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sur 228 notes
Dès les premières pages, Sonja Delzongle nous plonge dans une atmosphère sombre et électrisante. D'emblée ce sont quatre scènes de crime et sept victimes foudroyées lors d'un violent orage qui sont découvertes. le dossier des foudroyés est confié au capitaine Max Fontaine de la PJ de la Rochelle. S'ensuit une enquête complexe pire qu'une toile d'araignée avec des ramifications à n'en plus finir. de quoi faire perdre pied à n'importe quel enquêteur. Entre la pression des grandes pontes de la région et celle de sa hiérarchie, Fontaine n'a pas fini de vivre des moments difficiles.

Sonja Delzongle a pris le parti de nous laisser le point de vue du capitaine de police en charge de l'enquête. Max Fontaine est un policier atypique, née femme, il est devenu homme par amour pour sa compagne. Une relation qui lui apparaissait comme belle et sans nuage, jusqu'à ce qu'Elsa le quitte.

Noir comme l'orage est un polar complexe, finement mené par l'autrice, même si les pistes, les personnages sont tellement multiples (à l'image du nombre de victime de l'orage du 21 juin 2025) que l'on se demande bien comment un lien va être fait pour démêler cette pelote de laine.

Les chapitres sont courts, dynamiques, rythmés et apportent leur lot de révélations, d'interrogations laissant le lecteur en haleine et le poussant à tourner frénétiquement les pages pour découvrir la suite. Dès les premières pages, nous sommes happés par le rythme effréné de l'enquête et touché par le protagoniste, Max Fontaine.

J'ai littéralement dévoré Noir comme l'orage, renouant avec le plaisir des premiers romans de Sonja Delzongle, sa plume si fluide et captivante. Un beau coup de coeur pour cette enquête complexe et sombre tout comme pour le capitaine Fontaine.
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Quatre scènes de crime. Sept victimes. Une seule arme : la foudre.

Alors rien que cette première phrase me donne envie de lire ce roman et je dois dire que j'ai adoré

Nous allons suivre le capitaine Max Fontaine sur l'enquête des foudroyés mais trouver les liens entre-eux pour remonter à l'assassin ne va pas s'avérer facile.

Malgré les 556 pages, je n'ai pas trouvé de longueurs et ça c'est rare ! Je n'ai pas vu défiler les pages de ce roman tellement addictif, je râlais même un peu quand j'étais obligée de le poser pour faire autre chose. Un autre point positif, on est directement dans l'action et que j'aime ça !


Les chapitres courts apportent un rythme haletant et à chaque fin de chapitre l'envie de lire le suivant pour avancer dans cette enquête.

La plume de l'auteure est addictive, recherchée, fluide, machiavélique, visuelle. Elle aime nous retourner le cerveau, nous mener sur des fausses pistes, nous faire douter.

L'ambiance est oppressante. Les personnages sont très bien travaillés, j'ai eu l'impression de faire partie de l'équipe de recherche et qu'est-ce que mon cerveau a carburé pour démêler les indices et fausses pistes.

Les paysages sont presque réels, on s'y croirait. On sent les recherches sur la météo, les orages, les chasseurs d'orage et j'ai presque envie de tenter l'expérience !

Une adaptation de ce roman en film pourrait être génialissime !

C'est mon premier livre de cette auteure mais il ne sera pas le dernier, je suis fan.

Si vous rechercher un polar avec une intrigue et une arme du crime hors du commun, le tout écrit avec une plume visuelle et addictive, je vous recommande fortement celui-ci !


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Merci à Netgalley et aux éditions Fleuve pour cette lecture. Je me rappelle souvent avec beaucoup de bonnes pensées, la découverte qui fut la mienne du premier roman de Sonja Delzongle "Dust" et depuis, elle fait partie de mon paysage polar habituel, aussi j'attends chacun de ces nouveaux polars avec impatience. Verdict? 

Pour bien commencer, je suis entrée dans ce roman convaincue que son pitch était fait pour moi. Passionnée de météo et de phénomènes extrêmes depuis longtemps, un thriller dont les victimes sont tuées par la foudre, cela avait tout pour me plaire. Nous voici donc projetés sur la côté Atlantique et plus précisément entre La Rochelle, l'île de Ré, celle d'Olèron et d'autres alentours, où de multiples victimes sont découvertes attachées dans des sarcophages d'aluminium et foudroyées.

