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sur 961 notes
Octobre est le mois parfait pour un bain de littérature victorienne et j'en ai profité pour découvrir enfin l'oeuvre de W.Wilkie Collins tant vantée par tant de lecteurs et heureusement éditée chez Libretto.
C'est sur "La Dame en Blanc" que j'ai jeté mon dévolu après avoir longuement hésité entre ce dernier et "La Pierre de Lune" (j'ai tout de même acheté les deux…) et je ne regrette pas mon choix (ni mon second achat du coup) même si le roman souffre peut-être de quelques longueurs et si le personnage de Laura se révèle tout de même assez insipide… et qu'elle m'a prodigieusemen agacée pauvre poupée fragile que j'aurai voulu voir réagir enfin!...
Heureusement pour elle (l'intrigue le prouvera) et pour nous surtout, ses comparses sont de brillantes créations et l'ambiance du roman, gothique, vénéneuse et parfois terrifiante, toute victorienne également, est un délice.

Comment parler de l'intrigue de "La Dame en Blanc" sans en écrire trop? Comment donner envie à ceux qui seraient par elle tentés sans les priver de l'ensorcellement de la découverte?
Comment résister à la tentation d'aborder les faux-semblants, les chausse-trappes, les pièges, l'hypocrisie, les nuits d'angoisse, la froideur des tombes, la perversion des hommes, le courage des femmes (celui de Marian surtout, tellement plus intéressante et grande que Laura!), la force de l'amour (celui de Walter surtout)?

Il ne faudra pas trop en dire, mais il faudra écrire pourtant. le supplice et la pression sont à leur comble et je sens, tandis que j'écris, les fantômes de Walter, Marian et Laura se pencher gentiment vers moi. Je sens celui de Sir Percival peser sur mon épaule et celui de Fosco, plus pressant que tous les autres, se rapprocher, saisir et presser trop fort ma main qui court sur le clavier.

Tout commence un soir alors que Walter, jeune professeur de dessin, rentre chez lui. Sur la lande, il croise soudain une jeune femme tout de blanc vêtue et l'air hagard presque terrorisé… L'apparition tente de fuir l'asile dans laquelle "on" l'avait enfermé". Elle a besoin d'aide.
Quelques temps plus tard, ce même Walter devient le professeur de dessin à demeure de deux jeunes femmes vivant dans un domaine aussi beau que reculé: la première est aussi fine et intelligente que son visage est ingrat: c'est Marian. Chère Marian! La seconde des deux soeurs, car c'est ainsi que sont liées les deux élèves du jeune professeur, est une beauté d'or et d'albâtre, douce et discrète. C'est Laura et c'est de cette dernière que tombera amoureux Walter. Hélas, trois fois hélas, la belle est déjà promise à Sir Percival et elle a juré à son père se mourant qu'elle irait au bout de ce projet matrimonial, quitte à en souffrir.

Quels liens mystérieux unissent les deux jeunes femmes et la dame en blanc? Et pourquoi Sir Percival tient-il tant à ce mariage? Qu'a-t-il à cacher? Que se passe-t-il derrière les portes closes? de quelles abjections sont capables les hommes les plus corrects? Quelles armes restent-ils aux femmes?
"La Dame en Blanc" répond à toutes ces questions en tissant une intrigue qui n'a rien à envier aux brumes les plus épaisses, pas plus qu'aux plus pernicieux des poisons; une intrigue pleine de péripéties, de coups de théâtre et de sursauts que n'aurait pas dédaigné un Sue ou un Dumas!
C'est un plaisir de s'y plonger et de tenter d'en trouver les clefs, tout comme de se faire piéger. Si ce roman est considéré comme l'ancêtre du roman policier et du thriller, c'est à juste titre…
Il ne saurait pourtant se résumer à cela et il ajoute à cette prestigieuse dimension son atmosphère incomparable ainsi qu'un analyse fine et sans concession de la société victorienne, de ses hypocrisies, de ce qu'elle veut taire et de ce qui l'assombrit tel le traitement réservé aux femmes, les tractations qui font du mariage une juteuse affaire commerciale, le sort de ceux qu'on jugeait "fous" et le reste.

Les ambitions affichées sont grandes et le roman est plantureux, bavard à quelques reprises pour les réaliser ce qui rend sa lecture parfois ardue mais cela reste un plaisir à lire grâce à la construction de l'ouvrage qui alterne les points de vue et les formes narratives, formant ainsi une sorte de compte rendu d'enquête riche, précis et détaillé. Grâce aussi à de savoureux personnages: si Walter est un peu fade, comme Laura, grâce soit rendue à Marian, incroyable de force et de clairvoyance, à l'abject Percival et surtout à Fosco, scélérat magnifique, manipulateur grandiose, machineur et comploteur génial!



