Critiques filtrées sur 1 étoiles
Deux mois pour terminer ce livre et l'impression d'avoir perdu mon temps.
J'avais choisi ce roman pour ses promesses d'évasion et d'émotion, je n'ai eu ni l'une ni l'autre.
J'avoue être extrêmement surprise des critiques pour la plupart très positives, tant j'ai trouvé ce livre plat, terne, sans saveur, j'ai presque l'impression de ne pas avoir lu le même livre.
Seul le thème de l'évolution de la maladie dégénérative du personnage principal, dans la dernière partie du livre, m'a semblé bien traité.
Tout le reste enchaîne cliché sur cliché. le retour à la nature, les bienfaits des plantes, du silence, de la méditation, la bienveillance… que des belles choses mais absolument aucune subtilité dans l'écriture ou le scénario, rien ne semble réaliste, rien ne m'a fait vibrer, tout sonnait faux à mes oreilles (j'ai écouté le livre audio).
L'écriture est elle aussi très pauvre, enchaînant les banalités de la vie quotidienne (la nature des repas pris par les personnages), les détails non pertinents (la couleur d'une table, d'un miroir, d'un bol, d'une assiette), les répétitions (« avec des gestes lents » que j'ai eu l'impression d'entendre des centaines de fois, « morveux » ce mot hideux que l'on retrouve à de nombreuses reprises au début du livre).
Tout au long du roman, les descriptions des paysages et de la nature (principalement les Pyrénées) donnent envie de partir en voyage, mais le style est inexistant, on a l'impression de parcourir un guide touristique, ce que j'aime assez je dois dire... mais certainement pas quand je lis un roman.
Et le pire de tout ça : les citations (principalement de Paulo Coelho) que l'on retrouve à la pelle du début à la fin, j'ai été très agacée d'en retrouver autant dans un roman.
Quant aux personnages je les ai trouvés égocentrés (Émile principalement), passifs, fades, caricaturaux.
L'histoire se veut émouvante mais il y a trop de drames, de miracles, de bons sentiments, d'invraisemblances, de lieux communs, de citations, de tout.
Si j'avais su que ce roman flirtait avec le développement personnel, je ne l'aurais jamais ouvert. J'ai voulu le terminer espérant une surprise ou un retournement de situation qui n'est jamais arrivé, même l'épilogue est attendu et sans charme, finalement tout était cousu de fil blanc.
J'ai conscience que cette critique est sévère mais elle est à la hauteur de ma déception...
J'avais choisi ce roman pour ses promesses d'évasion et d'émotion, je n'ai eu ni l'une ni l'autre.
J'avoue être extrêmement surprise des critiques pour la plupart très positives, tant j'ai trouvé ce livre plat, terne, sans saveur, j'ai presque l'impression de ne pas avoir lu le même livre.
Seul le thème de l'évolution de la maladie dégénérative du personnage principal, dans la dernière partie du livre, m'a semblé bien traité.
Tout le reste enchaîne cliché sur cliché. le retour à la nature, les bienfaits des plantes, du silence, de la méditation, la bienveillance… que des belles choses mais absolument aucune subtilité dans l'écriture ou le scénario, rien ne semble réaliste, rien ne m'a fait vibrer, tout sonnait faux à mes oreilles (j'ai écouté le livre audio).
L'écriture est elle aussi très pauvre, enchaînant les banalités de la vie quotidienne (la nature des repas pris par les personnages), les détails non pertinents (la couleur d'une table, d'un miroir, d'un bol, d'une assiette), les répétitions (« avec des gestes lents » que j'ai eu l'impression d'entendre des centaines de fois, « morveux » ce mot hideux que l'on retrouve à de nombreuses reprises au début du livre).
Tout au long du roman, les descriptions des paysages et de la nature (principalement les Pyrénées) donnent envie de partir en voyage, mais le style est inexistant, on a l'impression de parcourir un guide touristique, ce que j'aime assez je dois dire... mais certainement pas quand je lis un roman.
Et le pire de tout ça : les citations (principalement de Paulo Coelho) que l'on retrouve à la pelle du début à la fin, j'ai été très agacée d'en retrouver autant dans un roman.
Quant aux personnages je les ai trouvés égocentrés (Émile principalement), passifs, fades, caricaturaux.