Le capitaine Max Fontaine, flic en pleine dérive personnelle, va devoir mener une enquête très originale, n'hésitant pas à se confronter aux hommes tout comme à la nature, pour identifier l'esprit tordu qui est derrière un tel scénario....

Ne nous cachons pas la réalité, ce polar défile à vitesse grand V. Les événements et les révélations se succèdent de manière tellement effrénés que l'on ne s'ennuie à aucun moment, ce qui pour moi présente des avantages mais un grand inconvénient. Car certes cela donne envie de dévorer les pages les unes après les autres, mais on a aussi l'impression parfois de ne pas approfondir certaines pistes ou certains personnages parce qu'il faut vite avancer. C'est donc dommage... D'un autre côté on a aucune peine à imaginer une scénographie, qui rend ce roman tellement visuel qu'il ferait bien un bon film d'action pourquoi pas. 

Concernant l'intrigue, j'ai beaucoup aimé l'idée de départ, comme exprimé plus haut. Ce mélange entre la folie des hommes, et le caractère incontrôlable de la foudre apporte une dimension forte à un récit déjà survolté. on retrouve chez l'autrice la recherche du détail à laquelle elle nous a habitué dans ces précédents romans, avec des connaissances qui ont du lui demander de la recherche. 

J'ai beaucoup aimé les personnages également: de l'enquêteur transgenre en pleine crise de couple, à la jeune survivante qui présente des troubles psychiques, en passant par les administrateurs d'un centre de foudroyés, j'ai trouvé la galerie proposée très intéressante.

Mais, car il y a a un mais.... à force de vouloir aller vite, et de vouloir donner une sensation de tension et de montée crescendo, je suis restée un peu sur ma faim avec la conclusion du récit, que j'ai trouvé finalement pas assez exploitée. A mon sens de tels personnages auraient peut être mérités une clôture plus satisfaisante, mais ce n'est que mon avis. 

Un polar malgré tout très réussi que je conseille aux amateurs (sauf si les orages vous font peur...)
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« Noir comme l'orage » de Sonja Delzongle. Editions Fleuve Noir.

Dans ce nouveau thriller de Sonja Delzongle bienvenue dans le monde des fulgurés. Exit les îles d'Oléron, de Ré, d'Aix et de Madame, paradis des estivants à la recherche de soleil, d'air marin et de plateaux de coquillages. Ici nous sommes sur des îles frappées par de violents orages où les risques de foudroiement peuvent survenir à tout moment, des îles balayées par le vent des tempêtes.
Sur ces îles les victimes s'accumulent, pas moins de 7 dés les premières pages du roman mais ici c'est le modus operandi qui interroge : c'est la foudre qui tue les soirs d'orage mais elle a un complice bien sur qui attache les victimes à des poteaux ou à des croix après les avoir entourés de papier d'aluminium, le ton est donné ! Pour mener l'enquête nous suivons Max Fontaine, un flic atypique dont on découvre rapidement le secret.
J'ai retrouvé avec plaisir la plume de Sonja Delzlongle, les chapitres courts, rythmés, les personnages bien dessinés à la psychologie fouillée, très nombreux dans ce thriller qui met l'aspect humain à l'honneur. Comme à son habitude l'autrice nous perd dans une double enquête complexe et tentaculaire, avec de nombreuses victimes et de nombreux suspects, en prenant le soin de disséminer des indices avec parcimonie tout au long de ce jeu de piste. L'atmosphère est oppressante, anxiogène et sombre, la plume extrêmement visuelle nous transporte sur les lieux, on pourrait presque voir les éclairs.
J'ai découvert un univers que je ne connaissais pas celui de la kéraunopathologie, des foudroyés, des fulgurés, des chasseurs d'orage, une mine d'informations sans jamais se transformer en un livre de science. La place accordée à la nature qui devient presque un personnage à part entière est capitale.
Même si je n'ai pas eu de coup de coeur comme pour « Thanatea » j'ai lu avec plaisir les 560 pages de ce polar porté par une intrigue bien construite. Après ça oserez-vous sortir les soirs d'orage ?
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Quand l'expression « coup de foudre » prend tout son sens...

