C'est un petit roman (150 pages) où se croisent de nombreux personnages aux origines et motivations diverses. Et c'est justement cette multitude qui m'a perturbée au début de la lecture. Il m'a fallu du temps pour bien situer chacun d'entre eux.
L'histoire est écrite dans un style sobre et on suit le parcours de chacun jusqu'à comprendre l'événement qui va modifier leur existence.
Une histoire sympathique qui me donne envie de découvrir les autres romans de cette trilogie se déroulant dans la ville imaginaire de Portosera.
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Comme les deux autres romans de l'auteur beaucoup d'histoires parallèles mais ici un personnage revient de manière plus approfondie que les autres. Des gens et des vies qui passent dans le décor de la ville imaginaire de Portosera.
A lire un après-midi sur une place au soleil !
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Ce roman nous montre que toutes nos actions, même les plus insignifiantes, ont des conséquences sur notre vie mais aussi sur celle des gens qui nous entourent. Cela peut partir d'une simple petite phrase, sans même qu'on s'en rende compte....
C'est bien écrit, l'histoire est sympathique. On y croise plein de personnages dont la vie va changer alors qu'ils ne s'y attendent pas.
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Elle s'aperçoit ce soir que, partager la vie de quelqu'un, c'est un état permanent. C'en serait presque encombrant. Elle ne sait pas où il est, elle ne sait pas ce qu'il fait, et son absence prend toute la place.
9 # Jean-François Dauven
Amoureux des villes, Jean-François Dauven a créé de toutes pièces une cité méditerranéenne imaginaire, Portosera, héroïne de ses deux premiers romans, «le Manuscrit de Portosera la rouge» (Ramsey 2006, J'ai lu 2008) et «Le Soliste» (Ramsey 2007, J'ai lu 2009). Portosera est présente, aux côtés de neuf autres villes bien réelles, dans son troisième roman, «Ceux qui marchent dans les villes» (Flammarion 2009).