L'histoire se veut émouvante mais il y a trop de drames, de miracles, de bons sentiments, d'invraisemblances, de lieux communs, de citations, de tout.
Si j'avais su que ce roman flirtait avec le développement personnel, je ne l'aurais jamais ouvert. J'ai voulu le terminer espérant une surprise ou un retournement de situation qui n'est jamais arrivé, même l'épilogue est attendu et sans charme, finalement tout était cousu de fil blanc.
J'ai conscience que cette critique est sévère mais elle est à la hauteur de ma déception...
Je dois lire ce livre pour mon club de lecture. En un mois je n'ai pas réussi à aller plus loin que la page 36. Les personnages sont improbables, les noms ridicules et il ne se passe rien de spéciale. Emile veut partir en camping car avec un.e inconnu.e mais ne fait que penser à son ex qui l'a quitté il y a plus d'un an. C'est insupportable.
C'est un abandon pour ce livre.
Je ne peux l'expliquer mais je n'ai pas accroché. Ma foi ce n'est pas faute d'y être revenue plusieurs fois, et ça a trainé sur six mois.
Au bout de 150 pages je sautais déjà des paragraphes voir des pages entières. J'avoue ne pas vouloir forcer car je sais que je n'y arriverais pas.
Pourtant l'idée de base m'avait enchanté et les chroniques enthousiastes aussi.
Il y a cet effet de voyage avec ces nombreuses descriptions, cette lenteur. J'avais l'impression de lire une rédaction qui comblé comblé pour faire des lignes... Sujet, verbe, complément et puis c'est tout.
Trop de bons sentiments, trop de sous entendu : il faut faire ceci il faut faire cela, etc.
Trop moralisateur, trop long pour au final presque pas grand chose. On reste en surface rien n'est creusé, une impression de descriptions infinie qui s'arrêtent à ce qui se passe devant les personnages et le-la lecteur-lectrice.
Je ne sais pas si c'est dû à la plume de l'autrice ou à l'histoire en elle-même, voir même les deux ...
J'ai son second roman dans ma PAL, je pourrais donc y voir plus clair.
Celui-ci n'est donc clairement pas pour moi.
Je ne peux l'expliquer mais je n'ai pas accroché. Ma foi ce n'est pas faute d'y être revenue plusieurs fois, et ça a trainé sur six mois.
Au bout de 150 pages je sautais déjà des paragraphes voir des pages entières. J'avoue ne pas vouloir forcer car je sais que je n'y arriverais pas.
Pourtant l'idée de base m'avait enchanté et les chroniques enthousiastes aussi.
Il y a cet effet de voyage avec ces nombreuses descriptions, cette lenteur. J'avais l'impression de lire une rédaction qui comblé comblé pour faire des lignes... Sujet, verbe, complément et puis c'est tout.
Trop de bons sentiments, trop de sous entendu : il faut faire ceci il faut faire cela, etc.
Trop moralisateur, trop long pour au final presque pas grand chose. On reste en surface rien n'est creusé, une impression de descriptions infinie qui s'arrêtent à ce qui se passe devant les personnages et le-la lecteur-lectrice.
Je ne sais pas si c'est dû à la plume de l'autrice ou à l'histoire en elle-même, voir même les deux ...
J'ai son second roman dans ma PAL, je pourrais donc y voir plus clair.
Celui-ci n'est donc clairement pas pour moi.
J'aurais tant aimé apprécier ce livre et pouvoir en partager un avis positif, à l'instar de la plupart des autres lecteurs. Malheureusement, je dois avouer que la lecture de ce roman a été pour moi une véritable déception.
Je n'ai pas pris grand plaisir à tourner ces 838 pages, et je n'ai pas ressenti beaucoup d'émotions, ni d'empathie pour les personnages (excepté sur les 30 dernières pages qui m'ont quand-même remuée et tiré quelques larmes). Je n'ai pas réussi à m'immerger dans ce récit... Peut-être en avais-je trop d'attentes ?
Car les thématiques abordées avaient pourtant tout pour me captiver.
Mais j'ai trouvé ce roman trop misérabiliste. A mon sens, l'accumulation de "pathos" allait au-delà du vraisemblable, alors que je m'attendais à une histoire plus réaliste et crédible.