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Inconditionnel de Wilkie Collins, ce roman m'a conforté dans sa qualité sur le grand talent de cet auteur. "Sans nom" et "Mari et femme" ainsi que "La pierre de lune", m'avait fait apprécier Wilkie Collins, ici le romanesque est présent à tout instant, même dans les moments difficiles où le lecteur est amené à ne plus savoir si Anne ou Laura est la plus malheureuse. A cela s'ajoute la force de la demi-soeur de Laura, Marian, qui aidera Walter, l'amoureux et futur époux de Laura, dans sa recherche de la vérité et la reconstruction de Laura. On reconnaît bien le style de Collins en grand défenseur des femmes au XIXème siècle en Angleterre. La puissance du roman vient également de ses nombreux rédacteurs, comme dans le très bon "Cercle de la croix" de Iain Pears. Cette façon d'écrire donne beaucoup de force à l'histoire et une tournure plus actuelle et, certainement, très novatrice pour l'époque. le dénouement est tel que je me l'imaginais. Meix pouvait-il en être autrement.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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La dame en blanc est l'une des oeuvres les plus célèbres de son auteur, la plus célèbre, celle dont il était apparemment réputé pour être le plus fier...et il avait parfaitement raison!!
La veille de son départ pour un nouveau poste, un jeune professeur de dessin, Walter Hartright, rencontre par hasard une mystérieuse femme entièrement vêtue de blanc au discours quelque peu décousu. Après lui être venu en aide, il apprendra qu'elle venait de s'échapper d'un asile...avant de rencontrer un sosie presque parfait de la pauvre femme en Laura Fairlie, l'une de ses deux nouvelles élèves !
C'est le début d'un roman à l'écriture délicieuse et particulièrement réussie: écrit à plusieurs voix, il donne réellement à chaque personnage un ton, un style, chacun apportant , parfois sans en avoir conscience, sa pierre à la recherche de la vérité, de ceux qu'on trouve éminemment sympathiques aux affreux individus. Il n'y a qu'une chose, à vrai dire, qui m'a fait sourciller, c'est la manie , sans doute liée à l'époque, de considérer la demi-soeur, Marian, l'une des narratrices, comme dôtée de qualités masculines parce qu'elle est pourvue d'énergie et d'esprit de décision ! Quant on la compare à Mr Fairlie ; égocentrique au dernier degré au nom de son hypocondrie, ou peut être hypocondriaque au nom de son égocentrisme, on se dit que cette société était bien hypocrite de lier sans cesse les mains des femmes en les laissant sans recours face aux tutelles de pareils individus!
Il s'agit bien en effet d'une recherche: Collins est considéré comme le père du roman policier et mérite son titre, tout comme ce roman mérite sa place dans la liste "The Top 100 Crime Novels of All Time"de la Crime Writers' Association.
Il y a donc mystère, complot, falsification et rumeurs d'espionnage dans ce roman, le tout dans le cadre si convenable d'une société qui semble incapable d'imaginer tant de turpitudes et se trouve pour cela dôtée de fâcheuses oeillères.

Wilkie Collins est décidément un auteur d'une grande qualité, à recommander à toutes et tous.
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C'est grâce à You Tube que j'ai entendu parler de cet auteur anglais du XIXe siècle. J'ai été intrigué par les commentaires positifs qu'on en faisait et j'ai trouvé ce titre sur La Bibliothèque Électronique du Québec qui publie des centaines de livres libres de droits.

Ce roman a été une découverte fantastique. En ce qui me concerne je n'avais jamais entendu parler de cet auteur qui est considéré en Grande-Bretagne comme un classique. L'histoire commence à Londres vers 1840 ou 50 lorsqu'un jeune homme professeur de dessin marchant dans une rue déserte la nuit sent quelqu'un lui taper sur l.épaule , en se retournant il voit une dame tout de blanc vêtue qui lui demande de l'aider à trouver un fiacre. Peu de temps après deux hommes l'accostent pour lui demander s'il n'aurait pas vu une dame en blanc. ILs la recherchent parce qu'elle s'est évadée d'un asile d'aliénés. Commence alors toute une histoire rocambolesque pour connaître l'histoire de cette dame en blanc. le jeune professeur sera impliqué dans cette recherche et rencontrera une jeune femme sosie de la dame en blanc et en tombera amoureux mais elle est promise à un baronnet qui se révélera être un monstre de cruauté. S'ensuit un chassé-croisé qui nous transportera dans divers comtés d'Angleterre et même en France. Une histoire de complot et de secret , d'aventure et de dangers, une romance qui paraît impossible, une fidélité entre soeurs , une complicité entre le baronnet et un comte Italien, des médecins, des avocats, des gouvernantes et autres domestiques, tout y est
L'ambiance et le suspens sont les points forts de ce roman. Je ne me doutais pas qu'on écrivait de si bons romans à suspens en Angleterre à cette époque, du vrai Hitchcock. ce fut un pur régal et un plaisir de lecture à suspens après le plus sérieux Anna Karénine lu en janvier.
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Un complot machiavélique dans l'Angleterre victorienne.

