AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,22

sur 147 notes
5
18 avis
4
10 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
0 avis
J'avais été conquise par le premier tome de Céleste au charme indéniable et ma lecture m'avait donné l'envie de découvrir le tome II. Voilà qui est fait avec le même plaisir de lecture

Après une fâcherie suivie d'une rupture avec son employeur Marcel Proust, Céleste accepte de revenir à son service mais elle pose ses conditions : Elle sera dorénavant gouvernante et sa soeur Marie viendra la seconder dans cette tâche harassante qui consiste à s'occuper d'un écrivain, enfant capricieux et gâté, aux nombreuses phobies et à la santé fragile.
Passant la majorité de son temps dans son lit à écrire et se lamenter, Proust laisse les deux femmes s'occuper de tout.
Nous sommes loin du génie de Proust et l'on voit Marcel avec ses travers d'homme riche et habitué à être servi. Il peut se montrer maniaque, exigeant et lunatique mais Céleste et sa soeur Marie gèrent haut la main ses maniaqueries.
Obligé de déménager, il laisse Céleste tout gérer, de la recherche d'un appartement calme (il déteste le bruit) jusqu'au déménagement des meubles de famille.

« Vous allez être bien ici pour finir votre oeuvre
- Bien, c'est bien…mais…vous êtes sûre que le quartier est fréquentable ?
- - Chuuut…j'ai tout vérifié…Rien que dans cette rue, il y a une princesse, deux barons… »

Tout cela pourrait paraitre fastidieux mais, sous la plume de Chloé Cruchaudet, le récit se fait léger jusqu'à s'envoler dans l'onirisme. Elle a réussi à mettre du rythme, à dessiner la célérité de Célestine d'un trait léger et inventif aux couleurs tendres.
On découvre aussi une époque, celle de la première guerre mondiale et du travail éreintant des femmes. On découvre aussi que le prix Goncourt décerné à Marcel Proust avec son roman « A l'ombre des jeunes filles en fleur » a eu pour rival Dorgelès avec « Les croix de bois ». Pour ce prix, Marcel Proust sera moqué et vilipendé par la presse.

L'auteure a bien su mêler le réel de la biographie à la fiction plus fantaisiste de sa vie privée et c'est très réussi.

Commenter  J’apprécie          690
Céleste Albaret, son mari Odilon et sa soeur Marie reçoivent des visiteurs qui l'entretiennent de son célèbre patron Marcel Proust. Céleste, bien qu'elle pensât que l'écrivain était un enfant gâté, capricieux et tyrannique (tout en étant d'une grande gentillesse et plein de tact), ne pouvait rester loin de lui, et, après une petite brouille, lui revint non pas en tant que domestique mais comme gouvernante aidée par sa soeur. Elles sont donc deux à s'occuper de lui, ce qui n'est pas trop… ● Même si Chloé Cruchaudet prend quelques libertés avec la biographie de Proust (par exemple les circonstances précises de sa mort), son ouvrage est, comme le tome 1, très agréable à lire et restitue bien l'esprit – si ce n'est la lettre – de la relation entre Proust et Céleste. ● On ne le voit cependant pas assez écrire dans ce tome, alors qu'on sait que ses dernières années furent entièrement consacrées à terminer son oeuvre. ● J'ai trouvé que ce tome était plus centré sur Céleste que le précédent, justifiant pleinement le titre de l'album – ce n'est donc pas une critique. ● Les dessins sont beaux et attrayants, le récit rythmé, passionnant et très vivant. On passe un bon moment. Je conseille !
Commenter  J’apprécie          482
Céleste est brouillée avec Marcel et il faut bien le dire, elle s'ennuie ferme malgré sa broderie compulsive. Alors quand il la réclame, elle négocie son retour, elle n'est plus bonne, mais gouvernante et son salaire a augmenté en conséquence. Elle n'est plus seule non plus, sa soeur Marie l'a rejointe pour l'aider.
Marcel est très malade, passe sa vie au fond de son lit. Céleste lui est indispensable, c'est elle qui dirige la maison. On ne voit pas Proust écrire, juste manigancer pour obtenir le prix Goncourt (prix mérité, non ?) Dommage !
Mais après tout, le livre concerne Céleste sans qui Marcel Proust ne serait peut-être pas arrivé au bout de son oeuvre.
J'ai retrouvé le même scénario tout en douceur, une jolie évocation, vraiment.
Les dessins sont un peu différents de ceux du premier tome. Si j'ai moins aimé ceux des personnages (Colette, en particulier), il y a de magnifiques pleines pages dans des couleurs noires et lilas.
Dans l'une d'elles, Céleste cherche un appartement pour son patron, on la voit monter et descendre des escaliers pour visiter des lieux bruyants ou remplis de pollen.
Plus une biographie de Céleste que de Proust, mais après tout, c'est ce que le titre indique. La bande dessinée ne respecte pas forcément la réalité, mais là aussi, peu importe ; le plaisir est là.

