Je n'ai pas eu l'occasion de lire «
la tresse » ... énorme succès de librairie … ma fille qui n'a pas non plus eu l'occasion de lire «
la tresse » m'a gentiment prêté «
le cerf-volant » … lis, m'a t elle dit, je te dirais après !
J'ai lu … vite lu et le livre sera vite oublié … heureusement que ce n'est pas très long car sinon je crois que j'aurais abandonné.
Je ne dirais pas que c'est mal écrit, je ne dirais pas que l'intrigue est inintéressante, mais ça dégouline de bons sentiments, de révélations sur l'Inde qui pullulent sur internet, et qui ne sont pas vraiment des nouveautés, rien de nouveau à mettre à charge sur la société indienne en plus de toutes les critiques déjà maintes fois formulées.
Et le ton compatissant sur les valeureux individus qui cherchent à faire évoluer le système ne dépasse guère les y'a qu'à !
Merci fafoubleu de nous dire :
« Bref,
Laëtitia Colombani vend ses romans à coup de publicité racoleuse comme une nouvelle marque de dentifrice. Grasset gagne beaucoup d'argent et ce succès me navre. J'attends de la littérature, de la vraie »,
Et j'ai appris une chose … je ne lirais pas les autres titres de
Laëtitia Colombani.
Heureusement pour elle, elle n'a pas besoin de moi, elle a su trouvé son public et c'est tant mieux pour elle et pour les éditions Grasset !