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EAN : 9782290249949
384 pages
J'ai lu (02/06/2021)
4.07/5   859 notes
Résumé :
Lisa a perdu le goût de vivre depuis la mort accidentelle de son fils. Avec son mari et sa fille, elle quitte Paris pour s'installer dans une ferme isolée au fin fond du Périgord, La Part des Anges, dans l'espoir de se reconstruire. En vain...
Jusqu'au jour où Lisa découvre, niché dans le grenier de la vieille bâtisse, le journal d'Alice qui a vécu à La Part des Anges quatre-vingts ans auparavant.
Page après page, Alice y raconte toutes les épreuves ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (115) Voir plus Ajouter une critique
4,07

sur 859 notes
C'est l'histoire d'une famille meurtrie par le décès accidentel d'un enfant : Théo, âgé de huit ans , renversé par un chauffard sur un passage protégé .

Lisa, sa maman, professeur d'anglais à Paris, son mari Hugo, médecin et leur petite fille Émilie décident de quitter Paris pour s'installer à Véminam, petite commune du Périgord, près de Sarlat .

Hugo s'y installe et ouvre un cabinet médical, bien aidé par le maire de cette commune .
Émilie se fait rapidement à sa nouvelle vie, à l'école de Véminan se découvre une nouvelle amie ….

Lisa, actuellement en congé longue durée, grave dépression suite à la perte de son fils , dont elle se juge entièrement responsable ,…

Elle a perdu le goût de vivre…, On ne fait jamais le deuil d'un enfant , elle a vécu le plus violent traumatisme qu'une mère peut connaître, sa fille est attristée par l'attitude de sa mère, cloîtrée , emmurée dans sa douleur jusqu'au jour où un journal intime, retrouvé dans le grenier de leur propriété change tout: celui d'Alice qui a vécu là, quatre - vingts ans auparavant .
Page après page, elle y conte à Gabriel, son mari, exilé dans un stalag allemand, ses épreuves, les pires souffrances qu'elle a dû endurer pour assurer la sauvegarde de sa famille .

Lisa décide que ce sera son secret, elle n'en parlera à personne …

Et si cette rencontre virtuelle aidait à la reconstruction lente d'Alice ? .

L'auteur nous offre un ouvrage poignant, pétri de sensibilité, touchant, un très bel exemple de résilience et d'espoir : deux histoires, deux vies qui se croisent , Lisa, un mélange de fragilité et de sérénité après une longue léthargie, entre tristesse, renouveau et espoir , j'ai éprouvé une sincère admiration pour Hugo ,sa longue patience à l'égard de Lisa , où il a compris que c'était le moment de s'échapper de cette vie abîmée par le deuil, les douleurs d'Alice, ces lettres d'autrefois qui ouvriront les yeux à Lisa, l'aideront à surmonter sa douleur .

L'auteur nous offre une très bonne étude psychologique de chaque personnage , délicate, fouillée, j'ai été agacée parfois par l'attitude de Lisa et le début m'est apparu trop lent et laborieux.

La plongée dans le passé m'a interpellée, l'écriture est douce, fluide, poétique parfois , certaines situations m'ont laissée dubitative……
Un sujet douloureux, une superbe leçon de vie ou comment se reconstruire après un drame ? .

Serait - ce une part d'autobiographie ? .
Je ne connais pas cet auteur ,ouvrage emprunté par hasard à la médiathèque.

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Grâce à une adhérente de la médiathèque, j'ai pu continuer de découvrir la plume de Bruno Combes. Celui-ci avait su me séduire avec « Je ne cours plus qu'après mes rêves ». Hélas, ses autres ouvrages – des romances un peu trop naïves ou faciles à mon goût – n'avaient pas réussi à me combler, si bien que j'ai tardé la lecture de ce dernier prêt. Je ne vous ferais pas languir davantage : « La part des anges », que cette connaissance a pourtant adoré et chaudement recommandé, n'a pas su me convaincre. Cela dit, je persiste à dire que la plume de l'auteur est agréable : un style très fluide, poétique, simple et doux. On tourne les pages avec aisance, car Bruno Combes arrive aussi bien à retranscrire les émotions de ses personnages féminins que masculins. Je lui trouve une sensibilité rare et je regrette d'autant plus le fait que je n'accroche au contenu de ses histoires !