J'ai vraiment été gênée par l'aspect très caricatural des situations et des personnages, et surtout par beaucoup trop d'invraisemblances, de contradictions et d'inexactitudes (entre autres concernant l'évolution de la maladie d'Émile et son encadrement légal, qui repose ici sur une base erronée juridiquement, alors qu'elle constitue pourtant le socle de l'histoire).
Sans doute me suis-je trop focalisée sur ces différents points, ce qui a soulevé chez moi une certaine défiance quant à l'authenticité et la crédibilité du récit.
Je n'ai malheureusement pas non plus été séduite par la plume, que j'ai trouvée plutôt hétérogène et impersonnelle, avec de nombreuses répétitions (et coquilles) alourdissant le récit (sans parler de certains passages vraiment trop ressemblants à ceux de brochures d'offices du tourisme...). Il m'a aussi manqué une véritable étincelle pour animer le texte et me permettre de vibrer et m'émouvoir sincèrement.
Vous l'aurez compris, malgré un scénario de base original, ce roman me laisse au final un sentiment bien mitigé.
Et en parlant de final... bien qu'émouvant, je l'ai trouvé tellement improbable... À l'image du reste du roman, en somme, qui ne m'a pas permis de m'identifier un instant, ni aux situations, ni aux personnages. le manque de plausibilité, c'est vraiment le reproche principal que je ferais à ce livre.
J'envie les lecteurs qui l'ont adoré, qui ont su y trouver du réalisme, de l'émotion, de la poésie et une jolie plume. Car j'ai juste l'impression de ne pas avoir lu le même ouvrage et d'être totalement passée à côté du charme de cette histoire.
Sans doute n'étais-je pas la cible, sans doute mes attentes étaient-elles trop différentes...
(Avis remanié le 01/08/2021).
Je n'ai pas pris grand plaisir à tourner ces 838 pages, et je n'ai pas ressenti beaucoup d'émotions, ni d'empathie pour les personnages (excepté sur les 30 dernières pages qui m'ont quand-même remuée et tiré quelques larmes). Je n'ai pas réussi à m'immerger dans ce récit... Peut-être en avais-je trop d'attentes ?
Car les thématiques abordées avaient pourtant tout pour me captiver.
Mais j'ai trouvé ce roman trop misérabiliste. A mon sens, l'accumulation de "pathos" allait au-delà du vraisemblable, alors que je m'attendais à une histoire plus réaliste et crédible.
J'ai vraiment été gênée par l'aspect très caricatural des situations et des personnages, et surtout par beaucoup trop d'invraisemblances, de contradictions et d'inexactitudes (entre autres concernant l'évolution de la maladie d'Émile et son encadrement légal, qui repose ici sur une base erronée juridiquement, alors qu'elle constitue pourtant le socle de l'histoire).
Sans doute me suis-je trop focalisée sur ces différents points, ce qui a soulevé chez moi une certaine défiance quant à l'authenticité et la crédibilité du récit.
Je n'ai malheureusement pas non plus été séduite par la plume, que j'ai trouvée plutôt hétérogène et impersonnelle, avec de nombreuses répétitions (et coquilles) alourdissant le récit (sans parler de certains passages vraiment trop ressemblants à ceux de brochures d'offices du tourisme...). Il m'a aussi manqué une véritable étincelle pour animer le texte et me permettre de vibrer et m'émouvoir sincèrement.
Vous l'aurez compris, malgré un scénario de base original, ce roman me laisse au final un sentiment bien mitigé.
Et en parlant de final... bien qu'émouvant, je l'ai trouvé tellement improbable... À l'image du reste du roman, en somme, qui ne m'a pas permis de m'identifier un instant, ni aux situations, ni aux personnages. le manque de plausibilité, c'est vraiment le reproche principal que je ferais à ce livre.
J'envie les lecteurs qui l'ont adoré, qui ont su y trouver du réalisme, de l'émotion, de la poésie et une jolie plume. Car j'ai juste l'impression de ne pas avoir lu le même ouvrage et d'être totalement passée à côté du charme de cette histoire.
Sans doute n'étais-je pas la cible, sans doute mes attentes étaient-elles trop différentes...
(Avis remanié le 01/08/2021).
Une demi étoile pour la couverture…
Une aberration littéraire aussi ennuyeuse que vide de sens.
Des personnages sans grandes qualités si ce n'est leur objectif, une fin prévisible et des descriptions soporifiques à n'en plus finir.
