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sur 3541 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Que dire! J'adore les romans de Mélissa pour les voyages, ses personnages attachants....mais là...j'ai failli l'arrêter en pleine lecture. le personnage d'Evie est tellement sombre, noir et naïf que je ne m'y suis pas attachée. A la lecture de ce roman, j'étais mal à l'aise tant ce roman est noir, cruel, dérangeant, très noir avec une final dramatique et surprenant.... Par contre, je l'ai trouvé riche en informations, en culture, en arts... Un peu trop à mon goût.
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Je voulais me laisser quelques jours avant de rédiger ma critique, car à la fermeture du livre, je ne savais pas si j'avais aimé ou pas. 


L'entrée en matière était sympa, le climat de tension est bien présent, on sent qu'il va se passer quelque chose, mais on ne sait pas quoi. 

De plus, dans cette première partie, l'auteure nous fait faire un voyage intéressant dans l'univers du romantisme noir. 

Dès le départ, j'ai trouvé les trois personnages principaux très apathiques. Je n'ai pas réussi à éprouver de la sympathie pour Evie, le personnage principal.

Par la suite, l'auteure nous entraîne dans un univers plein de vices et j'ai cru un instant qu'elle faisait l'apologie de certaines substances ce que j'ai moyennement apprécié. 

De pages et pages, sans éprouver d'empathie pour les personnages, ni pour leur mode de vie, ni leurs valeurs, ni leurs moeurs, je me suis tout de même largement laissé emportée par l'histoire et la plume de l'auteure. 

J'ai trouvé la fin très bonne, ce qui est rarement le cas quand je lis un thriller. 


Je dirais donc en conclusion que même si je n'ai pas aimé tous les côtés, dont les personnages, ce qui est quand même important, j'ai tout de même passer un agréablement moment avec ce livre grâce à la plume de l'auteure et le climat qu'elle a su installer. 


Mes plus :

- Découverte du romantisme noir 

- Descriptions parlantes et peu abusives 

- Climat de tension parfait 


Mes moins :

- Personnages apathiques 

- Rebondissements attendus

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"La doublure" de Mélissa Da Costa, au résumé prometteur, est un livre surprenant mais qui ne m'a pas tant emballée que ça, sauf durant la lecture de la dernière partie du roman. Les deux premières parties, soit un peu plus de la moitié du livre, m'ont particulièrement ennuyées. le rythme est mou, lent et j'avoue avoir passé plusieurs pages, car j'étais à deux doigts d'abandonner la lecture.

L'histoire nous raconte celle d'Evie, une jeune femme qui peine à retrouver la joie et la bonne humeur après le départ de son compagnon pour l'étranger. Elle va faire la rencontre d'un homme, Pierre, en couple avec Clara, une artiste peintre, dont cette dernière cherche une assistante. le poste d'assistante d'artiste peintre n'a d'apparence que le nom, car dès la prise de poste, c'est un enfer qui ne fait que commencer et dont les portes se ferment autour d'Evie.

Très vite, Evie prend son job au sérieux et tout commence correctement. On aurait pu croire que le job d'Evie sera simple et sans grosses inquiétudes. Que nenni ! Elle va devoir faire avec Pierre et Clara qui vont se servir d'elle comme d'un pantin, c'est-à-dire une bonne à tout faire jusqu'aux limites les plus extrêmes (sexe avec le conjoint de Clara et consommation de substances illicites notamment).
C'est le début d'une emprise psychologique oppressante, étrange, douloureuse, floue et violente où Evie va devoir jouer la doublure de Clara. Autrement dit, ils vont profiter de la gentillesse et de l'innocence d'Evie et vont transformer ces qualités en atouts influençables et vulnérables. Par conséquent, limites sont rapidement franchies et les tensions ne font que s'accroître progressivement au point qu'Evie va oser affronter les monstres que sont Pierre (que je pensais avec un bon fond malgré tout) et Clara, car son intimité la plus profonde sera meurtrie.