Cet écrit aborde des sujets difficiles avec, en point central, la perte d'un enfant. En tant que jeune maman, je reconnais que je n'avais pas envie d'être confrontée à ce sujet… C'est également pour cela que j'ai repoussé ma lecture. Ici, la pauvre Lisa, la mère d'Emilie et autrefois de Théo, a perdu son fils à cause d'un chauffard. le garçon n'avait que huit ans. Il avait des rêves et toute la vie devant lui… Pour Lisa et ses proches, c'est la descente aux enfers. le lecteur assiste, impuissant, à la dépression de toute la famille : les grands-parents qui réagissent à leur façon, la petite Emilie qui encaisse tout le stress de ses parents, Hugo le papa qui m'a semblé assez exemplaire malgré la situation et Lisa qui n'arrive pas à relever la tête, car elle se sent responsable. J'ai aimé le fait que l'auteur n'apporte aucun jugement de valeur aux personnages. En dépit de ses erreurs, le mari est passé par toutes les phases, mais s'est toujours accroché pour sa compagne et pour leur fille cadette. Il va faire énormément d'efforts… Néanmoins, il constate avec amertume que son épouse s'éloigne inexorablement de lui et que c'est peut-être la fin de leur histoire… Peut-on alors lui jeter la pierre quand la suave Sarah vient lui faire les yeux doux ? Cèdera-t-il à la tentation ? Les sentiments pour sa femme peuvent-ils renaître avant qu'il ne soit trop tard ? Avant le drame, cette dernière était une mère géniale, enthousiaste, communicative, pétillante et pleine de vie. Mais comment lui en vouloir de ne pas remonter la pente ? Comme le souligne Bruno Combes, le deuil d'un enfant est impossible… On ne se remet jamais de cette épreuve. On doit simplement réapprendre à vivre, au moins pour l'enfant qui reste… Ce roman retrace tout le parcours de cette femme perdue : son chemin vers l'acceptation et la résilience…

Le contexte du livre est donc lourd. Chargé d'émotions. Je reconnais avoir trouvé la lecture trop pesante avec tout ce qu'il se passe en moment… En ce moment, la littérature est synonyme d'évasion chez moi. Lire de tels sujets me mine plus qu'autre chose. de plus, cette héroïne à la dérive ne m'a pas paru attachante. Certes, j'éprouvais de la compassion pour elle toutefois, je la trouvais trop molle, renfermée et pas spécialement passionnante. Hormis le fait qu'elle aide les gens à apprendre l'Anglais, Lisa n'a pas l'air d'avoir de loisirs ou d'intérêt particulier. Elle se laisse porter. Même lorsqu'elle ira mieux, sa personnalité n'a pas réussi à me toucher. Elle m'a semblé si transparente et concentrée sur sa douleur ! À l'inverse, son époux fut un personnage plus intéressant. On assiste vraiment à ses efforts au sein du couple, en tant que père, puis en tant qu'Homme. Malgré le deuil qui lui pèse sur les épaules, il ne cesse d'encourager sa femme ou de prendre soin de leur fille. Son travail l'occupe beaucoup toutefois, il ne va pas arrêter de chercher des solutions. Un homme plutôt idéal.

Comme le mentionne le résumé, Lisa va trouver un carnet datant de la Seconde Guerre mondiale. Or, c'est ce bel outil qui lui permettra de faire la rencontre d'Alice, la femme d'un soldat français. Aux côtés de l'héroïne, on va découvrir l'histoire du couple, leurs épreuves, l'attente, le travail dans les champs, les problèmes familiaux, … Quelques passages sont terribles cependant, je n'ai pas ressenti grand chose pour Alice et Gabriel. Des romans historiques sur 39-45 se déroulant sur le front, dans les camps, en ville ou dans les champs, j'en ai déjà parcouru plusieurs… Des destins sombres, poignants et révoltants, j'en ai malheureusement lu d'autres… Et c'était généralement plus fort émotionnellement que le quotidien de ce duo !… de ce fait, je n'ai pas eu le déclic lors de la lecture des carnets de lettres.

Malgré ma déception, « La part des anges » (dont j'adore l'idée du titre !) est un ouvrage correct qui saura trouver son public. S'il n'a pas été à mon goût, cela n'aurait peut-être pas été le cas il y a quelques années. Loin du contexte sanitaire et si j'avais lu moins d'oeuvres historiques sur la Guerre, j'aurais sans doute eu un ressenti différent !
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Le ménage Hugo et Lisa ont perdu un fils de huit ans fauché par un chauffard. le pire est que Lisa se sent coupable, elle a lâché la main de Théo pour intercepter un SMS sur son portable. Il va falloir se reconstruire. La mère sera longtemps dépressive. Elle sera suivie par un psychiatre qui lui donnera des clefs pour sa reconstruction. Il lui prescrira des médicaments pour pouvoir dormir. le ménage et leur fille Emilie vivent à Paris. Lui exerce la fonction de médecin, elle enseignait l'anglais jusqu'à interruption pour raison de maladie, une dépression. Son psychiatre lui avait conseillé de quitter la ville, de rompre avec ses habitudes qui l'épuisaient et ne faisaient que renforcer sa peine. C'était une démarche de reconstruction. Et, c'est ainsi que tous les trois allèrent s'installer à Véminan dans le Périgord à un vingtaine de kilomètres de Sarlat. Il ont été aidé par le maire, efficace dans le cadre de leur installation. le ménage acheta une ferme du nom de : « La part des anges » dont le corps de logis avait été rénové. Nouvelle demeure, nouvelle position géographique, il fallait métriser de nouveaux paramètres mais surtout pour Lisa, se reconstruire. Hugo succéda au médecin du village dans un cabinet médical. Il devenait un médecin de campagne et s'adaptait à ses nouvelles conditions de vie. Quant à Lisa, elle eut une nouvelle amie, Sophie qui lui proposa de l'accompagner pour vendre des bocaux de miel au marché de Sarlat. Sophie était doublement aidée par Lisa car elle pouvait s'occuper d'une clientèle anglaise de passage au Périgord. Cela occupait Lisa qui n'avait plus le temps de se morfondre des journées entières sur la disparition de son fils.

