AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,32

sur 55 notes
5
27 avis
4
8 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
0 avis
Je remercie Éric Costa pour m'avoir fait découvrir une belle histoire ainsi que pour sa confiance.

Nous suivons Ameyal, une jeune adolescente qui perd tout ce qu'elle possède après une attaque d'Aztèques qui ont ravagé son village. Malgré son jeune âge au moment des faits, elle fera preuve de courage, de force et de détermination. Elle sera faite esclave et devra faire face à de nombreuses épreuves difficiles. 

Nous sommes directement plongés dans un environnement déroutant très loin de notre époque. J'ai apprécié le réalisme de l'histoire, l'auteur a su faire en sorte qu'on soit totalement immergé au temps des Aztèques avec l'aide de décors et de vocabulaires spécifiques qui ont surement dû nécessité beaucoup de recherches. Il y a de nombreux rebondissements qui sont très bien amenés au cours du récit, ce qui rend le livre très prenant. Il y a des passages qui nous font ressentir du stress, de la frustration et de l'angoisse parce qu'on est vraiment aux côtés des personnages, on a une approche particulière. Il n'y a pas de personnage invincible, ce sont des personnages qui semblent avoir réellement existé parce qu'ils ont tous leur personnalité. Personnellement, j'ai trouvé que les événements étaient complètement imprévisibles, je me suis laissé emporter par ma lecture sans jamais savoir en avance ce qui se passerait. Les passages du récit où il y a de la violence sont maîtrisés, ainsi, l'auteur n'est jamais tombé dans l'excès et cela ne dérange pas la lecture.

J'ai beaucoup aimé les attentions d'Éric Costa pour le lexique, la galerie des personnages, le panthéon et la bibliographie. le lecteur peut se référer à ses informations s'il se sent perdu où tout simplement, au début de la lecture, pour prendre ses marques avec le vocabulaire et les personnages. L'histoire se lit rapidement, l'écriture est fluide et intense, la mise en page est très aérée. le rythme du récit est soutenu, on reste dans le suspens tout au long de la lecture.

En bref :

Un livre passionnant sur une civilisation que l'on côtoie très peu habituellement. Un beau travail de l'auteur qui a su me convaincre de lire la suite de son oeuvre avec enthousiasme ! 
Lien : http://leslecturesdenighttec..
Commenter  J’apprécie          12
Bon ! Je vous avouerai qu'avec ce premier tome je reste sur ma faim.

Je m'attendais à en voir/lire un peu plus sur la civilisation aztèque que le lexique en fin d'ouvrage, mais n'oublions pas ce n'est que le premier tome.

Le personnage Ameyal est assez… Elle est naïve mais sait qu'il faut se battre pour en sortir. Et pour s'en sortir elle se jette dans la gueule du loup. Mais parviendra t'elle à s'extirper de ses pièges tendus ?

Oui ! Je dis bien pièges car est là un des gros points forts de ce livre. L'auteur nous embarque dans des complots où s'associent trahison, meurtre et autres embrouilles. L'histoire est rocambolesque, comment notre héroïne fait-elle pour en arriver là. Au mauvais endroit au mauvais moment ? de mauvais choix ?

Le rythme du livre se fait par de gros chapitres, obligé d'en finir un pour prendre une pause.

Malgré l'époque lointaine, nous arrivons à nous faire une idée des personnages, du harem et de son environnement. Eric Costa nous offre un descriptif de cet univers de façon à y vivre avec Ameyal, les concubines et les épouses.

La lecture est douce, pas de heurt, ça glisse tout seul, même les événements ne nous font pas bondir, on les voit arriver et on trouve ça naturel.

C'était un bonne lecture, j'attends donc le tome 2 pour m'en mettre un peu plus sous la dent.
Lien : http://www.prose-cafe.fr/leb..
Commenter  J’apprécie          10
Merci à Eric Costa pour m'avoir confié son roman.