2025. Une île, un orage, 4 scènes de crimes et 7 cadavres.

À Oléron, le capitaine Max Fontaine est appelé à enquêter sur des meurtres au mode opératoire pour le moins surprenant, puisque le(s) tueur(s) a/ont utilisé la foudre ! Dans leurs cocons d'aluminium, accrochées à des poteaux conducteurs d'électricité, les victimes n'ont eu aucune chance. Max va devoir se rapprocher de spécialistes hors du commun, chasseurs d'orage ou kéraunopathologistes (étude des conséquences de la foudre sur des victimes survivantes).
En parallèle, Max se retrouve à enquêter sur le meurtre de son ex-compagne ainsi que sur un accident de la route vieux de 20 ans.
Et si tout cela était lié ?

Ce roman est à l'image de la foudre, rapide et inattendu. Aucun temps mort, un incipit in medias res qui donne à peine le temps de digérer une information qu'une autre apparaît. Un récit sportif, donc, dont le protagoniste est torturé et borderline. On en a vu d'autres, des torturés, de Sharko à Servaz, de Coste à Adamsberg, mais Max ajoute une dimension nouvelle : la transidentité.
Née Maxence, le capitaine Fontaine doit composer avec une histoire personnelle complexe et source de difficultés et rejets au quotidien. Qui plus est dans un milieu aussi masculin que les forces de l'ordre, bien que les choses évoluent...

Ce parti-pris résolument moderne permet d'évoquer la vie concrète et les questionnements intérieurs d'une personne transgenre, ses relations avec autrui, ses difficultés d'acceptation de soi-même, aussi. N'étant pas transgenre, je ne peux imaginer les troubles intérieurs, mais le traitement de la psychologie du personnage m'a semblé pertinent.

L'intrigue fonctionne bien, avec son lot de rebondissements et de surprises. Pas évident toutefois de jongler d'une enquête à l'autre, les nombreux personnages m'ont parfois un peu perdue mais l'écriture astucieuse permet de retrouver le fil.

Bilan :
Un roman musclé à l'intrigue originale, qui embarque le lecteur dans une chasse intensive. Après Thanatéa, Sonja Delzongle confirme son statut de « polardeuse » diablement efficace.
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"Noir comme l'orage" de Sonja Delzongle nous plonge dans une histoire vertigineuse, sombre et orageuse, où les nuances de noir et les éclairs de l'orage se mêlent pour former un tableau complexe et captivant. On se retrouve vite happé par le personnage de Max, la complexité des crimes et la noirceur psychologique de Ben, le tout encadré par une couverture évocatrice qui annonce la tempête à venir.

L'utilisation des termes "noir" et "orageux" s'étend au-delà de la couverture du livre, créant une métaphore puissante. En effet, au départ, on pourrait penser que l'intrigue tourne autour du titre et de la couverture, mais rapidement, on réalise que l'un ne va pas sans l'autre.

L'auteure réussit brillamment à explorer la complexité humaine, les passions, les dérives, les douleurs, et les relations allant de la fidélité à l'amitié jusqu'à la trahison. Chaque élément de l'histoire est astucieusement placé, et les pages s'enchaînent de manière addictive, créant un désir irrésistible de découvrir la vérité au milieu de cette tempête narrative.

Sonja Delzongle dévoile avec maestria les passions qui animent ses personnages, et cette intensité se ressent profondément chez le lecteur. L'auteure se surpasse avec ce roman, offrant une oeuvre d'une grande qualité qui séduit et captive du début à la fin. Les éloges vont à l'auteure pour son talent indéniable à créer une atmosphère immersive et à explorer les méandres de la psyché humaine.

L'intrigue elle-même, avec ses quatre scènes de crime, ses sept victimes foudroyées et un seul mode opératoire, crée un mystère captivant. le capitaine Max Fontaine, au coeur de l'enquête, se révèle être un protagoniste complexe, confronté à des défis personnels poignants, ajoutant une des nombreuses couches émotionnelles supplémentaire à l'histoire.

En conclusion, "Noir comme l'orage" est une oeuvre à la fois puissante et captivante. Sonja Delzongle réussit à nous emporter dans une tempête d'émotions, de mystère et de révélations, confirmant son statut d'auteure talentueuse.

