Seulement si tu en as envie ...

Peut-être mon vécu a influé sur ma lecture mais j'ai trouvé le livre niais. C'est bien écrit, certes. le style est fluide, d'accord. Mais (et encore une fois, mes expériences personnelles ne sont sans doute pas étrangères à cette critique), "seulement si tu en as envie" est un vrai roman à l'eau de rose... qui ne m'a pas fait rêver.... Étonnant, d'ailleurs, qu'il ait été écrit par un homme...

Aujourd'hui je vous parle de #seulementsituenasenvie de #brunocombes.

Quand j'ai commencé ce roman j'ai eu un air de déjà vu. Je me suis alors rappelé qu'il précédait #parcequecetaittoi que j'ai lu l'année dernière.

Au final je ne sais pas vraiment ce qui est la suite de quoi. Je n'ai pas eu une impression de continuité mais plutôt d'avoir le même roman d'un point de vu différent . du coup je n'ai ni apprécié ni détesté. J'ai simplement le sentiment d'avoir lu le même livre différemment, c'est assez étrange 😅

Cela reste néanmoins un beau roman à l'écriture agréable donc pourquoi ne pas vous laisser tenter par l'un des deux (ou les deux) 😁

J'ai vu beaucoup d'avis positifs sur ce livre et malheureusement ça ne l'a pas fait avec moi. Ce n'était peut-être pas le bon moment pour le lire, je ne sais pas mais je n'ai pas accroché. Après ce n'est pas non plus mon genre de prédilection mais le début démarrait si bien, j'ai vite déchanté...

le sujet est pourtant intéressant mais j'ai trouvé certains passages trop vite bâclés, je n'ai pas eu le temps d'apprécier certains moments qu'on passait déjà à autre chose. Ça m'a lassée et je n'ai pas accroché non plus aux personnages, constamment sur les nerfs à s'envoyer bouler au moindre truc.
J'ai trouvé que quasiment toute l'histoire était plate, il y a juste les 20 dernières pages que j'ai vraiment aimées malgré la tristesse du récit.

Après le positif c'est que l'écriture est hyper fluide. Une fois que je commençais à le lire, les pages défilaient très vite malgré le fait que je n'aime pas trop. À savoir aussi que le livre est assez court (~300 pages).

Mon avis reste cependant personnel. Je sais que beaucoup d'entre vous l'ont adoré, et faites vous votre propre avis dessus si vous hésitez à le lire, ça reste assez léger donc pour les amateurs de romance, il peut être parfait pour vous !

Il ne se passe pas grand chose dans ce livre, si ce n'est la vie quotidienne d'une avocate, Camille, la quarantaine, son mari, bourgeois peu expansif, ses deux enfants, sa famille, ses amies, aucun problème particulier sauf l'ennui de la routine.
Donc nous aussi on s'ennuie! On pourrait compter le nombre de cigarettes fumées par Camille.
L'histoire démarre seulement à plus de la moitié du livre et là encore pas de grande surprise. Mais on lit avec plus de plaisir.
Le style est très simple et la lecture est fluide. L'auteur m'a donné l'envie de tester les parfums à base de fleurs de Bach et de passer des vacances à Arcachon.
C'est le premier livre que je lis de Bruno Combes et, vu les avis, je ne resterai pas sur cette impression plus que mitigée. Je tenterai un autre roman à l'occasion.

Camille a une vie qui semble parfaite : mariée, 2 enfants, une très bonne situation professionnelle et un grand confort matériel. Mais elle n'est pas satisfaite, peut-être la crise de la quarantaine ? Toujours est-il que son travail ne l'enthousiasme plus autant et qu'elle supporte de moins en moins les habitudes de son mari.
Mais un événement va arriver qui pourrait tout changer.

Je ne mets pas de photo de la 4eme de couverture car en fait, plutôt qu'un appel à découvrir l'histoire, c'est carrément son résumé dans son intégralité, jusqu'à sa fin. Quelle idée de faire ça ?

Je n'ai pas accroché du tout à l'histoire. Je recherchais une lecture légère et agréable mais j'ai trouvé une histoire d'amour décrite de façon totalement factuelle et sans émotion.
Pas moyen de ressentir le moindre frisson ou de m'attacher à Camille.
J'ai aussi eu du mal à démêler la chronologie plutôt aléatoire du récit. Avant, après, pendant, qui raconte ? Parfois difficile de situer les choses
Même les dialogues ne m'ont pas convaincue, insipides, répétitifs, peu naturels voir mièvres.

Bref, grosse déception pour moi. Dommage, le thème est intéressant, les descriptions d'Arcachon et de la dune du Pilat sont de vraies évasions.

Nouvelle tentative avec Bruno Combes. Hélas, si j'ai trouvé ce roman meilleur que « Ce que je n'oserai jamais te dire… », on est loin de « Je ne cours plus qu'après mes rêves » qui m'avait donné envie de découvrir d'autres écrits de l'auteur ! « Seulement si tu en as envie… » est une romance finalement très classique et ne réussira jamais à sortir des sentiers battus. Et c'est bien dommage ! Je m'attendais à un récit moins cousu de fil blanc, à plus d'émotions, à un peu plus de rebondissements ainsi qu'à des protagonistes plus attachants. Bien que la plume de Bruno Combes soit toujours fluide et sensible, cela ne m'a pas suffi à passer un bon moment.