Nous sommes avec Ameyal, qui à vécu l'attaque de son village sous ses propres yeux ainsi que la mort de personnes proches. Elle se retrouve vendue comme esclave dans un Harem, et elle n'a qu'une seule idée en tête : sortir !


Que dire de ce livre a part qu'il est juste génial ? 301 pages ? C'est limite trop court ! Si vous l'avez dans votre PAL, remontez vite ce livre de votre pile pour pouvoir le lire rapidement et se préparer pour une aventure pleine de rebondissements. Nous sommes en plein coeur de la civilisation aztèque et ce roman s'en rapproche énormément (En même temps, c'est le thème !), fascinant comme effrayant, l'auteur arrive à nous donner des frissons quand on tourne nos pages ! (ou alors c'est des courants d'air...) Je tiens à ...
Lien : https://egideofbooks.blogspo..
Commenter  J’apprécie          10
Coup de coeur ! Passionnant, envoûtant, bluffant, addictif…

Je remercie Éric Costa pour l'envoi de ce Service Presse. Lire « Aztèques Saison I Harem » c'est plonger dans le passé et remonter le temps, se retrouver au XVème siècle au moment de l'apogée du peuple aztèque.

Dès le début, nous faisons la connaissance d'Ameyal, une toute jeune fille de 13 ans, qui en tant que fille de chef est destinée à devenir prêtresse, ce qu'elle refuse. Ce qu'elle veut, c'est devenir chef. C'est son tonalli [destin]. Malheureusement son village est attaqué par des pillards Aztèques et elle se retrouve prisonnière puis vendue comme esclave de harem. Ameyal n'a qu'une idée : retrouver sa liberté, se venger de ces Aztèques qui ont exterminé son village et ses habitant et elle va mettre tout en oeuvre pour y parvenir.

Avec Ameyal, Éric Costa nous offre un personnage de femme fascinant. Ameyal a des yeux verts couleur du jade “qui lui viennent de l'océan” d'après son père. Pour le devin Collier d'étoiles, les Anciens ont parlé : elle est la fille de l'Aigle. « [S]on tonalli est digne d'une reine. L'esclavage n'est qu'un passage. » Et Ameyal est indomptable, son courage est hallucinant. le harem est un véritable noeud de serpents, les rivalités entre épouses et concubines sont mortelles, les ambitions fatales, les intrigues meurtrières. Mais rien ne peut venir à bout d'Ameyal et elle se l'est promis, elle les écrasera tous et toutes…

La civilisation aztèque est aussi fascinante que terrifiante et on sent que l'auteur connaît son sujet. À la fin du livre, nous trouvons un lexique très utile ainsi qu'une galerie des personnages très instructive. Nous découvrons ainsi que les prénoms des différents personnages n'ont pas été attribués au hasard. Si Ameyal signifie printemps, Amocualli veut dire mauvais : c'est le nom du chef de la garde du palais qui est une véritable brute sans honneur. Je n'en dirai pas davantage, il vous faudra vous procurer le livre pour découvrir le sens des autres prénoms.

Éric Costa sait nous captiver dès la première page. Ses descriptions sont documentées et d'un réalisme saisissant. Il m'a totalement embarquée dans l'intrigue et je n'ai pas arrêté de trembler pour Ameyal à qui je me suis attachée. Pour un peu, elle m'aurait fait avoir des cheveux blancs ! La prison est vraiment un moindre mal chez les Aztèques et ils ne manquaient pas d'imagination pour punir des esclaves, concubines ou épouses prises en flagrant délit de désobéissance : supplice des piments, langue coupée, lapidation…

Quant à la fin, l'auteur nous laisse sur une question inquiétante et j'avoue attendre avec impatience le mois d'octobre pour découvrir comment Ameyal va pouvoir se sortir de là sans encombre.