Au fil des pages, j'ai trouvé Lisa peu sympathique. Elle n'arrivait pas à faire le deuil de la disparition de son fils, même plus d'un an après le douloureux évènement. En plus, elle avait des doutes sur les attitudes de son mari envers une Irlandaise qui lui faisait les doux yeux. Elle ne mettait pas le problème à plat par une franche discussion avec Hugo, elle était tout simplement jalouse, avait des délires de persécution. Sa difficile reconstruction entachait le vie du couple. Quant à Hugo, il gardait le cap d'un mari aimant et bien intentionné.

Hugo et Lisa ont acheté la maison aux frères Palain. Lisa tombera un jour, au grenier de « La part des anges », sur un carnet qui était un recueil de note de Alice qui était la grand-mère des frères. Dans une même boîte, elle trouva une correspondance échangée entre Alice et son mari Gabriel qui avait dû se rendre, comme d'autre jeunes, sur le front de la deuxième guerre mondiale. Je n'en dirai pas plus étant donné que l'intrigue réside à savoir si l'intérêt que porte Lisa envers ce jeune couple ayant vécu à « La part des anges » quatre-vingt ans plus tôt peut s'avérer salvateur dans sa dépression.

Les chapitres alternent dans le temps. Ont la parole tantôt Lisa, Hugo, la façon dont ils se reconstruisent et Alice et Gabriel qui grâce à la correspondance laisse une trace de leur vécu, et quel vécu !

C'est le premier livre que je lis de cet auteur.
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Ce roman m'a laissé un sentiment mitigé. D'une part, j'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur que j'ai trouvé très poétique et très délicat dans la description des sentiments de Lisa. Cela m'a permis de comprendre et me mettre à la place de ce personnage.
Mais, j'ai trouvé par moment que ce livre n'était pas crédible. Je n'ai pas réussi à m'intéresser à certains personnages dont je n'ai pas compris l'intérêt dans cette histoire.

Malgré tout, j'ai apprécié ce livre. C'est un roman fluide qui aborde un sujet plutôt difficile
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J'ai vu ce livre passer sur mon fil Instagram avec des avis très positifs, c'était l'occasion, pour moi, de connaître Bruno Combes que je n'ai encore jamais lu et j'ai été agréablement surprise par cette lecture que j'ai beaucoup aimée, pas loin du coup de coeur il faut bien l'avouer.

Lisa est à la dérive, elle a perdu son fils accidentellement et culpabilise, pensant que si elle ne lui avait pas lâché la main une petite seconde pour regarder son téléphone, rien ne serait arrivé. Elle décide de fuir Paris et de s'installer avec son mari Hugo et sa fille Emilie dans le Périgord, elle a eu un coup de coeur pour une ancienne bâtisse isolée qui s'appelle « La part des Anges » elle va pouvoir reconstruire sa vie et apaiser ce chagrin qui la tenaille chaque heure du jour et de la nuit.

Hugo a tout de suite trouvé ses marques dans son nouveau cabinet, le village avait besoin d'un médecin généraliste et son arrivée ne pouvait pas mieux tomber. Emilie se fait, elle aussi à sa nouvelle vie, elle a déjà une meilleure amie et son école lui plait beaucoup. Elle est cependant attristée que sa mère, emmurée dans sa douleur, ne lui prête pas assez d'attention. Lisa n'y arrive pas, elle essaie mais en vain, et son psychiatre finit par se demander si un jour elle arrivera à surmonter la perte de son enfant et à retrouver une vie à peu près normale.