À la fin du roman, Mélissa Da Costa casse le récit routinier de plusieurs centaines de pages par un cocktail explosif. Evie au plus mal face à cette manipulation exécrable va mettre en exécution un plan de vengeance à la fois diabolique et tragique, une vengeance qui laissera des traces indélébiles dans la vie de ceux qui ont contribué à cette chute violente.
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J'ai adoré Mélissa da Costa dès son premier roman et j'ai toujours lu ses romans " solaires " avec plaisir, toujours dans l'attente du prochain.
Et j'ai retrouvé avec impatience cette auteure mais cette fois-ci avec un roman noir, sombre et envoûtant. Elle s'éloigne, avec ce thriller psychologique, de son étiquette d'auteure " feel-good " .
Cette passion toxique se met en place lentement, insidieusement. J'ai, pour ma part, vite ressenti cette atmosphère lourde voire un peu glauque. Les descriptions des soirées alcool, sexe et drogue m'ont rapidement ennuyée.

Cependant, j'ai été happée par les descriptions des peintures, les explications du romantisme noir que je ne connaissais pas. L'auteure a mené un travail remarquable pour maîtriser le sujet à ce point, c'est là, pour moi, l'intérêt !!

C'est un sacré virage effectué par Mélissa da Costa avec ce roman aux antipodes de ses écrits habituels, roman parfait pour une adaptation cinématographique à mon avis !!!
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La doublure est le dernier roman de Mélissa Da Costa est nous entraîne dans le milieu de l'Art et de sa facette sombre. On va suivre le couple Manan et Evie, jeune fille qui va devenir la doublure de Clara Manan. Mais ce jeu de faux-semblant va s'avérer dangereux.

Autant le dire de suite je n'ai pas accroché à cette histoire. J'ai aimé l'atmosphère et le contexte sur l'Art. Par contre, je n'ai pas aimé la narration par la bouche d'Evie. Evie couche certaines de ses pensées dans un carnet. Je ne sais pas mais peut-être que si la narration avait été faite façon journal intime j'aurais mieux accroché et le huis-clos avec ce trio aurait mieux fonctionné.
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La doublure 🎭

En découvrant le nouveau roman de Melissa Da Costa j'ai d'abord était surprise par la couverture qui ne ressemble pas à ce que je connais de l'autrice.

Dès les premières lignes je me suis retrouvée plongé dans une ambiance pesante.
Comme si à tout moment pouvait survenir un évènement étrange et malaisant.

J'ai donc fait la connaissance d'Evie. Jeune femme en couple avec un marin, tous deux vivant à Marseille. Son quotidien ? Elle attend son cher et tendre 6 mois dans l'année en cumulant des petits boulots qu'elle peut quitter facilement quand monsieur revient de mission.
Sauf que cette fois-ci, avant de repartir pour la mer, Jean lui annonce qu'il va monter son affaire au Brésil.

Evie n'en revient pas. Après cinq ans de relation et de sacrifice, voilà ce à quoi elle a droit.

Elle va donc chercher à changer d'air et va chercher un nouveau travail, sur les yachts du port de Marseille. C'est ainsi qu'elle rencontre Monsieur Manan.

Ce dernier lui parle de sa femme, Clara Manan, artiste peintre talentueuse qui aurait besoin d'une assistante pour gérer la paperasse.

C'est aussi simplement que le piège se referme sur Evie...

Plus l'intrigue évolue plus j'ai eu le sentiment d'être emportée par ce trio dans une aventure infernale. Angoissante. Oppressante. Je me suis demandée qui aurait l'ascendant sur qui.

Sur fond de drogue, de transe, de talent, de subconscient, de sexe, de manipulation, de mensonge, de dépendance, d'ivresse mais surtout d'art, laissez vous emporter par cette sombre histoire.

On ne sort pas indemne de ces quelques pages.
Toutefois, j'ai été bluffé par les précisions et les recherches de Mélissa Da Costa concernant l'Art et le courant artistique très présent dans ce roman.