Lien : http://au-pays-de-goewin.ove..
Commenter  J’apprécie          10
Quel dépaysement qu'est celui que procure ce premier épisode... Bien loin des cadres habituels, Ameyal nous emporte littéralement au coeur du Mexique précolombien. Les descriptions, tant de l'environnement que des scènes d'action placent le lecteur au premier plan des évènements : il s'indigne, il espère et il souffre en même temps que la jeune vendue. L'introduction à la croyance, aux coutumes, et même l'utilisation de mots étrangers confortent cet univers précisément dépeint (pas de craintes à ce niveau, l'auteur a pensé à introduire un lexique, un panthéon et une galerie des personnages à son ouvrage). Si les recherches menées par l'auteur lui permettent une justesse et une maitrise certaine de son sujet, ces dernières sont clairement portées par une écriture vraiment très agréable. Ni trop simple, ni hors d'atteinte, elle oscille entre réalité cruelle et touches poétiques. Alternant descriptions opportunes (parfois très dures) et péripéties, le devenir d'Ameyal laisse le lecteur à bout de souffle après avoir reposé le livre. La dernière phrase m'a fait l'effet d'une gifle tant j'espère pour l'héroïne à laquelle je me suis irrémédiablement attachée. Les personnages, hauts en couleur et pour le moins imprévisibles, agissent « normalement » et c'est franchement plaisant. Izel m'a frustrée. Amocualli m'a révoltée. Coatzin et Quinametli m'ont donné la chair de poule. Chimalli et Macoa apportent leur lueur d'espoir. Ameyal enfin, est avant tout une jeune fille de 13 ans, parfois irréfléchie mais surtout impulsive ; tout ne lui tombe pas tout cuit dans les mains. Ses décisions ont toujours une répercussion, certaines de ses actions réussissent, d'autres échouent... Ce réalisme est l'un des points forts du roman. Un autre « bonus » mérite à mon sens d'être salué : j'ai l'impression, encore plus tenace au lendemain de la lecture, que chaque détail a été mûrement réfléchi. Les prénoms des personnages semblent à eux-seuls définir le personnage qu'ils représentent. Les titres des différents chapitres se parent de leur vraie couleur après les avoir lus, comme si ce n'était qu'après la lecture qu'ils prenaient leur sens. Je pense notamment au chapitre 4 « Celles que l'on a oubliées » qui, quand il s'est fait l'écho du récit, est parvenu à me faire frémir. le tout donne une impression de minutie qui ajoute de la crédibilité à l'histoire. Je m'arrêterai ici, dans la crainte principale d'en dévoiler trop si je continuais de m'exprimer sur ce livre qui mérite plus qu'un simple avis.
Lien : https://bookpearl.blogspot.f..
Commenter  J’apprécie          10
Une plume fluide couplée à un récit addictif

Par quoi commencer ? Déjà, j'ai failli mettre 5 étoiles à ce roman, pourquoi je ne l'ai pas fait ? Parce que ce serait dire qu'il est déjà presque parfait alors que je suis sûre qu'il aurait pu être encore meilleur !
Je ne dis pas qu'il est moyen ou juste bon, bien au contraire, mais vu la qualité de la plume et la maitrise de l'auteur, j'ai été surprise que certains passages ne soient pas assez approfondis. Nous avons à peine le temps de nous imprégner d'une scène, que nous voilà projetés dans une autre ! Au moins, le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer avec un rythme pareil et une action si soutenue...
Mais j'aurais voulu que l'auteur aille plus en profondeur, et décrive encore plus le tout même si c'est déjà fait un minimum bien entendu.

Malgré ce petit détail, j'ai tout de même bien réussi à m'immerger dans l'univers de ce roman qui m'a particulièrement plu. En temps normal je déteste tout ce qui se rapproche de près ou de loin de la fantasy, mais là une fois encore, le talent de l'auteur m'a fait oublier mes appréhensions et m'a permis de plonger toute entière dans son récit. Que c'est agréable de redécouvrir le genre !