Quelle aventure ce livre! Quelle histoire ce roman! Imaginez un mélange de thriller, de roman historique, de roman social avec une pincée de société secrète, où deux aristos machiavéliques vont ourdir un terrible complot contre deux pauvres femmes sans défense.
Et au milieu du 19ème siècle, les femmes sont en effet sans défense.
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce gros pavé plein d'aventures et de rebondissements.
On y est parfois submergé par les détails et les descriptions, mais cela rend les situations et les personnages très réalistes. On est ainsi au plus près des événements et de la psychologie des protagonistes.
Pour une semaine d'hiver au coin du feu, c'est une lecture parfaite.
Un auteur dont je lirais certainement d'autres livres.
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La Dame en blanc par Wilkie Collins, Traduit de l'anglais par Lorene Lenoir, lu par Philippe Caulier, VOolume, 2023.
Première traduction en français en 1861, en roman-feuilleton.

Wilkie Collins est un écrivain britannique de l'époque victorienne, très populaire à son époque. Passionnée par la littérature du XIXème siècle, c'est tout naturellement que j'ai profité de mon accès privilégié auprès des éditions VOolume pour découvrir La Dame en blanc.

Walter Hartright, un jeune professeur d'art, vient d'être embauché pour donner des cours à deux jeunes filles de bonne famille à Limmeridge House, une demeure isolée dans la campagne londonienne. Il tombe rapidement amoureux de la plus jeune, Laura, promise à un mariage de raison.
Juste avant, il est venu en aide, en parfait gentleman, à une étrange jeune femme toute de blanc vêtue, qui semblait fuir un danger, terrorisée et tenant des propos incohérents dans lesquels il était justement question de Limmeridge House. Il apprend ensuite de deux hommes lancés à ses trousses qu'elle se serait échappée d'un asile.

Beaucoup de mystères et de secrets dans ce roman, un labyrinthe d'énigmes où il sera question de mariage arrangé, de fortunes convoités, d'étranges ressemblances entre la jeune aliénée et Laura, d'internement abusif des femmes qui dérangent, de société secrète, de manipulation et d'emprise…

C'est ma deuxième incursion dans l'oeuvre de cet auteur et j'ai retrouvé, sans surprise, la même trame narrative, une polyphonie de points de vue, chacun des personnages principaux prenant en charge, à la première personne, une ou plusieurs parties du récit. Ainsi Wilkie Collins a-t-il pu donner à chacun un style en rapport avec sa personnalité et ses ressentis.
Le récit regorge de détails, d'échanges dialogués, d'atermoiements des un(e)s et des autres… Les psychologies féminines sont à lire comme des morceaux d'anthologie : pauvres créatures fragiles et soumises, vaillantes cependant quand elles résistent au patriarcat : « Cette histoire montre avec quel courage une femme peut supporter les épreuves de la vie et ce dont un homme est capable pour arriver à ses fins. ».
C'est un peu trop long et délayé pour plaire vraiment au lectorat d'aujourd'hui même si je reconnais que c'est captivant et que l'on a envie de connaître (enfin !) le mot de la fin.

Un auteur à connaître, précurseur du thriller psychologique. J'ai lu sur Babelio que Dickens était jaloux de lui et qu'il fascinait Borges

La version audio est agréable à écouter, même si j'avoue avoir, de temps en temps, un peu décroché.