Lien : https://dequoilire.com/celes..
Commenter  J’apprécie          370
Ces deux tomes de la vie de Céleste Albaret et de sa relation avec Proust sont deux petits bijoux. Je suis d'autant plus ravie de les avoir découverts que je peine, depuis plusieurs mois, à trouver des pépites dans mes lectures Bd et ces deux-là en sont.

Céleste est donc devenue la bonne, puis la gouvernante, secrétaire et confidente de Proust jusqu'à sa disparition. Autant dire qu'elle a joué un rôle important auprès de l'illustre auteur ! Arrivée de sa province profonde, toute jeune femme, pour épouser un chauffeur de taxi parisien, Céleste ne connaît rien de la capitale, et encore moins des coutumes de la haute bourgeoisie. Autant dire que l'auteure nous décrit la rencontre de deux mondes opposés : l'un est ultra raffiné, riche, capricieux, tandis que l'autre est une jeune fille naïve et assez incompétente.

J'ai lu et apprécié La recherche il y a fort longtemps mais je ne connaissais pas la vie de Proust ni la relation privilégiée qu'il avait nouée avec sa bonne. Et j'ai adoré les découvrir grâce à ces bd.

L'auteure fait des portraits très attachants de ses deux personnages principaux : Proust est capricieux autant que gentil, tyrannique autant que généreux, et on sourit beaucoup à la description des lubies de cet homme fantasque et à la santé très fragile. Céleste nous émeut par son dévouement et l'amour immense et platonique qu'elle voue à son grand écrivain.

Les dessins sont à la hauteur du scénario : inventifs, poétiques, colorés avec douceur, c'est un plaisir de lire et de regarder ces albums.

Une très belle réussite.

Commenter  J’apprécie          236
Un an plus tard Chloé Cruchaudet revient nous livrer sa lettre d'amour à Proust et surtout son aidante : Céleste et la famille Albaret qui ont été d'une aide précieuse à la réalisation du grand oeuvre de ce écrivain désormais culte.

Entre temps, j'ai eu la chance d'aller voir l'Exposition Proust à la BNF et je me suis encore plus familiarisée avec l'écrivain, rendant cette lecture encore plus intime et touchante, mais surtout me permettant de réaliser le travail incroyable de Chloé Cruchaudet pour adapter et évoquer la vie de l'artiste. Bluffant !

Dès le début, on ne peut qu'être époustouflé devant ses prouesses graphiques mais quand en plus on connait mieux l'auteur, on se rend compte d'à quel point cela colle à la virtuosité maladroite et travaillée de Proust, à sa rapport à sa corps, à son esprit et aux mots qui s'écoulent de lui. C'est splendide ! Dans cette seconde partie qui s'intéresse un peu plus à la métamorphose de ses écrits de petit texte intimiste à chef d'oeuvre reconnu, elle nous offre encore des pages marquantes et très symboliques ou plutôt remplies de symboles à l'image de celles relatant sa réception du Prix Goncourt ou encore celles où il se noie dans les souvenirs des Albaret, relançant son amour et son envie d'écrire. J'ai adoré la palette colorimétrique de l'autrice avec toujours de vert tilleul si cher à l'auteur. J'ai adoré la fluidité brumeuse de l'atmosphère qui ainsi nous enfume et nous pénètre. Ça représente si bien l'atmosphère de l'oeuvre et la fin de vie de Proust. C'est une magnifique réussite formelle.

