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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
2018, dans une somptueuse villa toute de verre construite - du moins les murs - à proximité de Rome. Margherita y est embauchée comme gouvernante de jumelles de dix ans, Livinia et Lucrezia, dans un cadre qui paraît franchement idéal pour une jeune femme qui hésite encore quant à une poursuite d'études en médecine. Mais ce cadre devient de plus en plus étrange, ce que nous découvrons au fil du journal que Margherita tient durant son séjour, ce qui la fera partir brutalement une certaine nuit et la décidera à écrire ce journal - ce que nous découvrons dès les premières pages.

D'enchâssement en enchâssement - ce qui est à mon sens le seul élément qui peut faire penser, de loin, à un roman gothique -, nous découvrirons que l'histoire de la maison de verre n'est pas celle à laquelle l'on s'attend, Roberto Cotroneo instillant intelligemment des révélations surprenantes jusqu'à la fin de son roman, sans que cela ne paraisse à aucun moment incohérent, mais sans que cela ne soit pour autant d'une grande originalité, finalement.

De fait, j'ai apprécié lire ce bref roman, bien mené dans son genre, mais je ne pense pas en garder un grand souvenir pour autant.

Je remercie les éditions Buchet-Chastel et NetGalley de m'avoir permis la découverte de ce roman.
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Alors que je ne suis pas adepte de l'univers surnaturel, j'ai trouvé ce livre très intéressant et aussi très astucieux dans sa rédaction .

Dès le début , on a une promesse de mystère et de secret, avec des personnages hauts en couleurs, un couple de l'aristocratie italienne avec leur filles jumelles et leurs employés, mais sa rédaction peut agacer, car elle est répétée à plusieurs reprises.

Et bien, on verra les choses d'une autre façon lors du dénouement .

un bon livre, comme, je le découvre progressivement, beaucoup de parutions de l'éditeur Buchet Chastel
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Roman parfait à lire en cette saison où la nuit tombe plus tôt, et où les plaids sont de sortie. Imaginez une maison entièrement conçue en verre, une maison où tout le monde vous voit et où vous voyez tout le monde. Aucune intimité, aucun jardin secret… Marguerita B est embauchée pour s'occuper de jumelles entre juillet et août 2018. Adorables, elles possèdent chacune un don particulier : Lavinia pour l'équitation, Lucretia pour le piano. Quelques personnes gravitent autour de ce trio. Gaetano le jardinier qui aime travailler la nuit, Giulia la secrétaire particulière, Alessandra la mère au comportement très fluctuant et Umberto le père rarement présent. Rapidement, le temps semble s'arrêter, le rythme des journées est très répétitif. « Ainsi fonctionne notre temps, le temps qui s'écoule pendant que nous vivons : ce qui est là juste avant, n'est plus là juste après. Mais l'avant et l'après ne sont rien, à ces instants précis. Ils n'existent pas. » Certains mystères s'épaississent quand d'étranges silhouettes surgissent dans le jardin près de la statue d'Hécate, déesse des carrefours et de la nouvelle lune qui symbolise la mort ou la renaissance. Elle est d'ailleurs également connue sous le nom de déesse des enfers, protégée d'Hadès.

Récit troublant, où l'angoisse monte crescendo, « La maison de verre » est un roman d'ambiance avant tout, à condition de laisser l'auteur vous emmener dans son univers, un monde où l'étrangeté, l'inexplicable, et l'angoisse latente peuvent surgir à tout moment. D'ailleurs, lorsque Marguerita est engagée, elle doit promettre de ne jamais révéler ce dont elle pourrait être témoin. Un seul mot m'est alors venu à l'esprit : fuis ! En se promenant dans le parc, Marguerita découvre le temple romain et la statue grecque. À partir de là, tout change pour elle. Certaines frontières entre le réel et le monde des esprits s'amenuisent. Les jolies jumelles deviennent très inquiétantes, les parents sombres, les employés oppressants…

« La maison de verre » flirte entre le monde du visible et de l'invisible, touche du doigt et la folie, et le surnaturel tout en faisant monter le suspense crescendo par une terreur intrinsèque. Roberto Cotroneo parvient à faire d'un été tout à fait calme, écrasé de chaleur, qui provoque un état un peu léthargique parfois, un moment de tension fiévreux où le lecteur s'attend à voir surgir des évènements paranormaux à chaque page. Résolument psychologique et raconté sous la forme d'un témoignage, « La maison de verre » touche à nos peurs inexplicables très enfantines, mais aussi à nos terreurs d'adultes, celles qui vous font inconsidérément regarder sous le lit avant de nous coucher. J'ai beaucoup aimé le regard qui change et évolue de Marguerita sur la famille qui l'emploie, pour des raisons que je ne peux évidemment pas révéler. La maison, personnage à part entière, est à la fois le témoin de ce qui se passe derrière ses murs en verre, mais aussi l'actrice d'une certaine psychose qui naît petit à petit entre les êtres. Méfiance, soupçons, paranoïa, chaque parole et chaque geste prend des proportions disproportionnées. Un dernier petit mot sur la fin que j'ai vraiment trouvée très réussie et franchement flippante.

