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Kay Scarpetta lance une nouvelle émission et bien sûr des événements se tissent autour de notre médecin en chef de l'institut médico-légal de New York . Efficace et palpitant. Je recommande ce roman . Je ne suis jamais déçue de l'auteur Patricia Cornwell
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Patricia CORNWELL et son héroïne récurrente le docteur Kay SCARPETTA s'essoufflent au fil des épisodes! On est loin des débuts où les récits toniques mêlant des intrigues attrayantes et un suspense insoutenable se terminaient par un final ébouriffant. Dans cet opus on retrouve des personnages empêtrés dans des problèmes psychologiques de plus en plus complexes. L'auteur nous offre également des retours en arrière pour insérer de nouveaux personnages qui justifient (hélas très peu) cette toute petite intrigue. Deux points également qui alourdissent le récit et contribuent à le rendre fatigant à lire tout d'abord la multiplication de personnages mineurs (on a du mal à retenir le rôle de chacun) mais aussi et surtout cette méthode horripilante de construire des paragraphes entiers ou un personnage développe un raisonnement ou fait des recherches sur un thèmes particulier et ce fil conducteur se trouve imbriqué dans un dialogue entre deux autres intervenants qui parlent de tout autre chose contribuant ainsi à casser le (petit) rythme du récit!
En résumé un roman qui, à mon point de vue, mérite le détour, un large détour pour éviter de le lire.
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Je suis une fan de la première heure de P Cornwell, les derniers m'avaient pas mal déçue ! Celui ci remonte le niveau de ses derniers à mon gout ! L'intrigue est effectivement assez longue à démarrer, mais j'ai aimé les retours dans le passée et voir les personnages principaux confrontés à leurs démons. On y retrouve une Scarpetta plus fragile en gros dans l'ensemble j'ai aimé. Un bemol tout de même j'ai trouvé la fin légèrement bâclé !
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Dans ce roman, Kay Scarpetta travaille maintenant à New York. En plus de ses compétences de médecin expert au sein de l'institut médico-légal, elle est consultante en sciences médico-légales pour CNN.
Quant à son acolyte de toujours, Pete Marino, il est devenu enquêteur pour la la police de New York, rattaché au procureur général.

Par son style particulier Patricia Cornwell plonge le lecteur directement dans l'action. Les explications sont distillées ça et là telles des petites cailloux. le lecteur avisé parvient à saisir les enjeux dès la première lecture; celui qu découvre peine et se sent perdu dans les longs chapitres.
Le vocabulaire est précis, choisi avec soin : la traduction a dû être particulièrement ardue. Mais on est loin des descriptions des autopsies des premiers romans.
Si j'aime relire cette collection Kay Scarpetta, ce roman n'est pas mon préféré. Il conclut péniblement une affaire qui s'est éternisée sur plusieurs romans et plusieurs années. L'inspiration s'essouffle.
Toujours aussi fine cuisinière, l'auteur nous invite , pour le final, à un bon repas de famille. J'y vois une invitation à la digestion de la saga française des Chandonne.
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Un roman très décevant.

C'était un roman bien long pour une intrigue policière bien fine.

La moitié du roman concerne les relations des personnages entre eux. Ça peut être intéressant, ça peut apporter de la densité à l'intrigue, mais dans ce cas-ci, ça a étouffé toute l'histoire.En plus, il y a beaucoup (trop) d'allusions aux romans précédents. Des allusions vagues et sans intérêt pour l'intrigue actuelle. C'est frustrant et agaçant quand on ne les a pas lus.

Un quart du roman n'est que redondances. On suit 5 personnages qui enquêtent et on a le fruit de leurs réflexions. Il y a nécessairement des moments où l'auteur se paraphrase. Près de 700 pages en version poche pour une intrigue qui n'avance pas, c'est déjà pénible. Quand l'auteur se répète on frole l'insupportable.

IL reste une intrigue policière.

Pas très dense.

Pas très palpitante.

Et surtout pas du tout conclue. Qui a commandité l'envoi de le carte et de la bombe? Pourquoi? Que venait faire Agee là-dedans? Que s'est-il passé ce fameux soir? Et que venait faire l'étude concernant le biograph là-dedans? Un simple hasard?

Ls quelques réponses qu'on a sont balancées en 3 pages, dans un chapitre d'une quinzaine de pages totalement hors-sujet ...

J'avais adoré les premiers Cornwell, mais la dame a perdu la main.

Il y a suffisament de très beaux auteurs de policiers pour que dorénavant je passe mon chemin.
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Patricia Cornwell n'est plus une débutante. On ne compte presque plus les aventures de Kay Scarpetta qui pourtant ont eu du mal à trouver preneur chez les éditeurs au tout début.
Savez-vous que "Postmortem" avait été refusé à sept reprises ?! Et que dire de sa vie personnelle qui n'est pas un long fleuve tranquille si l'on en croit ce que l'on peut lire sur la Toile. .. Il n'est donc pas étonnant de retrouvé un peu de tout cela dans ses romans et plus particulièrement dans la saga Kay Scarpetta. Les écrivains mettent toujours beaucoup d'eux-mêmes dans leurs livres, de manière consciente ou non d'ailleurs.
Patricia Cornwell a même avoué que si son personnage, Kay, est plus intelligente qu'elle (Patricia l'a déclaré elle-même), il y a quand même des parts d'elle-même dans cette femme médecin légiste.
C'est certainement ce que l'on apprécie dans cette saga, née bien avant l'engouement pour les séries télévisées mettant en scène des scientifiques, des légistes, des petits génies de laboratoire comme dans "Les Experts". Il y a aussi ce côté humain qui fait que l'on n'est pas simplement face à une morgue, une enquête et des analyses froides des indices. Il y a de la vie dans toute cette barbarie urbaine et humaine.

