Pauvre Tina ! Tu frottes et tu astiques, toi qui l'an dernier encore, dans ton beau pays, montait les chevaux du grand-père Szép. Mais le malheur est passé, tu as dû fuir la Hongrie, et te voilà réfugiée à Paris, à Paris où avant de trouver un nouveau foyer tu t'occupes du foyer des autres.
" Faites attention aux coupes de cristal !... Le chat ne mange que du foie de génisse... Voulez-vous me prendre deux côtelettes de veau ?... Merci beaucoup, Tina !... ">Voir plus
la soûlerie du matin cuvée à midi et repincée le soir, les tournées de ...?... se succédant, se perdant dans la nuit, pareilles aux lampions d’une fête.
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