Si vous aimez ce genre de roman un peu singulier, générateur d'une vraie atmosphère qui progresse d'un simple pressentiment vers une dimension plus psychologique et empreinte de terreur, allez-y.

Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Une maison de verre, une statue intrigante, des apparitions étranges, des secrets gardés… Et au milieu de tout ça une jeune femme qui cherche à comprendre ce qui se passe. Un roman italien qui nous offre une adaptation moderne des romans gothiques.

La maison de verre” est un roman étonnant qui nécessite une concentration optimale. Pas parce que le texte est difficile d'accès ou ce genre de chose, mais pour ne pas passer à côté de tous les indices donnés par l'auteur. J'avoue ne pas m'être attendue à la fin offerte par l'auteur. J'ai même eu besoin de relire le prologue qui m'avait conduite dans une direction. Il est tellement facile de se faire avoir. Un roman très court (environ 150 pages) qui vous plonge dans une maison spéciale, proche de Rome, entre mythe et réalité. Des bizarreries qui peuvent paraître déroutantes mais qui sont cruciales dans l'intrigue.

Une adaptation moderne du roman gothique
Les codes : l'importance du passé qui vient hanter le présent, le lieu sombre et effrayant (vieux château par exemple), les récits enchâssés et les personnages emblématiques du genre. Roberto Cotroneo s'amuse à reprendre tous ces codes dans “la maison de verre” mais les réadapte.
Le lieu sombre devient une maison de verre. Ça peut paraître être un détail mais imaginez vivre dans une maison où tous les murs sont en verre. Il y a quelque chose de très angoissant dans cette idée : aucune intimité possible, on peut certes observer à loisir mais être scruté en retour etc.
Le reste est également présent de manière subtil : les récits enchâssés avec ce prologue où une personne écrit à quelqu'un “de confiance” et la réponse à la fin du récit qui vient faire la lumière sur tout ça. Les personnages emblématiques sont également là, à leur manière. Et le passé qui vient hanter le présent est expliqué d'une manière très originale. Je n'en dis pas plus car il est tout l'enjeu de ce roman (mais très bonne idée.)

Tromper le lecteur
Je suis tombée à pieds joints dans tous les pièges que l'auteur a mis sur ma route. Ce qui m'a quelque peu déstabilisée. Je ne comprenais pas tout ce qui se passait et la fin m'a intriguée. Mais en y repensant et en relisant le début et la fin tout est devenu limpide. Une excellente idée.

C'est là qu'est la grande force de “la maison de verre”. Serez-vous faire la distinction entre réalité et mythe ?

Le conseil de la bibliothécaire : Difficile de conseiller “la maison de verre”. Il pourrait convenir à ceux qui aiment les livres à suspens, les romans gothiques ou les huis-clos. A tous ceux qui aiment être étonnés. Au contraire, je ne le conseillerai sans doute pas aux amateurs de fantasy horrifique. Si vous aimez les romans gothiques, vous pouvez essayer : le château des Trompe-l'oeil. Et si vous aimez être surpris de cette manière, je peux vous conseiller : La Gueule-du-loup.
Lien : https://journaldunebibliothe..
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Été 2018, près de Rome. Margherita voit une petite annonce de recherche de gouvernante pour deux jumelles. Elle accepte et tient un journal pendant les quelques semaines où elle reste au service de la famille. La mère, Alessandra, est jolie et mystérieuse, sujette à de brusques accès de mélancolie, tandis que le père Umberto est ouvert, charmeur et rarement présent. Les petites Lavinia et Lucrezia sont délicieuses et dotées de don surprenant (l'une joue magistralement du piano, l'autre monte un pur-sang, les deux sans avoir pris de leçon). Il y a aussi le jardinier unijambiste, la bonne âgée et l'intendante indispensable. Tout ce petit monde vit dans une merveilleuse maison en verre où on peut voir et être vu partout, encerclée par un jardin et entourée d'une forêt. Ce tableau idyllique vient quand même à être troublé par d'étranges phénomènes : ils semblent tous issus d'un temple dressé dans le bois, celui de la déesse Hécate, déesse de l'ombre et des morts. L'atmosphère devient de plus en plus oppressante : et si s'échapper devenait impossible ?

Au fur et à mesure de la lecture des pages du journal de Margherita, notre pouls s'accélère. Une seule envie : lui dire de partir le plus vite possible. La peur s'installe en effet de manière croissante et c'est en tremblant qu'on poursuit notre lecture. Point d'horreur ici mais une angoisse qui vous étreint et ne vous lâche plus. Chaque personnage devient inquiétant, jusqu'à cette maison qui ne permet aucune cachette. Jusqu'à cette fin également, qui est habile et qui retourne !