Mais cela va encore plus loin, l'autrice parvient ici sous couvert de poésie à relater avec intensité la personne de Proust, son rapport à son oeuvre, la genèse de celle-ci et son devenir, ainsi que le rôle de la famille Albaret et de Céleste notamment auprès de lui à chaque instant. On retrouve ses allures souffreteuses, son côté un peu geignard, mais sa nature simple quand il s'agit d'écouter sa chère Céleste. On le voit également aller d'un logement à l'autre, poussé à chaque fois par le destin. On le voit se confronter avec difficulté à son oeuvre, qui s'allonge sans cesse et à laquelle il a du mal à mettre le fameux point final dont il a si souvent parlé à Céleste. La représentation de ce dernier, tout comme des derniers instants de Proust est magique, et rend si bien hommage à la fin de celui-ci, que j'en suis ressortie toute émue. Qu'est-ce que l'autrice utilise bien les silences, de la BD comme de la vie !

On sent la riche documentation dont elle a fait preuve mais sans que cela soit du bourrage de crâne. Elle intègre parfaitement tout ce qu'elle a appris de l'oeuvre et la vie de cette homme dans une vraie narration terriblement émouvante et très poétique où Céleste se voit porteuse d'un regard privilégié, elle, qui aura souvent été la plus fidèle héritière du maître après sa mort. L'histoire, comme les pages et les mots de la Recherche, coule entre nos doigts et se déroulent avec une fluidité folle, tandis qu'on le voit s'isoler, réussir, se remettre difficilement à l'ouvrage et peu à peu succomber à ses vieux démons. C'est émouvant.

Superbe biographie non pas de Proust l'auteur mais de Proust l'homme vu à travers le regard de sa gouvernante et amie Céleste, ce diptyque est aussi beau que bon. Je suis définitivement tombée sous le charme de la poésie du trait et de la palette de l'autrice, tandis que ses mots et sa mise en scène m'ont énormément touchée, de même que l'angle de vue choisi, très intimiste et en même temps réaliste. Une très belle façon de plonger dans l'intimité d'un grand artiste et de celle qui l'a accompagné dans son épopée.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Commenter  J’apprécie          190
Deuxième tome de cette Bd consacrée à la relation entre Marcel Proust et sa servante Céleste Albaret, lu très très vite. Après une dispute, Céleste accepte de revenir chez Marcel Proust mais en qualité de gouvernante et avec l'aide de sa soeur, Marie. Ce sont les dernières années de vie de Marcel Proust, il est de plus en plus exigeant avec les autres et prêt à tout pour que son oeuvre littéraire soit reconnue. Il obtiendra le prix Goncourt en 1919. On sent bien la complicité entre Céleste et son maître. Des dessins sombres qui occupent une pleine page, un peu de mauve et de jaune. Une lecture très plaisante.
Commenter  J’apprécie          120
Céleste, tome 2 : il est temps, Monsieur Proust.

Nous avions laissé Céleste en froid avec le grand écrivain à la fin du tome . Céleste va revenir vers lui mais à ses conditions, en faisant évoluer la sienne. Elle sera sa gouvernante, mais aussi sa secrétaire, son agent immobilier et celle qui le poussera à aller au bout de ses écrits.

Céleste ne revient pas seule car elle fait engager sa soeur pour la seconder pour les basses tâches matérielles. Proust a besoin d'elle, il accepte toutes les conditions, même financières.

Céleste va régenter la vie de Marcel Proust mais devra toujours être disponible avec sa soeur, de jour comme de nuit.