840 pages pour décourager le lecteur débutant, pour faire fuir les passionnés de littérature classique !
Par compassion je l'ai donné à mon fils qui après 15 pages me le rend en me disant: c'est écrit comme ça parle et ça parle trop pour pas grand chose …
La vérité sort elle toujours de la bouche des enfants ?
Vous avez 1h !
Pour les babelionautes hargneux de voir que je n'ai pas suivi l'auteure dans sont road trip merci d'éviter toutes attaques ou commentaires vindicatifs, nous ne sommes pas sur un forum.
Mais quelle déception ! Tout avait bien commencé. Je suis bien entrée dans cette histoire originale. le style, sans prétention se lit bien.
Mais ça, c'était au début. Progressivement tout se gate, le style devient de plus en plus lourd avec des expressions et descriptions qui se répètent de manière ridicule (le regard insolent de Laura, le morveux, son petit, les cheveux qui sentent le miel et la terre). N'y a-t-il pas un travail d'édition pour limiter ce genre de choses ? Un dictionnaire des synonyme aurait beaucoup apporté.
S'il n'y avait que ça, ça irait. le problème c'est que ce livre est construit sur des invraisemblances qui m'ont totalement dégoutées de ce livre. Je me suis forcée à le finir parce-que je voulais connaître la fin mais j'ai l'impression d'avoir gâchée des instants de vie. On ne peut pas écrire un livre sur Alzheimer sans faire un minimum de recherche !
Vous l'aurez compris, j'ai absolument détesté ce livre qui aurait pu être bon mais qui insulte les arbres abattus pour l'imprimer.
Mais ça, c'était au début. Progressivement tout se gate, le style devient de plus en plus lourd avec des expressions et descriptions qui se répètent de manière ridicule (le regard insolent de Laura, le morveux, son petit, les cheveux qui sentent le miel et la terre). N'y a-t-il pas un travail d'édition pour limiter ce genre de choses ? Un dictionnaire des synonyme aurait beaucoup apporté.
S'il n'y avait que ça, ça irait. le problème c'est que ce livre est construit sur des invraisemblances qui m'ont totalement dégoutées de ce livre. Je me suis forcée à le finir parce-que je voulais connaître la fin mais j'ai l'impression d'avoir gâchée des instants de vie. On ne peut pas écrire un livre sur Alzheimer sans faire un minimum de recherche !
Vous l'aurez compris, j'ai absolument détesté ce livre qui aurait pu être bon mais qui insulte les arbres abattus pour l'imprimer.
Sensiblerie horripilante, mais le livre s'est avéré être un bon guide de voyage pendant mes vacances en Pyrénées orientales
Livre commencé il y a quelques jours. Aucun intérêt jusque-là. Je ne sais si je dois insister
Déjà dix fois qu'on me demande si j'ai adooooré ce livre. Suite à un défi, j'ai enfin lu ce bouquin et le moins qu'on puisse dire, c'est que je n'ai pas adooooré.
L'idée de départ est séduisante mais ça se corse vite. le meilleur ami d'enfance est un ex « petit rondouillard » qui après un bon régime devient enfin séduisant et trouve l'amour. Ahhhh. L'ex est une peste genre attachiante, on se croirait dans Cosmo, ah mais non, on cite Proust, Stendhal et aussi beaucoup plus souvent Coelho.
La copine pratique la méditation en pleine conscience (comment faire son deuil en dix leçons), aime les chats, connait la permaculture et même les spirales d'aromatiques, atterrira dans un éco hameau, est végétarienne mais tout le monde lui sert de la viande et ça la rend triste. C'est bon, on a coché toutes les cases ou presque ?
On rajoute un style inexistant, des personnages caricaturaux, une intrigue cousue de fil blanc et propre à faire pleurer Margot dans les chaumières.
La prochaine fois qu'on me demande si j'ai adoooooré un livre, je réponds oh oui moi aussi.
L'idée de départ est séduisante mais ça se corse vite. le meilleur ami d'enfance est un ex « petit rondouillard » qui après un bon régime devient enfin séduisant et trouve l'amour. Ahhhh. L'ex est une peste genre attachiante, on se croirait dans Cosmo, ah mais non, on cite Proust, Stendhal et aussi beaucoup plus souvent Coelho.