Il faut dire que l'auteur a vraiment une plume fluide et agréable à lire, elle emporte le lecteur dans son univers dès la première page. de plus, il nous propose là une intrigue addictive et donc très prenante, même s'il ne s'agit pas du tout d'un thriller, il réussit à nous tenir en haleine jusqu'aux toutes dernières pages de son roman, et j'adore ça !


de rebondissements en manigances

Nous faisons donc connaissance d'Ameyal, jeune fille qui vient d'être réduite à l'état d'esclave suite au massacre de son village par des Aztèques. Mais la jeune fille ne compte pas se laisser faire entre fuites et manigances, elle va se démener pour se sortir de cette situation de prime abord inextricable. Malheureusement, tout ne se passera pas forcément comme prévu. Les trahisons, la jalousie et le pouvoir seront ses pires cauchemars.

C'est donc un roman plein d'intrigues et de rebondissements que nous offre l'auteur.
Le récit commence d'ailleurs sur les chapeaux de roues, en effet, le début entre directement dans le vif du sujet avec une action à nous couper le souffle, ce qui ne donne pas du tout envie de lâcher sa lecture, bien au contraire. Certes, il commence par une scène violente, mais à mon goût, c'est la pire et la seule qui dure aussi longtemps donc ceux qui peuvent être réfractaires à ce genre de passages peuvent d'ores et déjà être rassurés. La suite sera moins virulente, mais continuera néanmoins de jouer avec votre petit coeur.

Le plus déroutant pour moi finalement a été l'âge de la protagoniste, Ameyal, car j'ai été étonnée d'aimer autant une histoire dont la personnage principale est aussi jeune (13 ans). Elle est attachante, courageuse, parfois trop impulsive et un brin irréfléchie, mais c'est justement ce qui fait tout son charme et son réalisme. On s'attache également à certains personnages secondaires tout comme on en déteste d'autres.
En bref, nous avons ici tout ce qu'il faut pour passer un excellent moment de lecture. Et même plus, c'est une histoire qui reste en tête, on y pense encore alors que la lecture est déjà finie depuis un moment.


En résumé,

Un premier tome plus que prometteur qui laisse présager une suite haute en couleur ! Il est certain que je lirai la suite !
Lien : http://www.lesperlesdekerry...
Commenter  J’apprécie          10
Avec "Harem", un livre auto-édité, je renouvelais le petit défi que j'avais lancé à Frédéric Clementz lorsqu'il avait sorti "Le Serment du passeur", lui aussi déclaré "lauréat du Jury Amazon Kindle".

L'histoire n'est pas spécifiquement originale puisqu'elle raconte les aventures d'une jeune princesse d'un village mis à sac tandis qu'elle est vendue comme esclave dans la maison du Suzerain de la capitale. Entre intrigues, tentatives d'assassinat et vie de misère, elle tente donc de retrouver sa liberté. Là où beaucoup d'auteurs feraient un flop magistral, Eric Costa sort son épingle du jeu avec une écriture très maîtrisée, un sens de l'intrigue poussé et un rythme qui ne permet pas de s'arrêter dès qu'on a ouvert le livre.

De plus il a prit le risque gigantesque de planter le décor rien de moins qu'en période Aztèque ! A ce titre cependant, bien que le livre soit très bien documenté et qu'il ait fait tout son possible pour nous fournir le maximum d'informations sur cette civilisation au travers d'annexes, je regrette qu'il n'ait pas poussé plus loin l'exotisme dans son texte car, au final, à part les noms des villes et des personnages, l'histoire aurait pu se passer dans n'importe quel pays oriental, les personnages auraient aussi bien pu être perses et vivre à une époque plus récente sans qu'on sente vraiment la différence.

Il faut dire à la décharge de l'auteur que "Harem" n'est que le premier tome de la série "Aztèques" et que l'histoire ne fait que commencer. On subodore que l'héroïne (particulièrement têtue ou insouciante c'est selon) ne va pas rester éternellement esclave et que la vengeance n'est pas loin.

Pour résumer, "Harem" est une très bonne découverte que je vous enjoins de lire sans tarder. Je ne lui mettrai que quatre étoiles cependant car ce premier tome me donne une petite impression de démarrage et je souhaite attendre le prochain pour "tester la vitesse de croisière".