Grâce à Céleste, Choé Cruchaudet nous fait parcourir l'univers de Proust et sa folie créatrice. Proust est obsédé par la réussite qui, pour lui, passe par l'attribution du prix Goncourt. Pour lui ce prix sera la clé de sa consécration, il ira jusqu'à écrire des critiques sur ses propres oeuvres.

La relation entre Céleste et Proust est particulière. Il semble exister une forme de complicité entre les deux. Proust semble s'appuyer sur cette femme forte, simple qui lui donne l'équilibre et la force qui lui manque. Il puise son énergie auprès d'elle.

Le graphisme de Chloé Cruchaudet est toujours aussi vaporeux, aérien,tout en douceur. Sous ses traits de crayons ou de pinceaux, elle donne vie à ses personnages même à travers les scènes les plus ordinaires de la vie. Choé Cruchaudet nous permet de voyager avec Marcel Proust mais aussi avec Céleste.

Chloé Cruchaudet, c'est un style à part, une artiste, une amoureuse de Proust et de Céleste. Merci à elle d'avoir mis cette femme sous les projecteurs.


Commenter  J’apprécie          120
Nous retrouvons Céleste qui malgré un départ fracassant de l'appartement de 'Monsieur' n'en a pas fini avec Proust qui a tellement besoin d'elle pour terminer son grand oeuvre.
Il ne recule devant rien quand elle le remet à sa place mais elle a la tête froide et une volonté de fer, la gouvernante.
D'autant que sa propre soeur vient en renfort...
C'est avec grand plaisir que j'ai découvert la suite de la vie de Céleste et du pauvre monsieur Proust.
C'est très agréable à lire, le dessin est très fluide et dansant et convient parfaitement à ce récit ainsi qu'aux personnage qu'il raconte.
J'ai aimé entrer dans l'intimité de Marcel Proust, découvrir sa personnalité et sa grande fragilité.
Une très chouette lecture, intéressante et instructive.
Commenter  J’apprécie          100
Céleste Albaret se souvient. Face à ces visiteurs désireux d'acheter tout ce qui a pu appartenir à Marcel Proust, elle raconte les moments qu'elle a vécu aux côtés de l'illustre auteur.
Après un premier tome brillant, Chloé Cruchaudet met fin à son diptyque avec cette seconde partie qui marque un basculement bien exprimé par la couv. Céleste, d'un rôle de secrétaire dévouée, va passer à celui de gouvernante en chef. Réalisant qu'il n'arrive à rien sans elle, Proust lui donnera volontiers les pleins pouvoirs.
On découvre alors sous le trait enlevé et libéré de Chloé Cruchaudet une femme fière, qui va de main de maître gérer la vie de l'écrivain en étant tour à tour, maman, confidente, servante, même agent immobilier... et ce jusqu'au dernier instant.
Si l'on sent l'énorme travail documentaire, ce n'est pas au détriment d'un récit qui reste vivant et entraînant. Chloé Cruchaudet parvient à insuffler beaucoup de vie dans ses pages et dans ses personnages.
Ces deux albums constituent un modèle de travail littéraire, historique accessible à tous. Un régal !
Commenter  J’apprécie          100
Les paperolles voltigent toujours en tous sens. Mais cette fois, Céleste ne les rattrape plus. Elle est occupée à décrocher l'immense portrait de son maître. Ça sent la fin.
Ex abrupto, ce deuxième volume commence exactement au moment où on a laissé l'histoire dans le premier tome. Céleste concocte toujours le breuvage, noir et épais dans la cafetière qu'elle a ramenée de chez Marcel Proust. Elle n'a pas perdu la main. Ou l'oreille plutôt, car, dans le sifflement, elle décèle la note exacte qui marque la fin de la préparation. « Monsieur » voulait un breuvage noir comme l'encre. Aujourd'hui, la gouvernante a la tremblotte, quelques gouttes maculent la nappe : « Ça ne m'arrivait jamais, avant... »
Avant, c'est là que se retrouve la dame de compagnie. Seule dans sa chambrette, elle brode inlassablement, en attendant une permission d'Odilon, parti à la guerre. Enfin, il n'est pas sur le front. Il transporte des victuailles. Ça le change de son emploi distingué de chauffeur de maître.