La copine pratique la méditation en pleine conscience (comment faire son deuil en dix leçons), aime les chats, connait la permaculture et même les spirales d'aromatiques, atterrira dans un éco hameau, est végétarienne mais tout le monde lui sert de la viande et ça la rend triste. C'est bon, on a coché toutes les cases ou presque ?
On rajoute un style inexistant, des personnages caricaturaux, une intrigue cousue de fil blanc et propre à faire pleurer Margot dans les chaumières.
La prochaine fois qu'on me demande si j'ai adoooooré un livre, je réponds oh oui moi aussi.
Je vais être claire et directe J'ai détesté. (je ne vous spoile pas, vous avez vu la note que je lui ai attribué.)
Au bout de 80 pages, je voulais laisser tomber et puis sur les groupes de lectures, on m'a dit : tient le coup jusqu'à 180 pages après ça démarre.
Ah, il faut quand même dire qu'il fait plus de 800 pages ce roman.
J'ai eu plusieurs problèmes avec ce livre :
- L'écriture qui est d'une pauvreté absolue : Des phrases courtes, sujet-verbe-complément. Aucune profondeur. Des dialogues sans intérêts.
- Des paragraphes entiers qui parlent de choses sans intérêt comme la cuisson du riz, la manière de couper les tomates, les crudités.
- Les répétions : On nous rabâche les mêmes choses. Sur plusieurs pages à la suite, on nous dit que Joanne est très lente dans ses mouvements : elle coupe les tomates lentement. Elle marche avec lenteur.
- La longueur du livre. J'ai tenu 200 pages mais ça faisait déjà un moment que je sautais des paragraphes et honnêtement, je ne me voyais pas faire ça encore 630 pages.
De plus, pour moi, à part les romans fantasy/fantastiques, où l'on crée un univers, un système de magie, des créatures, je ne vois pas vraiment l'intérêt de pondre autant de pages. Il y a quelques exceptions, comme la saga des 7 soeurs De Lucinda Riley, que je vous invite à découvrir et que nous parle à chaque fois de deux vies, deux époques, deux histoires.
Franchement, l'idée de départ me plaisait beaucoup mais c'est un fail.
Dans les commentaires que j'ai pu voir sur facebook, j'ai remarqué que soit les gens avaient surkiffé ce roman soit ils l'avaient abandonné.
Au bout de 80 pages, je voulais laisser tomber et puis sur les groupes de lectures, on m'a dit : tient le coup jusqu'à 180 pages après ça démarre.
Ah, il faut quand même dire qu'il fait plus de 800 pages ce roman.
J'ai eu plusieurs problèmes avec ce livre :
- L'écriture qui est d'une pauvreté absolue : Des phrases courtes, sujet-verbe-complément. Aucune profondeur. Des dialogues sans intérêts.
- Des paragraphes entiers qui parlent de choses sans intérêt comme la cuisson du riz, la manière de couper les tomates, les crudités.
- Les répétions : On nous rabâche les mêmes choses. Sur plusieurs pages à la suite, on nous dit que Joanne est très lente dans ses mouvements : elle coupe les tomates lentement. Elle marche avec lenteur.
- La longueur du livre. J'ai tenu 200 pages mais ça faisait déjà un moment que je sautais des paragraphes et honnêtement, je ne me voyais pas faire ça encore 630 pages.
De plus, pour moi, à part les romans fantasy/fantastiques, où l'on crée un univers, un système de magie, des créatures, je ne vois pas vraiment l'intérêt de pondre autant de pages. Il y a quelques exceptions, comme la saga des 7 soeurs De Lucinda Riley, que je vous invite à découvrir et que nous parle à chaque fois de deux vies, deux époques, deux histoires.
Franchement, l'idée de départ me plaisait beaucoup mais c'est un fail.
Dans les commentaires que j'ai pu voir sur facebook, j'ai remarqué que soit les gens avaient surkiffé ce roman soit ils l'avaient abandonné.
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Mélissa Da Costa (11)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Connaissez-vous Tout le bleu du ciel de Melissa Da Costa?
Une vieille dame un peu seule...
Germaine
Hortense
Sidonie
Myrtille
5 questions
161 lecteurs ont répondu
Thème : Tout le bleu du ciel de
Mélissa Da CostaCréer un quiz sur ce livre161 lecteurs ont répondu