Ce roman italien de Roberto Cotroneo se veut un hommage au roman gothique et à « La tour d'écrou » d'Henry James : si je ne promets pas de me mettre au premier genre, je lirai le James à l'occasion, par curiosité. Et en attendant, je vous conseille une visite de « La maison de verre » !
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« Dans cette maison, quiconque voyait était vu à son tour. »
A l'été 2018, la jeune Margherita B., renonçant à poursuivre ses études de médecine, est engagée comme préceptrice auprès de deux jumelles, Lavinia et Lucrezia Ordelaffi. Elles habitent avec leurs parents pas loin de Rome, dans une immense villa ceinte de baies vitrées.
« Tout ce qui se passerait, tout ce que je verrais et entendrais au sein de la villa resterait secret, il m'était interdit d'en parler à quiconque. »
Margherita ne prête pas attention à cette clause de confidentialité de son contrat car elle tombe immédiatement sous le charme de la demeure et n'est pas insensible non plus à celui du maître des lieux, Umberto.
Mais, dans un jardin attenant, s'étendant autour d'un petit temple ancien dédié à la déesse Hécate, elle ne tarde pas à découvrir la présence d'un jeune homme étrange, apparaissant et disparaissant de manière singulière …

C'est Margherita qui raconte ces quelques semaines qui ont bouleversé le cours de sa vie. Dès le départ, on sait qu'à leur terme elle s'enfuira des lieux, en proie à une vive panique, mais on ignore dans quelles circonstances. On sait aussi que son témoignage a été recueilli par une personne qui le présente en exergue comme digne de foi.

A partir de là, l'auteur tisse un récit captivant, dont l'atmosphère inquiétante rappelle celle du roman « le tour d'écrou » d'Henry James (auquel il est d'ailleurs fait allusion à un moment). L'énigmatique jeune homme s'avérera rapidement ne pas être le seul à hanter les lieux et si ces présences inopportunes troublent Margherita, elles ne semblent pas étonner les jumelles plus que cela. Et puis, l'une d'elles est prodigieusement douée pour le piano, alors qu'elle n'a jamais pris que quelques leçons. Bref, les mystères se déploient, semblent trouver leur explication au moins partielle dans les éléments troublants que Margherita parvient à recueillir … mais on n'en restera pas là et le dénouement, spectaculaire et qu'on ne pouvait voir venir, ouvrira de nouvelles portes.

Roberto Cotroneo se plaît à nous entraîner aux lisières du réel, jouant à dessein sur l'ambiguïté de nos perceptions. « La maison de verre », dont j'ai apprécié le style et l'habileté, m'a offert un très bon petit moment de lecture (je l'ai lu d'une traite pendant le trajet aller d'un récent voyage).
Lien : https://surmesbrizees.wordpr..
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En tant que fan de roman gothique, je n'hésite jamais à découvrir les nouvelles sorties littéraires qui s'en rapprochent. Avec La Maison de Verre de Roberto Cotroneo, j'ai eu une excellente surprise. Ce roman est un très bel hommage au genre dont il modernise le décor avec une villa en verre en périphérie de Rome.

Margherita est une jeune femme qui devient la gouvernante de soeurs jumelles aussi fascinantes qu'inquiétantes. Elle rejoint une famille qui semble parfaite au premier abord, mais elle s'en rendra compte rapidement, qui cache aussi de nombreux secrets. L'auteur a réussi à écrire un roman qui joue avec la limite entre fantastique et folie et c'était un vrai bonheur de me plonger dedans. La Maison de Verre se lit très rapidement car le suspens est parfaitement maîtrisé. Je ne savais pas à quel personnage faire confiance ou du quel me méfier ce qui m'a entraîné, moi aussi, à perdre mes repères dans cette maison de verre.

Si vous aimez les romans gothiques, les huis-clos à ambiance et le suspens, La Maison de Verre est sans aucun doute une lecture parfaite.