#LaDameenblanc #NetGalleyFrance

Lien : https://www.facebook.com/pir..
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Inspirée par la lecture d'une critique d'un challenge, je me suis lancée dans La dame en blanc.
Un jeune dessinateur Walter Hartright trouve une place d'enseignant à la campagne, auprès de 2 jeunes femmes. La place est bien payée. L'une des demoiselles, Marian Halcombe, a beaucoup d'esprit et de sens pratique, la seconde, Laura Fairlie, est remarquablement belle. Leur oncle, égocentrique et hypocondriaque, ne se montre jamais. Au fil du temps, Walter et Laura se rapprochent plus que leur positions sociales ne le permettent. D'ailleurs, Laura est promise à un autre homme. Chacun va donc devoir poursuivre sa vie de son côté. C'est ainsi que l'on se comporte dans la bonne société anglaise du XIXème siècle.
Dans toute cette première partie, tout pourrait sembler une banale histoire, sans la rencontre fortuite entre Walter et une mystérieuse femme en blanc alors que celui-ci se rendait pour la première fois à son nouveau poste. Cette jeune femme, si désorientée, lui tient des propos déroutants qui ne s'éclaircissent vraiment que bien plus loin dans le livre.
Par petites touches, Wilkie Collins amène de l'incertitude, qui se transforme en angoisse avant de culminer réellement en danger mortel. Pas de doute, nous sommes bien dans un thriller, non pas haletant comme des équivalents modernes, mais profond, au rythme qui va crescendo et se termine sur un plateau où tout se dénoue.
L'écriture est accessible à un lecteur moderne malgré peut-être le sentiment de quelques longueurs.
Les personnages n'ont pas tous la même profondeur. Marian, sans conteste ma préférée de la galerie, pourrait être notre contemporaine. Laura et Walter sont beaucoup plus de leur époque. La même disparité se retrouve chez les méchants de l'histoire.
Bref, ce second livre lu de cet auteur (le premier était "Je dis non" et m'avait laissée hésitante), va m'inciter à tenter une troisième oeuvre pour compléter mon avis.
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Qui est-elle, cette dame tout de blanc vêtue? Dangereuse folle alliée échappée d'un asile ou gentille personne en sachant trop long? Ca démarre doucement, par un suspense insidieux (un peu à la "Rebecca" de du Maurier). La vie se déroule, mais on sent planer le danger, un mal qui ne vient pas de l'étranger inconnu, mais qui sommeille sous son propre toit, dans le coeur d'êtres retors planqués derrière un masque de vertu. Mais pas la peine d'attendre la fin du livre pour que les masques tombent: dès la moitié du récit, ça s'emballe et l'action prend le pas. J'ai accroché, l'intrigue m'a turlupinée et j'ai bien aimé le côté flashback, avec ces témoignages qui rappellent un procès. Je dois être une grande sensible, parce que je suis un peu triste pour ce roman: digne pionnier du roman policier, le filon ("mystère dans le grand manoir du 19è siècle où les habitants ont pas l'air net) a depuis été tellement repris qu'il se retrouve noyé parmi les autres (Rien que "L'indésirable" ou "Les brumes de Riverton" ont un arrière-goût de "Dame en blanc") et n'a plus la reconnaissance qu'il mérite. Alors rend hommage à ce livre, lis-le et apprécie la plume.
Lien : https://tsllangues.wordpress..
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Lorsque Walter rencontre pour la première fois la dame en blanc, une apparition fantomatique tout droit échappée d'un asile, il apprend très vite qu'elle y a été injustement enfermée par un célèbre « baronnet ». Walter n'a pas le temps d'en savoir plus ni d'aider cette femme qui, très vite, s'évanouie dans la nature. Cette rencontre fortuite viendra le hanter sur le trajet jusqu'au domaine de Limmeridge House où il doit commencer son nouveau poste en tant que professeur de dessin des deux héritières du domaine, Laura et Marian. La ressemblance frappante entre Laura et la dame en blanc ne lui échappe pas et Walter s'éprend de la jeune femme. Mais comment ce jeune professeur de dessin sans un sous peut-il imaginer un avenir avec cette aristocrate sachant qu'elle est elle-même fiancée à un célèbre « baronnet ». Ce pourrait-il qui s'agisse du même homme qui a enfermé la dame en blanc? Laura court-elle un danger en l'épousant?

Une ambiance profondément gothique à lire une fois la nuit tombée. On imagine très bien ce huis-clos dans cette grande demeure où mystère, tabous et secrets de famille s'accumulent, où brutalité et hypocrisie sont rois. Les révélations à demi-mots, les apparences trompeuses, le statut social et les conventions sont autant de frein à l'enquête de Walter et donne à ce roman un charme fou. Une histoire d'amour, une enquête policière, un roman à suspense, un classique à découvrir!
Lien : https://eemmabooks.wordpress..
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: Si j'avoue avoir eu un peu de mal à entrer dans l'histoire, suite à certaines longueurs en début de roman et au style employé, je me suis peu à peu laisser prendre au suspense habillement distillé par Wilkie Collins.

La première partie, qui place peu à peu les protagonistes principaux de l'intrigue, m'a de prime abord semblée un peu longue... Je ne comprenais pas trop vers où l'histoire allait nous emmener, ce que l'auteur cherchait à nous raconter. La rencontre de William Hartright avec la Dame en Blanc, son emploi à Limmeridge et l'attachement qui va le lier peu à peu aux deux femmes de la maison, tout ça, je n'en voyais pas la finalité... Et puis, l'annonce du mariage à venir et le personnage que l'on sent antipathique au possible de Percival Glyde précipite un peu le tout... le mariage aura-t-il lieu ? Que va-t-il advenir ensuite ?

De péripéties en péripéties, de narrateur en narrateur, on se laisse prendre au jeu de cette manipulation et on a hâte d'en voir venir le dénouement.

Un roman passionnant dont je vous conseille la lecture. 
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