Malgré quelques longueurs ou redondances parfois, j'ai toujours eu envie d'avancer dans l'histoire et d'en savoir plus, non sans appréhension.

Alors, croquerez vous la pomme et céderez vous à la tentation de lire ce roman noir ?
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J'avais une appréhension avant de commencer ce nouveau roman de Mélissa Da Costa. Appréhension car il arrive très vite après la sortie du précédent, et j'ai eu peur que l'auteure ne soit tombée dans l'écriture au kilomètre sous la pression de son éditeur. Alors de ce côté-là, il n'y a pas de doute, ce n'est pas de l'écriture au kilomètre même s'il y a des longueurs par moment.
On rencontre trois personnages :Evie, jeune fille qui vient d'être quittée par son petit ami, Pierre et Clara, couple fortuné qui vit à St Paul de Vence, Clara étant une artiste peintre. Ils embauchent Evie pour devenir l'assistante artistique de Clara et pour la remplacer dans toutes les tâches qui rebutent l'artiste. On pressent très vite la descente aux enfers qui ne manque pas d'arriver même si on n'imagine pas le final !
C'est noir, très noir, trop noir pour moi. C'est bien écrit, bien documenté mais tellement malsain. J'ai lu cet ouvrage sur liseuse et c'est tant mieux car j'aurais certainement été lire la fin plus vite pour abréger cette lecture.
L'autere montre son talent avec ce roman car c'est totalement différent de ces précédents opus et en cela, c'est réussi. Toutefois, je ne sais pas si c'est une lecture que je recommanderai. Elle me laisse sur un bien trop grand malaise.
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Je ne me suis jamais sentie aussi mal en refermant un roman. Il m'a fallu plusieurs jours avant de me replonger dans un autre 😕
Tellement différent de ces autres romans que j'ai adorés.
J'ai failli arrêter la lecture à plusieurs reprises : trop de détails sur la peinture, et tellement glauque 😢
Mais il fallait que je connaisse la fin... Je n'oublierai pas ce roman qui m'a mis vraiment mal à l'aise.
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Premier livre de Melissa Da costa que je lis. Son écriture est fluide et simple à lire, pour ce roman elle sait bien documentée sur les sujets de la peinture et de l addiction. Je n'ai pas apprécié ses personnages notamment Evie qui , je trouve, passe son temps à ce mettre dans des situations compliquées et pleurer par la suite. Dès le départ on sent quelque chose cloche avec le couple Manan , on ressent un malaise ... mais ça n empêche pas Evie de se fourrer dans cette situation.
Pour moi c'est un bon roman mais pas le plus marquants que j'ai lu.
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Evie est une jeune femme éprouvée, sans attaches, qui sort d'une déception sentimentale.
Elle décide de reprendre sa vie en main, cherche du travail… elle est abordée par Pierre Manan, un riche homme d'affaires, époux d'une artiste peintre. le job qu'il lui propose, c'est assistante de communication, relations publiques… ce qui l'attend c'est être la doublure de sa femme, Clara.
Les relations vont rapidement devenir déséquilibrées voire toxiques entre le trio et le basculement s'opère… prise dans une relation étouffante, dans un engrenage très sexualisé, jusqu'où Evie va t'elle pouvoir surnager dans ce tourbillon fatal?

Un roman sombre qui change du style de Mélissa Da Costa… pourquoi pas.
La plume est toujours agréable mais je crois que j'ai été gênée par la thématique.
Même si j'ai appris beaucoup de choses sur l'art, ce n'est pas mon domaine de prédilection et j'ai également eu du mal à accrocher à ces milieux toxicodependants… je pense que la thématique a largement joué dans mon ressenti.
Alors qu'habituellement on a un attachement immense aux personnages, dans ce roman rien, une indifférence totale à chacun des protagonistes… ils sont malaisants voire pervers.
C'est un huis clos oppressant, machiavélique et morbide… un jeu de pouvoirs… une descente aux enfers inéluctable.
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