Et puis, Paulette...

Ferdinand vis seul depuis que son fils et sa belle-fille ont déménagé dans le village, dans une grande ferme ancienne (du genre où les grands-parents, les enfants et les petits -enfants vivaient ensembles dans des ailes séparées). Un jour il découvre que sa voisine Marceline a de gros problèmes dans sa maison : souris, fuite de gaz et son toit s'est envolé. En écoutant ses petits-enfants et son grand coeur il lui propose une collocation. C'est le début d'une nouvelle vie car Marceline ne sera pas la dernière à s'installer à la ferme suivant les coups du sort.

Chacun arrive avec ses valises, ses meubles, ses histoires et ce n'est pas toujours facile de concilier tout le monde surtout quand une ou deux générations les séparent. Et puis il faut s'organiser ; potager, vaisselle, budget. Heureusement Guy est là avec ses tableaux, ses plannings, son « organivioc »

Sans compter Cornélius, l'âne qui rêve d'escapade, les chats et le chien qui ont une vie bien chargée car l'auteure aime donner vie à des animaux très amusant.

Pour savoir qui est Paulette il faut attendre mais qu'elle amusement quand j'ai découvert qui elle était.

Barbara Constantine nous parle d'entraide, d'amitié, d'ouverture d'esprit et de coeur même si parfois on peut trouver cela peut crédible. Cette douceur me plait, elle me rassure car je me dis « et si c'était possible ? » et je fais semblant d'y croire.

Elle aborde aussi d'autre thème plus grave : la mort, la solitude, la séparation mais il n'y a pas de pathos dans tout cela car même dans les plus sombres moments il y a une étincelle.

L'écriture est simple et agréable. Les chapitres sont courts et je les ai fait défiler très rapidement. Ne chercher pas ici une grande écriture, des grands textes. Non, ici le but est de divertir et l'auteure y arrive très bien.

Un petit livre qui m'a donné le sourire et du baume au coeur.

Un coup de coeur

Et puis, Paulette... ce sont les aventures de personnes âgées esseulées qui, grâce à quelques coups de pouce enfantins, se retrouvent à vivre ensemble dans la ferme de l'un d'entre eux. Une résidence de vieux quoi ! Enfin de « viocs », comme ils se plaisent à le dire ! Seulement voilà, arrivé à un certain âge, on a quand même besoin d'un peu d'aide. Alors les « solidarviocs » s'organisent pour accueillir chez eux la jeunesse, et puis, Paulette…
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J'aime beaucoup l'écriture de Barbara Constantine. J'ai tellement ri au cours de ma lecture que ça m'a fait un bien fou. Des personnages originaux, un âne brillant et cocasse, de la bienveillance, de la tolérance, bref, un roman  feel-good comme je les adore.
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Un roman chaleureux et drôle, dans lequel j'ai retrouvé ce ton si particulier qui m'avait déjà convaincue dans A Mélie, sans mélo.
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Ma chronique complète est sur le blog.

Ce livre m'a été offert, je n'en avais pas entendu parler.Quelle très belle surprise, il fait un bien fou. Je l'ai littéralement dévoré en cette période sinistre. Je ne suis pas familière de la littérature feel good, mais je constate avec ce livre qu'on peut faire des oeuvres d'excellente qualité plaisantes avec des personnages attachants et humains.
Je lirai avec plaisir d'autres romans de Barbara Constantine.

Et si on était moins inquiets et moins égoïstes? Et bien on serait moins seuls et peut être plus heureux. C'est une vraie alternative de vie que nous propose l'auteure, transformer les problèmes de société en vie en société... Joli roman, tendresse, partage, un brin utopiste, on adhère ou pas. Moi je le trouve très réussit.

Un petit livre très agréable à lire, drôle et distrayant alors qu'il part d'un thème très triste : la solitude des personnes âgées. C'est une évidence, les "vieux" ou les "viocs" comme ils s'appellent eux-mêmes dans le texte, sont seuls, veufs ou non. Puis au fur et à mesure, cette solitude s'étend à différentes couches des générations, plus discrète, plus cachée mais peut-être encore plus difficile à vivre.