Eh bien oui, Céleste s'est disputée avec le grand homme. Elle en a eu assez d'être l'objet de tous ses caprices. Elle a rendu son tablier. Mais il faut bien avouer que la vie sans lui n'est pas pareille. Les broderies couvrent chaque centimètre carré des murs et gagner quelques sous dans le bistrot de sa belle-soeur ne lui plaît pas. Mais elle a son honneur, quand même. Pourtant, dès que Monsieur, au bout du rouleau, l'appelle, elle accourt : ils ne peuvent se passer l'un de l'autre.
Si Céleste reprend son service, ce n'est pas sans imposer ses conditions : elle monte en grade, elle est augmentée, sa soeur Marie vient l'aider. Elles ne seront pas trop de deux pour satisfaire aux exigences de cet original.
Il va falloir déménager, l'immeuble a été vendu. Céleste est représentée comme un Vishnou doté de trois paires de bras. Une double page la montre, arpentant les immeubles à la recherche du nouveau « nid » de Marcel Proust : pas ici, le parquet grince, pas là, les fleurs répandent du pollen, et là non plus, des enfants jouent bruyamment. Sur une autre double planche, son ombre gigantesque soulève le toit des maisons, comme Asmodée (le diable boiteux de Lesage). Mais Chloé Cruchaudet nous emmène aussi au spectacle. Colette supervise l'adaptation de « L'enfant et les sortilèges ». Au musée : comme Bergotte, l'auteur visite l'exposition Vermeer et se laisse happer par la vue de Delft et son petit pan de mur jaune.
Elle revisite la scène de la madeleine avec un clin d'oeil : ici, les soeurs Albaret évoquent leurs souvenirs d'enfance sur l'odeur des pommes de terre à l'ail.
Proust se montre fragile : en train d'étouffer lors d'une crise d'asthme ; insupportable : les soeurs sont à peine couchées après un travail éreintant, qu'il sonne pour savoir s'il doit revêtir le gilet de tweed ou celui de soie ; émouvant : lorsqu'il remonte le temps et redevient un petit garçon.
Pas de surprise, évidemment, on sait comment cela finit. On ne peut pourtant pas s'empêcher d'avoir le coeur serré lorsque les fantômes de ses personnages défilent à son chevet, comme pour Balzac, qui réclamait désespérément le docteur Bianchon. Et ces pages blanches sur lesquelles ne se détache que le point final.
L'album se termine par quelques photos de l'auteur et de sa fidèle gouvernante. le médaillon où figure le couple de Céleste et Odilon rappelle le moment où, la guerre finie, Odilon veut offrir un portrait à sa femme et prend ses jambes à son cou devant les tarifs de l'artiste.
J'ai adoré ce deuxième épisode qui ne démérite en rien par rapport au premier. Bien que très simples, les dessins rendent parfaitement justice aux personnes qu'on reconnaît très bien. Et une grande originalité gouverne les deux albums, dans les couleurs, le jeu du temps, les évocations de l'oeuvre du « maître » ainsi que le découpage.
Lorsque la jeune antiquaire, sur le point de partir, lance : « Peut-être qu'on écrira un livre sur vous aussi. », Céleste, Marie et Odilon éclatent d'un rire sonore. Ils ont tort.
Commenter  J’apprécie          80




Lecteurs (218) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Tintin

Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

Tintin
Milou
Le Capitaine Haddock
Le Professeur Tournesol
Dupond et Dupont
Le Général Alcazar
L'émir Ben Kalish Ezab
La Castafiore
Oliveira da Figueira
Séraphin Lampion
Le docteur Müller
Nestor
Rastapopoulos
Le colonel Sponsz
Tchang

15 questions
5240 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd franco-belge , bande dessinée , bd jeunesse , bd belge , bande dessinée aventure , aventure jeunesse , tintinophile , ligne claire , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..