L'histoire retrace celle de Camille, mère de famille attentionnée, avocate de talent et épouse dévouée. Hélas, sa vie avec Richard semble peu à peu lui peser. Comment le lui reprocher ? L'époux ne cesser de la rabaisser, ne l'écoute pas, la laisse gérer enfant, foyer et travail, s'absente souvent et n'a pas l'air de la rendre heureuse. Enfermé dans la routine et les non-dits, le couple bat clairement de l'aile, si bien que l'on ne se questionne pas sur l'avenir du duo… Quant aux enfants, que Camille appelle peu naturellement « ma fille » ou « mon fils » en s'adressant à eux, ils semblent seulement comprendre que quelque chose cloche chez leur génitrice, mais ne s'y penchent pas davantage. Cela dit, c'est assez normal : leur mère arrive à un point de non-rupture et ne paraît pas à leur écoute non plus… Progressivement, la quarantenaire dépressive va se rendre compte qu'elle aspire à autre chose : de la surprise, des sentiments forts, un renouveau et la liberté. Or, le hasard veut qu'elle reprenne contact avec l'un de ses ex-petits-amis : Stephen, à présent libraire dans des petites structures à Londres et à Paris. Aussitôt, les certitudes de la belle vacillent. Que se passerait-il si elle revoyait son ancien amour ? Aura-t-elle la force de résister ? Est-il encore temps de sauver son mariage ? Préfèrerait-elle une vie bien rangée ou le chemin de la passion ? Hélas, le suspense est loin d'être insoutenable… D'ailleurs, je n'ai pas compris pour quelles raisons le résumé est si détaillé. À ma grande surprise, il retrace absolument tout le récit, gardant le mystère uniquement sur les vingt dernières pages ! Ainsi, si vous envisagez de lire cet ouvrage, évitez de lire la quatrième de couverture, afin de ne pas totalement vous spoiler.

Malgré l'intrigue prévisible, le style de l'auteur est très agréable. J'ai aimé le fait qu'il prenne le temps de planter l'histoire et de creuser l'univers de Camille qui s'effrite. Il faudra attendre presque deux cent pages avant que les anciens aimés se revoient. Les pages avant les retrouvailles vont permettre au lecteur de découvrir la narratrice et son entourage. Certains personnages semblent sympathiques, notamment les grands-parents Mathilde et Hubert ou encore le beau-frère Evan et son épouse Kalinia. Cependant, leur bienveillance et leur écoute ne font pas tout : il leur manquait cruellement de consistance ! Et il en va de même pour la plupart des membres de la famille qui, en plus d'être très peu développés, vont se révéler être très manichéens et stéréotypés. On reste ainsi sur notre faim, ne retenant que le triangle amoureux et les enfants.

La vitesse de la relation de Camille et Stephen est un autre point m'a chagrinée. En effet, bien qu'il soit nécessaire d'attendre la moitié du livre pour que le couple se retrouve, leur lien va rapidement devenir intense. Certes, le temps passe et l'auteur propose plusieurs ellipses néanmoins, je pensais que l'on assisterait à un peu plus de scène avec eux ! J'adore les phases de (re)séduction et j'en attendais un minimum… C'est à peine si, en dix pages, ils se racontent leur passé commun, les drames de la vie (Stephen se livre d'ailleurs avec une facilité déconcertante !), puis succombent l'un à l'autre. Malheureusement, je n'ai ressenti aucune alchimie entre eux. Parfois, j'ai même eu l'impression que leurs échanges sonnaient faux tant c'était fleur bleue. Certes, je comprenais leur attachement ainsi que leurs envies toutefois, cela ne suffisait pas. C'était trop précipité, banal et pas assez décrit.

Une collègue m'a prêté la suite intitulée « Parce que c'était toi… » et qui a énormément plu aux lecteurs, notamment à ceux qui ont adoré celui-ci. (À croire que je vais encore une fois à contre-courant…) Malheureusement, je ne m'y plongerai pas, car je ne me suis aucunement attachée aux protagonistes. Je pense plutôt découvrir « La part des anges », le dernier écrit de Bruno Combes, que j'espère plus palpitant que celui-ci !
Lien : https://lespagesquitournent...

Lu en 2017, ce livre a été une déception. Vraiment, je crois que je n'ai pas été déçue d'un livre comme ça depuis, et nous sommes en 2020.
On est donc sur une romance entre une femme mariée et un libraire franco-anglais, qui se connaissent depuis l'adolescence. On part bien, pourtant.
Ce qui m'a déçu, c'est pas tellement l'histoire, mais les drames toujours, se plaindre, se lamenter... L'héroïne est une brillante avocate qui vit dans un beau quartier de Paris, avec son mari aimant mais qui ne la "regarde plus" et ses enfants qui écoutent du Maitre Gims. Elle s'ennuie. Snif. La passion arrive lorsqu'elle tombe sur son amour d'enfance. J'attendais l'histoire du manuscrit qui arrive vraiment à la toute fin - je spoile même pas je préviens. Et en plus, elle fait la girouette cette dame... honnêtement je ne pense pas que ce livre ait été fait pour moi. Mais même si j'avais eu 40 ans, je n'aurais pas accroché tant que ça. Désolée.
Lien : https://biblidamelie.blogspo..

Lecture fluide, mais aucun intérêt pour l'histoire.

J'avais beaucoup entendu parler de ce livre, des vacances au soleil me semblaient bien appropriées pour me lancer dans sa lecture.
Il suffit de lire le résumé en quatrième de couverture, tout est dit sur les trois quarts de l'histoire ; le dernier quart est tellement prévisible, je suis déçue et vais m'arrêter là avec cet auteur.

J'attendais peut-être trop de choses du roman de Brno Combes, "Seulement si tu en as envie".
Et en général, à trop en attendre on est souvent déçu.

Ce n'est pas que je n'ai pas aimé l'histoire. Pour une fois, je n'ai pas d'attachement pour un personnage, aucun. L'écriture est bien, mais il me manque un "truc en plus". Je ne sais pas... ça ne me déplairait pas d'en essayer un deuxième pourtant, mais la sauce ne prend pas.