Lire Barbara Constantine c'est entrer dans un univers, doux, généreux, optimiste. Un monde qui pourrait être le notre si ... Si seulement...

Les titres de ses romans sont déjà une histoire à eux seuls. "Allumer le chat", "A Mélie, sans mélo", "Tom, petit Tom, tout petit homme, Tom".

Dans celui-ci, elle réinvente cette société dont nous aurions besoin. Une société transgénérationnelle où chacun donne ce qu'il peut, reçoit ce dont il a besoin. Où on se tient chaud au coeur. Sans doute un peu mièvre et naïf. Pas grave.

En fait, je n'ai pas envie d'en parler. Comme le vieux Ferdinand je vais m'en dispenser puisque ce n'est pas vraiment nécessaire. ET vous encourager à aller faire la connaissance de Ferdinand, Guy, Marcelline, des soeurs Lumière, des deux Lulu, de Muriel et de Kim. Et de Paulette bien sur ...

Si vous avez adoré "Ensemble, c'est tout" d'Anna Gavalda, vous adorez ce livre.
Cette histoire nous livre un bel exemple de solidarité entre différentes générations.
En effet, Ferdinand se sent seul depuis le départ de son fils et sa famille pour la ville.
Toutefois, suite à un orage, le domicile de sa voisine se retrouve sous eau.
Ferdinand propose alors à cette dernière de l'héberger le temps de réparer le toit de son habitation.
Ensuite, Ferdinand accueille son vieil ami qui ne se remet pas du décès de sa femme.
Jusqu'où cela ira-t-il?

Séverine

Ferdinand se retrouve seul lorsque son fils et sa belle-fille quittent son domicile. Depuis, il voit moins ses deux petits enfants. Sa voisine Marceline, vit dans une maison dont le toit s'est effondré et elle n'a pas les moyens de le faire réparer. Alors tout naturellement, et sur une idée de ses deux petits enfants, Ferdinand va lui proposer de partager sa grande maison.
Petit à petit, cette maison va se remplir.
Ferdinand n'est plus seul et même si cela lui pèse de temps en temps, c'est quand même pour lui un grand bonheur.

Ce roman est un hymne à la joie, au partage, à la compassion et à l'empathie. Tout le monde y met du sien. Marceline fournit les légumes de son potager avec l'aide de Kim, Guy répare les vélos, Muriel, future infirmière prend soin d'Hortense, vieille dame très malade et Ferdinand prépare les repas.

C'est un bonheur de se dire que des gens se proposent d'aider ceux qui en ont besoin sans contrepartie. Juste un bon échange de réconfort pour ceux qui sont tristes , malades ou dans une détresse financière.

Belle histoire pleine de tendresse et de bonne humeur, simple et facile à lire, distrayante et attachante : hymne militant pour l'amitié et la solidarité. J'ai passé un très bon moment de lecture.
Ferdinand, vieil homme, vit seul dans sa ferme depuis la mort de sa femme…jusqu'au jour où, par hasard, il découvre que sa voisine a de gros ennuis : son toit, sa maison sont en mauvais état et risquent de s'effondrer : il l'invite spontanément à partager sa ferme avec lui.
Peu à peu, au fil du roman, la ferme se remplit et s'anime avec l'arrivée d'un ami de Ferdinand qui déprime suite à la mort de sa femme, de Muriel une jeune femme étudiante-infirmière, deux vieilles femmes menacées d'expulsion, un étudiant en lycée agricole…et leurs animaux.
Et puis, l'arrivée…ou plutôt la naissance de Paulette…

Dans la série "je m'amuse en lisant" celui ci est vraiment bien aussi. On s'attache aux personnages, à cette belle histoire si humaine et soldaire, on se sent faire partie de leur "famille" ... et le bouquet final .... car on ne peut pas dire ce titre "Et puis Paulette..." nous tient en haleine

Lecture sans prise de tête, agréable et qui nous redonne espoir en notre humanité !!!
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