C'est un journal intime qui va tout changer, celui d'Alice qui a vécu à la Part des Anges durant la seconde guerre mondiale, Lisa va s'attacher au personnage, s'y identifier, parce qu'Alice a, elle aussi, vécu de terribles drames. Désormais Alice fait partie intégrante de la vie de Lisa, mais bien sûr, personne ne comprend pourquoi Lisa a absolument besoin de connaître la vie d'Alice et de s'attacher à un journal trouvé dans le grenier. Alors Lisa décide que ce sera son secret et qu'elle n'en parlera plus à personne. Elle fait des recherches, lit attentivement chaque page du journal, elle ressent même parfois la présence d'Alice dans la bâtisse.

Et si cette rencontre virtuelle avait le pouvoir d'apaiser Lisa et de l'aider à aller de l'avant ?

Bruno Combes nous livre un roman très poignant, une histoire de la vraie vie qui n'arrive pas qu'aux autres. Les personnages sont attachants. Hugo d'abord qui est d'une patience à toute épreuve et qui ne lâche jamais la main de sa femme, une femme qu'il aime profondément. Emilie qui est dans la résilience, elle tente de garder la tête hors de l'eau et ne comprend pas toujours le monde des adultes, elle souffre pourtant elle aussi d'avoir perdu son petit frère. Lisa enfin pour qui on a énormément de compassion mais qui parfois agace, on a envie de la secouer et on aimerait qu'elle sorte de sa léthargie, on se rend compte que la famille s'adapte et vit à son rythme, ça ne peut pas durer longtemps, Emilie a besoin de s'épanouir, Hugo a besoin de retrouver sa femme.

Il y a enfin Alice, son ombre plane sur le roman, on a énormément d'admiration pour tout ce qu'elle a vécu, pour son courage et son abnégation, elle ne se plaint jamais, elle va de l'avant malgré la douleur, la fatigue, les privations. Cette femme est un modèle, Lisa ne sait plus faire sans elle qui désormais semble la guider dans tout ce qu'elle fait.

Quel magnifique roman, pour une première fois avec cet auteur je suis gâtée, j'ai adoré ce livre entre tristesse et espoir, parce que le soleil n'est jamais loin, si tant est qu'on veuille l'apercevoir.


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Citations et extraits (185) Voir plus Ajouter une citation
― Je vais faire un brin de philosophie, médite là-dessus : la vraie richesse, ce n’est pas de trouver de l’or, c’est de transformer ce que l’on a en or ! Ton trésor, fabrique-le toi-même.
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…, ils souhaitaient le bonheur de leur fille, mais ce garçon, cet « étranger », comme l’appelait quelquefois son futur beau-père, n’était pas un garçon originaire du canton de Véminan. Aujourd’hui, cela peut prêter à sourire, mais à l’époque on se mariait le plus souvent avec un voisin ou une personne d’un village alentour. D’abord par ce que les occasions de faire des rencontres se cantonnaient à un périmètre géographique limité et aussi parce que, dans les campagnes, les paysans privilégiaient les unions qui permettaient d’agrandir la propriété ou d’apporter des moyens supplémentaires au développement du potentiel de la ferme.
Gabriel, lui, n’avait rien à proposer, ni terres, ni matériel. Ses bras et sa bonne volonté étaient sa seule richesse.
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Le 1er septembre 1939, à l’aube, les troupes allemandes avaient envahi la Pologne. Quelques jours auparavant et dans le plus grand secret, Hitler avait signé un pacte de non-agression avec les Soviétiques. Le dictateur était désormais tranquille sur le front de l’Est, l’ouest, l’Europe devait se préparer à la guerre. […].
Le 3 septembre à 17 heures, la France déclara la guerre à l’Allemagne.
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― C’est un long cheminement personnel que vous devez accomplir, entourée de votre mari, de votre fille, de vos parents et de vos proches. Votre douleur et votre colère s’apaiseront peu à peu et, surtout vous comprendrez que vous n’êtes en rien coupable de quoi que ce soit. Lorsque votre douleur s’estompera, et seulement à ce moment-là, vous vous autoriserez à vous tourner vers l’avenir, vers la vie.
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― Sarah, belle, charmante ? les deux à la fois peut-être ? Tu crois que je n’ai pas vu ta façon de lui tourner autour. […].
Lisa s’était exprimée avec excès, comme une femme jalouse et peu sûre d’elle. Mais au fond de lui, Hugo le savait, sa femme avait raison, Sarah ne le laissait pas indifférent. Était-ce l’originalité de cette jeune étrangère qui l’attirait ? Était-ce sa troublante beauté ? Ou tout simplement était-il las d’une relation qui ne lui apportait plus aucune tendresse ?
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Dans ses deux derniers livres 'Soixante secondes de bonheur' (J'ai Lu) et 'Il existera toujours un chemin' (Michel Lafon), Bruno Combes explore les effets des changements, des bouleversements qui surviennent dans la vie, qu'ils soient attendus ou non. Un auteur pour qui la bienveillance est une notion primordiale. Il nous en dit plus dans cette interview vidéo.
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