La Doublure

J'avoue avoir été sonnée par cette lecture et ne sait pas trop quoi en dire. J'aime tellement Melissa Da Costa et là je suis grandement partagée. le côté "mystique" de toutes ces références à l'art, la peinture et la littérature sont absolument passionnants. L'écriture est toujours très belle. Mais je n'ai pas aimé les personnages qui ne sont pour moi pas assez aboutis et qui ne m'ont pas plu tout simplement. Et j'ai absolument détesté la fin...

Pfiou ....

Si on doit juger le talent d'un auteur à sa capacité à changer de genre littéraire sans changer de style de plume, alors Mélissa Da Costa est incroyablement talentueuse. Vraiment.

Habituée à ses romans feelgood et plutôt fan, je me suis lancée dans celui ci en sachant qu'il était à l'opposé de ce dont j'avais l'habitude avec cette autrice mais je ne savais pas à quel point...

J'ai plutôt bien aimé mais sans plus les 3/4 du livre. J'avancais sans avoir de gros coup de coeur mais sans avoir non plus l'envie de stopper ma lecture.

Les 100 dernières pages, elles, m'ont tuée...
Impossible de lâcher le livre, tout s'accélère, pour se terminer en apothéose.
J'en suffoque, je suis en malaise, quelle fin !

Je ne vais pas remettre ici de résumé cela a été fait 100 fois, ce roman sombre de Mélissa Da Costa est à lire, mais prenez une grande inspiration avant la dernière ligne droite !

Mélissa Da Costa comme vous ne l'avez jamais vue, c'est ce que promet son nouveau roman que je me suis empressée d'acheter moi qui pourtant habituellement attend la sortie poche de ses livres.
Depuis Tout le bleu du ciel, j'ai toujours aimé lire la plume de cette autrice qui nous bouleverse et vise juste, en plein coeur. Quelle surprise donc de découvrir ici un genre tout à fait différent.
De la noirceur, de la toxicité, de l'addiction, de la sexualité. J'ai été chamboulée, mal à l'aise, dégoûtée, déroutée.
J'ai abandonné ma lecture. Peut-être par pudeur mais surtout parce que lire l'Histoire du Romantisme noir, ça ne m'intéresse pas. Un personnage qui fantasme sur le couple que forme ses patrons eux-mêmes libertins, ça ne m'intéresse pas. Tout simplement. C'est un avis purement personnel, certains arriveront à prendre du recul et à apprécier ces éléments.
Bon il paraît qu'il y a un vrai revirement de situation et que l'histoire se fait moins noire donc mon avis ne doit en aucun cas vous empêcher de tester si le double jeu, les faux semblant et surtout la plume efficace de l'autrice vous tentent !

Ayant envie de tenter le thriller psychologique, je me lance dans cette lecture.

Comme beaucoup, je connais Mélissa Da Costa pour son oeuvre Tout le bleu du ciel et me demande comment ce roman est ficelé.

Je suis très sceptique, je ne trouve pas ce roman si psychologique que ça… l'histoire aurait pu être beaucoup plus courte, pas de grands rebondissements…

J'ai aimé ma lecture sans plus…

Très jolie découverte ! de l'histoire de l'art aux connotations religieuses au pouvoir sadique de l'addiction, il n'y aurait qu'un pas... 700 pages qui se dévorent dans un style d'écriture plaisant, même si on aimerait parfois pouvoir changer le cours de l'histoire...

Je suis allée jusqu'au bout de ce livre parce que je l'avais promis. le livre est bien construit, et on découvre la nouvelle vie de l'héroïne dans son nouveau décor et avec ses nouvelles occupations. Mais tout devient malsain, louche, bizarre et aucun des personnages ne nous est vraiment sympathique mais qu'importe, ça peut évoluer. Mais pas dans ce livre ! Au contraire. Les personnages ont un comportement de plus en plus étrange et on finit la lecture par le pire qu'on aurait pu imaginer.

Très bonne intrigue. Cependant le côté obscure de l'histoire me met un peu mal à l'aise. L'histoire n'avance pas vite, j'aurais aimé connaître la fin, mais je m'ennuie vite. J'ai essayé plusieurs fois de continuer la lecture, mais les paragraphes sur l'art Noir et plus qu'abstrait, a fait que je ne peux finir ce roman, dommage.

On découvre un autre registre complètement différent de l'auteur. Ici, on baigne dans le milieu de l'art, celui du romantisme noir, qui est un art étrange et bizarre mais intéressant. Pierre, Clara et Evie font former une équipe et font référence au trio Lilith, Eve, Adam. Evie va être rapidement manipulée par ce couple, et sa vie va basculer dans un monde de drogues, de sexualité perverse rendant l'intrigue dérangeante, tordue et angoissante. Tout est toxique : les personnages, leurs relations, le milieu dans lequel ils évoluent. Pourtant, tout est bien dépeint : le courant du romantisme noir, la dépendance aux drogues, les ressentis d'Evie, la toxicité des relations entre les personnages.
Le roman est assez long, rendant une atmosphère inquiétante, et qui met mal à l'aise. Je n'ai pas trop aimé l'univers de cette histoire qui est pesant.
La fin du roman est terrible mais juste et héroïque.

j étais prévenue. Ce livre de Mélissa Da Costa est beaucoup plus noir que les autres. La lecture est fluide et les pages se tournent vite. J ai eu l impression de quelques longueurs vers la fin. le personnage d Evie est tourmenté mais il m a fait penser à d'autres personnages de Mélissa Da Costa comme Ambre dans "Je revenais des autres"et "les douleurs fantômes".
Même si je l ai lu vite ce n est pas un coup de coeur.

Evie fille un peu perdu trouve du boulot bizarrement en croisant Pierre qui cherche une assistante pour sa femme Clara artiste peintre.
Mais le travail d'Evie se transforme rapidement d'assistante (mail papier compta..) ; elle doit remplacer Clara dans les expositions devenir sa doublure en publique aidée par Pierre qui aura son rôle au bras d'EVie.

Un roman qui baigne dans le milieu de l'art on comprend tous du romantisme noir (on est formé en même temps qu'Evie .

l'histoire qui est un peu difficile à croire par moment et présente quelques longueurs mais une fin inattendue mais non je ne parlerai pas sauve le roman