quand même un peu de l'histoire, c'est celle d'abord de Walter, professeur de dessin , qui, en se rendant dans la demeure de deux demoiselles pour y enseigner, rencontre cette femme tout en blanc, étrange et visiblement en fuite. Il l'aide et apprend qu'elle a justement un lien avec la famille dans laquelle il se rend. L'enquête commence alors pour savoir qui est cette femme inconnue , avec l'aide de Marian, l'un de ses deux élèves. Et cette simple rencontre va bouleverser son existence et l'entrainer dans des machinations incroyables.
Il y a de quoi mettre l'eau à la bouche et je suis pas déçue du résultat ! Un policier avec des personnages qui s'exprime avec le langage de XIXéme siècle, c'est vraiment pas mal car les dialogues sont subtils . Je suis totalement conquise par le premier livre que je lis de cet auteur.
Challenge Mauvais genre
Challenge pavés
Multi-défis 2019
Challenge XIXéme
Commenter  J’apprécie          382
Ravie! je suis ravie ! Je viens de tourner la dernière page du roman phare de W.Wilkie Collins, et je réalise que je n'ai pas lu mais que j'ai dévoré ce pavé en quelques jours, absolument impossible de le lâcher une fois commencé!
Je vous épargnerais le résumé de l'intrigue, sachez qu'il y a complot, qu'une jeune femme Lady Glyde épousée par le sinistre Sir Perceval pour son argent est en danger de mort, que sa soeur Miss Halcombe lui voue un amour inconditionnel, que rôdent autour des deux soeurs le Comte Folco et son épouse qu'elles peuvent compter sur le dévouement de Walter Hartright , professeur de dessin, homme de volonté à la ténacité sans faille qui voue un amour éperdu à Lady Glyde..
Wilkie Collins, considéré comme le père spirituel du roman policier, nous dévoile les tenants et aboutissants de l'intrigue en nous rapportant successivement dans l'ordre chronologique les témoignages de tous les protagonistes. On pourrait presque considérer que nous voyons défiler devant la barre les différents témoins qui ne rapportent que les évènements vécus par eux-mêmes.
Bien sûr nous sommes en Angleterre au 19ème siècle,la société de l'époque est fidèlement retracée, le personnage de Marian Halcombe détonne dans ce monde où la femme est encore cantonnée à un rôle de "potiche". Wilkie Collins nous brosse le portrait d'une héroïne hors norme pour l'époque!
Voilà je termine là ! Je n'ai qu'une envie: vous faire partager le grand plaisir que j'ai pris à cette lecture et peut-être donner envie à quelques uns de pousser la porte de l'univers de W.Wilkie Collins....
Commenter  J’apprécie          384
On le commence, ce livre, puis on a l'impression que c'est un train qui démarre sans arrêt jusqu'à la dernière station, malgré les 840 pages, l'histoire nous est livrée dans sa plus grande simplicité mais la magie qui s'opère dans ces multiples regards des personnages à travers différentes situations nous tient en haleine...
Commenter  J’apprécie          360




Lecteurs (2817) Voir plus



Quiz Voir plus

La dame en Blanc, de Wilkie Collins

Quels sont les liens de parenté entre Laura et Marian ?

Elles sont cousines
Elles sont demi-sœurs
Elles n'ont aucun lien de parenté
Laura est le nièce de Marian

9 questions
51 lecteurs ont répondu
Thème : La Dame en blanc de William Wilkie CollinsCréer un quiz sur ce livre

{* *}