Lien : https://www.parlonsfiction.c..
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Dans La maison de verre, plusieurs récits sont enchâssés, en première ligne, un narrateur externe à l'intrigue présente le journal intime de Margherita B. relatant les dix jours hors du monde chez ses employeurs, Alessandra et Umberto Brandi, en août 2018. Un journal lu, revu et examiné bien plus tard par cette voix extérieure qui semble nous le confier. En 2018, cette jeune femme, Margherita abandonne ses études en médecine et répond à une offre d'emploi, celle de nourrice à temps plein de soeurs jumelles au sein d'une villa bâtie dans les environs de Rome. Première surprise : c'est une villa dotée de vitres réfléchissantes qui en impose, qui impressionne et qui a le don de désorienter son visiteur. Peut-être l'élément le plus important du roman gothique, une maison improbable, et unique en son genre, puisqu'elle est le chef-d'oeuvre de l'un des plus grands architectes du moment. Cette demeure remplace nos traditionnels manoirs ou châteaux hanté propres au genre, c'est une villa qui a pour propriété de ne rien cacher de son intérieur. Comme si cette transparence n'était qu'un leurre. Maîtresse des lieux, Alexandra Brandi, comtesse de séant. Son mari, Umberto, est peu présent. Et les fameuses jumelles, Lavinia et Lucrezia, dix ans, dont la gémellité ne fera que rajouter un peu plus de mystère à cette ambiance dont le côté surnaturel ne tardera pas à pointer. D'abord à travers tous les membres de la famille, à moitié présent, à moitié absent, entourés par du personnel de maison qui comportent eux aussi leur lot de secrets : Gaetano, un jardinier, tantôt antipathique, tantôt sympathique, honnête homme ou escroc, on ne sait plus vraiment trop, une dame de compagnie au comportement aussi énigmatique que son collègue. Ces personnages secondaires sont plutôt de bonne composition dans le rôle qui est le leur d'encore plus embrouiller les cartes. L'auteur ne se contente pas de cette maison dont la démesure est à la hauteur de son mystère, il orne son récit d'un parc tout aussi majestueux, avec en son sein un temple, socle d'une statue de la déesse Hécate, déesse de la mort, déesse des carrefours qui relie les enfers, la terre et le ciel. Ici-gît donc toute tentation de se contenter d'une réalité brute, matérialiste et pragmatique puisque Margherita fait connaissance avec deux spectres musiciens qui hantent la propriété.

À l'acmé du récit, on a l'impression que Margharita se trouve au milieu d'une surenchère de secrets - très concrètement, il n'y a pas un protagoniste de la maisonnée qui réchappe aux soupçons qui provoquent cette sensation de malaise latent et de mensonge qui l'étreint. De bizarreries en étrangetés, cette sensation d'oppression augmente ostensiblement, l'auteur manie la rhétorique pour enfoncer ce lecteur, dans un crescendo très travaillé, dans une ambiance d'abord de surprise, qui évolue ensuite en d'inquiètes interrogations puis en de franches sensations de peur, et d'angoisse. Et une ambiguïté entretenue avec brio, entre la chaleur de l'accueil du couple, leurs attentions manifestes envers leur hôte, et une froideur constante qui se dégage des matériaux de la maison, acier et verre, un manque d'intimité manifeste et ce parc à la fois réconfortant et effrayant. En point d'orgue, l'ambiguïté propre aux soeurs jumelles de ce roman, qui passent leur temps à montrer des signaux contradictoires à leur jeune intendante.

Ce roman gothique respecte l'héritage de ses aïeux anglais du côté gothique de la force d'Ann Radcliffe ou d'un Bram Stoker, les secrets, les personnages presque spectraux, il combine quelques influences du thriller psychologique de Dennis Lehane, dans une proximité de la capitale italienne qui rajoute encore davantage de théâtralité et d'ésotérisme autour de cette maison presque à ciel ouvert. Le twist final est digne des deux auteurs dont je vous parlais précédemment : rien que cette atmosphère presque irréelle et éthérée de cette revisite à la sauce moderne du genre vaut la peine que ce roman soit lu, ce dénouement inattendu épice ce texte d'un piquant ma foi plutôt agréable. L'auteur nous prépare ce retournement de situation avec de petits sous-entendus sibyllins, disséminés ici et là, mais le retournement est double, et on se retrouve avec un dénouement pour le moins inattendu. le tour de cartes de Roberto Cotroneo a été efficace, il nous a roulé comme des débutants depuis le tout début. Il nous a présenté des "épouvantails" que l'on prend bien volontiers pour réalité.

À force de lectures, on se dit que l'on s'attend à tout, que l'on finira par deviner le mot de la fin. Que nenni. L'auteur est malin et psychologue, il a saisi qu'en présentant un écran de fumée à son lecteur, dont il est certes difficile de passer outre. Pourtant, lorsque on relit ce texte après une première lecture qui nous laisse sans voix, il semblerait que l'auteur se soit amusé à dessiner la vérité de l'expérience que vit Margherita à travers le récit qu'il en fait. C'est malin, c'est intelligent, l'auteur m'a clairement menée par le bout du nez et de son crayon. C'est une belle réussite dans le genre gothique, que je croyais enfermé dans un siècle qui n'est pas le nôtre, et à vrai dire, indélébile de la poussière des siècles qui le sépare de nous. Une belle manière de redonner vie au genre Gothique. Lisez-le !
Lien : https://tempsdelectureblog.w..
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