On se demande parfois où l'auteur va chercher toutes ses références et si tout est véridique, mais oui, ça l'est. Elle l'a encore confirmé lors de son passage début avril 2011 sur le plateau télévisé de "La grande librairie" (émission littéraire sur France 5 que je ne rate jamais !). Comme quoi la fiction est souvent largement battue par la réalité. J'avoue que personnellement, cela me glace les sangs de savoir que justement ce n'est point du chiqué ! Brrrrrrrr

Les réfractaires aux smartphones, vous pourrez lire quelques passages bien sentis dans cet "épisode" : les touches trop petites quand on ne porte pas ses lunettes de lecture, les mot de passe qu'il faut taper toutes les 10 minutes si l'on veut sécuriser ses données, la possibilité de vous "tracer" partout , bref de faire tout autre chose que téléphoner en somme ! A bon entendeur….

Pour le reste, le début de cet opus est aussi sombre que l'annonce son titre. On a droit à un tableau pas très reluisant et hélas véridique :
- pauvreté et mort = enterrement dans une fosse commune (de plus en plus fréquent)
- triangle morbide = trois lieux décrits comme n'offrant que peu de perspectives réjouissantes même en cette période de fêtes de fin d'année.
- repas de Scarpetta = sur le pouce, indigeste, immangeable en réalité car sans goût, sans qualité autre que nourrir un organisme et encore pas de manière satisfaisante.
- amoncellement des tâches = les morts trop nombreux dont des indigents sans le moindre sous (retour vers la misère, la pauvreté. La boucle est bouclée).

Cependant, on n'aura pas lu trois pages que nous serons déjà dans le concret (encore plus comme si cela était possible), dans le lancement de la première affaire.
"L'instinct du mal" en comptera au moins deux principales. Ensuite nous aurons droit à tout ce qui touche les personnages récurrents de la saga.
Ces derniers évoluent au fil des romans. Leurs liens se complexifient, ils prennent de l'âge, changent, ne voient plus les choses avec les mêmes yeux… C'est un peu comme dans les séries où vous avez l'enquête ou les affaires qui occupent les protagonistes et en toile de fond, leurs histoires à eux. Pour cela, les ouvrages de Patricia Cornwell sont parfaits.
J'ai trouvé d'ailleurs pour ce tome que l'accent était bien mis sur les états d'âmes de chacun, les deux affaires criminelles étant presque secondaires.

Je ne suis pas une experte de la plume de Patricia Cornwell. Je n'ai pas lu tous ses écrits (désolée). Ce n'est pas un passage obligé et l'on peut très bien lire indépendamment les divers opus, même si le fait de tout connaître doit ouvrir quelques perspectives intéressantes. C'est là encore un peu comme un épisode de série TV qui peut se visionner seul ou dans la globalité de sa saga.

J'ai apprécié ma lecture, même si je ne suis pas restée "scotchée". Il manquait un je ne sais quoi, peut-être un rythme plus soutenu, une écriture un peu moins décousue et qui se perd dans des détails sans grande importance (normal ce sont des détails, mais parfois, ils sont essentiels pour dénouer les noeuds des intrigues).
C'est plaisant (enfin oui pas désagréable à lire quoi), mais ce n'est assurément pas le meilleur de Patricia Cornwell (que j'ai lu).
A découvrir en l'empruntant en bibliothèque ou alors en version de poche.

Lien : http://espace-temps-libre.bl..
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Beaucoup d'actions dans ce dix-septième roman de Scarpetta ! Une folle furieuse, suivie par Benton, cherche à s'en prendre à Kay, tandis que la disparition d'une milliardaire et un meurtre perpétré dans un parc semblent des affaires connexes pour Berger et Marino. Un bon roman policier dont l'enquête est bien alambiquée et nous ramène à de vieux démons.

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Kay Scarpetta résout toujours des cas compliqués, c'est vrai... Mais cette fois-ci, le cas est étrange, le corps mis en scène pour ressembler à un meurtre de hasard alors qu'il n'en est rien. Et son mari a une patiente bizarre, et sa nièce a une rancune personnelle contre une disparue dont elle étudie le cas... Bref, dans la famille Scarpetta, on mélange allègrement travail et vie privée, surtout quand les suspects commencent à envoyer des colis piégés.
Et au passage, on découvre l'atmosphère pesante de New York en récession (Noël 2008) , et les méthodes pas toujours nettes des journalistes en mal de scoops. le polar comme critique sociale n'est pas la première définition des romans de Patricia Cornwell, mais les réactions de quelques flics face aux richesses de leurs concitoyens y participent. Bref, un bon policier à lire sans tarder.
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Enfin on retrouve "presque" le Docteur Scarpetta. "Presque" car en effet les précédants épisodes ont laissés des traces sur les personnages ("l'agression" de Marino sur Scarpetta, la disparition volontaire de Benton,....)
Cependant, on retrouve le côté médecine légale (pas assez à mon goût) et scientifique, la traque informatique par Lucy,....
De plus, Patricia Cornwell a su faire apparaître le 11 Septembre de façon construtive (pas à l'américaine : larmoyant et exubérant...) ainsi que la crise économique.
Les fans (comme moi) devraient se réjouir du "preque" retour au début du Docteur Scarpetta...
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J'ai bien aimé, attaché que je suis aux différents personnages (certains un peu complexes, avouons-le, pour ne pas dire tous - je parle des principaux habitués bien entendu : Lucy, Marino, Benton, Scarpetta aussi d'ailleurs !) mais bon sang que de détails et que de longueurs inutiles ! Je me suis parois un peu ennuyé je l'avoue. On aurait pu aisément supprimer 150 à 200 pages sans nuire à l'intrigue.
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