Lien : http://lesnouvellesplumes.ovh
Commenter  J’apprécie          10
Je neconnaissais pas l auteur
je n avais jamais lu de livres sur les azteques
Je ne regrette rien bien au contraire.
l histoire est palpitante ecrite par un auteur convaincu et convaincant.
les descriptions sont precises et ciselees.
je recommande sans hésitation et l auteur et le livre
Merci pour ces moments de lecture
Commenter  J’apprécie          00
Vous devez savoir que je suis un fan de lecture historique avec des héroïnes fortes et rebelles. Je peux vous dire que dans ce roman j'ai été servi. Côté histoire, l'auteur a choisi l'époque précolombienne pour son roman. Je suis déjà de base très admiratif de cette époque et féru des mythes sur les peuples aztèques, maya, incas … je ne pouvais donc que adhérer à ce choix. Mais la grande force de Eric Costa est toutes les recherches qu'il a du mener avant d'écrire son roman. Car, ce n'est pas juste une histoire, c'est avant tout un véritable roman historique, qui nous en apprend beaucoup sur la culture aztèque, les moeurs et la vie à cette époque. Cela va jusqu'au nom des personnages et de certaines choses. Donc oui, nous sommes dans un roman, mais une fois ce livre fermé, nous avons appris des choses, et cela moi, j'adore. En plus, Eric Costa, à la fin de son livre, propose un lexique, une galerie des personnages et nous en dit plus sur les dieux évoqués à travers les pages dans un panthéon aztèque.

En plus de son côté historique, Aztèques a une intrigue comme je les aimes. Tout commence par une catastrophe qui touche notre héroïne. C'est à partir de là que tout s'emballe et que Ameyal, la jeune villageoise va petit à petit devenir une femme forte et rebelle à travers toutes les épreuves qu'elle va traverser. Et ce n'est que le tome un, alors cela promet du lourd par la suite, parce que la pauvre elle a vécue des choses inimaginables. Comme son nom l'indique, l'histoire se déroule dans un harem, donc pour les connaisseurs une sorte de huis-clos avec des secrets, des mystères, des intrigues et où l'on ne peut faire confiance qu'à sois même. J'ai déjà lu des romans se déroulant dans ce genre d'endroits, mais pour le coup, celui-ci est vraiment bien détaillé et l'histoire se passe quasiment exclusivement à l'intérieur de ce harem.

Bref, j'ai eu un véritable coup de coeur pour ce premier tome à l'histoire addictive et avec lequel, j'ai voyagé dans le temps. Ce n'est vraiment pas étonnant que Eric Costa a reçu le prix du jury Amazon Kindle lors du salon du livre Paris 2017. J'ai hâte de découvrir la suite et de me replonger aux côtés de Ameyal.
Lien : https://readlookhear.wordpre..
Commenter  J’apprécie          00
Salut à tous aujourd'hui je vais vous parler de Aztèques : Harem que @ericcosta33 m'a envoyé et qui parle de Ameyal qui va être vendu comme esclave dans un harem , des femmes vont se servirent d'elle et qui vont jouer avec sa vie , la mort peut frapper derrière chaque porte mais une seule question reste : Qui peut retenir la fille de l'aigle ?
Mon avis : J'ai bien aimé l'histoire malgré beaucoup de mots compliqué . J'ai vite lu le livre car on est plongé dans l'histoire à chaque page . J'ai trouvé qu'il y'avait beaucoup de suspense . J'ai juste trouve que les chapitres était un peu long mais je vous conseille beaucoup ce livre !!
Prix : 11,99€
Note: 🌟🌟🌟🌟/5
Page: 250
Et vous l'avez lu ?
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (113) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Réalités invisibles" d'Eric Costa.

Dans la nouvelle "Hôtel Wolff", quelle date est inscrite sur le calendrier à l'accueil de l'hôtel ?

1954
1964
1974
1984
1994

12 questions
1 lecteurs ont répondu
Thème : Réalités invisibles de Eric CostaCréer un quiz sur ce livre

{* *}