La femme qui ne vieillissait pas

Je ne peux pas dire que ce livre m'a passionnée mais j'en ai bien aimé la simplicité et son aspect bien écrit, presque académique pour aborder l'âge, l'amour, le temps qui passe, la vieillesse...

roman contemporain ...
La vie d'une femme, de sa naissance à sa vieillesse ^^ avec, disons une pause de ses 30 ans jusqu'à ses 63 ans où elle ne vieillit pas ;) le rêve de toutes les femmes !!! Sauf que, confrontée à la réalité de ne pas vieillir, Betty va vivre les conséquences ! sa séparation avec son mari, l'éloignement de son fils, etc ... Bref n'oublions jamais que vieillir est une victoire !!!

très déçue par ce roman alors que j'adore cet auteur qui écrit si bien sur les femmes. Un conte qui ne m'a pas convaincu. La narratrice très belle, arrête de vieillir physiquement à 30 ans, alors que sa mère est morte à 35 ans. Mais, si son apparence ne change pas, ses organes vieillissent. Elle se retrouve décalée face à l'homme qui l'aime qui, alors que beaucoup d'hommes seraient ravis d'avoir pour toujours une jeune femme à ses côtés, n'accepte pas la différence d'âge qui se creuse... et elle non plus, à force de ne plus correspondre à son vieillissement mental. Tout fini bien mais c'est court, écrit gros et vraiment aucune empathie avec tout ça

De Grégoire Delacourt, j'ai déjà « La liste de mes envies » qui m'avait franchement déçue et ennuyée et « Les quatre saisons de l'été » que j'avais adoré. de quel côté vais-je placer « La femme qui ne vieillissait pas » ? Et bien , plutôt avec le premier livre.
J'ai eu beaucoup de mal avec le style de l'auteur et ses phrases interminables, pleines de virgules et de point-virgules. Cela donne un rythme trop nonchalant, trop indolent, à une histoire qui se prête déjà peu aux rebondissements haletants. Mais où donc Grégoire Delacourt veut nous emmener ? A une fin, somme toute, assez prévisible.
Quelques jolies phrases parsèment, néanmoins, ce court roman aux accents très réalistes puisqu'il aborde un grand travers de notre société : l'immense importance du paraître.
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Impossible de perseverer pourtant jai essayé ... desolee mais je n'accroche pas avec son style .

Déjà je n'avais pas été passionnée par « la liste de mes envies » , mais ce roman est une vraie déception, de celles qui me font fuir les auteurs français. Non, pourtant, ce n'est pas une de ces habituelles autofiction, mais ni le sujet ni la façon dont il est traité n'ont réussi à m'intéresser. Je résume rapidement, la mort accidentelle de sa mère fait de Martine alias « Betty » une enfant élevée par un père trop porté sur la bouteille. Elle grandira cahin-caha jusqu'à l'âge où sa mère est morte, puis son apparence se figera dans une éternelle jeunesse extérieure. Elle restera à jamais une jeune femme de trente cinq ans. Et commence alors une vie étrange qui ne lui apporte aucun bonheur mais au contraire que des problèmes : une séparation, la perte de son emploi, l'éloignement de ses amies. À travers de courts chapitres, de paragraphes encore plus courts, les années s'envolent très vite, on voit passer soixante de vie sans que rien n'accroche l'intérêt. Les personnages secondaires sont, cependant plus intéressants, on imagine bien son père estropié pendant la guerre d'Algérie et sa compagne qui se réconfortent l'un l'autre des blessures de la vie. L'amour d'André et de Betty est totalement irréaliste, il me fait penser irrésistiblement à la BD de Fabcaro : « Si l'amour c'était d'aimer », et tant pis pour les « antidivulgâcheuse », il résistera à toutes les vicissitudes de la vie.
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