Bravo et merci pour cette expérience littéraire intense et mémorable.
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Le nouveau roman de Sonja Delzongle propose aux lecteurs de se plonger dans une série de meurtres, donc l'arme du crime, est pour le moins qu'on puisse dire, originale. Plusieurs morts sont retrouvés, assassinés avec la foudre des violents orages de la veille au soir.
Autant vous rassurer de suite, vous n'allez pas croiser Zeus, ou le marteau de Thor, l'auteure lyonnaise reste fidèle au thriller, ce n'est pas un livre de mythologie, ou de science-fiction. C'est justement là que l'idée de la foudre est géniale, car forcément on se laisse immédiatement emporter dans l'histoire, et le cerveau affuté du lecteur commence à échafauder des hypothèses.

Comme pour apporter encore plus de sel, une deuxième intrigue vient mettre du piment dans tout ce capharnaüm, histoire de bien brouiller les pistes des plus malins qui pense avoir compris ce qui se passe. le dénouement est une réussite, et fait de ce roman une réussite.

Il y a aussi, au passage, un petit message écolo entre les lignes, qui permet peut-être un peu de se rappeler que notre planète devrait être un peu plus respectée, car elle se meurt.

J'ai particulièrement apprécié deux personnages, Max et Thomas. Leur psychologie est particulièrement bien travaillée, et on s'attache à eux.

Vous l'aurez deviné, je ne peux que vous conseiller cette lecture.

Merci NetGalley et aux éditions Fleuve pour cette lecture
#Noircommelorage #NetGalleyFrance
Lien : https://marcdonnedesnouvelle..
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Noir comme l'orage, la dernière toile de maître tissée par Sonja Delzongle, nous conduit au coeur d'un labyrinthe où l'intrigue policière et la profonde quête personnelle de son personnage principal, Max Fontaine, forment un orage littéraire captivant.
Sur l'ile d'Oléron, alors que les éléments se déchaînent dans le ciel, sur terre se répercute une série de crimes électrisants où la foudre devient l'instrument d'un tueur insaisissable.
L'ouvrage ouvre sur des scènes de crime d'une théâtralité macabre – sept victimes luisantes sous un ciel exsangue, chaque corps constituant une énigme et un hommage à la puissance impitoyable de la nature. C'est dans cette atmosphère surchargée que Max Fontaine fait son entrée, sa silhouette se découpant contre un fond de tourmente autant climatique qu'intérieure.
Delzongle nous livre un Max Fontaine complexe, aux multiples facettes. le capitaine de police se trouve à la croisée des chemins, luttant pour assembler les morceaux d'un puzzle sanglant tout en naviguant dans le dédale de sa propre identité. La perspicacité de Fontaine en tant qu'enquêteur est mise à l'épreuve, affûtée par ses propres expériences de vie qui restent soigneusement voilées, conférant à sa quête une résonance personnelle palpable.
La force de ce roman réside dans l'équilibre savamment orchestré entre l'urgence de résoudre un cas troublant et la dimension humaine de son protagoniste. Delzongle ne néglige ni la tension du thriller, ni la complexité d'une identité que Max, à l'instar des icônes modernes, porte avec une combinaison d'assurance et de vulnérabilité. L'auteure fait preuve d'une habileté narrative dans sa manière de glisser dans son roman une autre histoire, une bataille plus discrète se jouant loin des recherches et de la traque du criminel.
Avec une plume d'une précision implacable, Delzongle compose des scènes qui semblent presque cinématographiques, des descriptions vibrantes qui font résonner le grondement des cieux avec chaque battement de coeur. L'ambiance est tendue à souhait, chaque éclair est un fil d'Ariane dans l'obscurité, menant le lecteur de révélation en révélation.
Noir comme l'orage est donc cette rare foudre qui frappe juste, intégrant subtilement les luttes intérieures de son personnage dans le tissu d'un thriller passionnant. Sonja Delzongle démontre une fois de plus qu'elle est maîtresse en la matière pour fusionner humanité profonde et intrigue haletante pour un résultat qui est tout à la fois émouvant et exaltant.
En refermant ce roman, le lecteur reste suspendu entre deux mondes – celui du suspense insoutenable et celui de l'intimité bouleversante avec un Max Fontaine inoubliable. Ce que Delzongle parvient admirablement à réaliser avec Noir comme l'orage, c'est la création d'un récit où chaque coup de tonnerre et chaque frémissement du coeur s'unissent pour créer une symphonie littéraire que l'on n'est pas prêt d'oublier.
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Depuis le temps que ses romans me faisaient de l'oeil, j'ai enfin découvert Sonja Delzongle!

J'ai beaucoup aimé son style, c'est fluide, et on rentre très facilement dans l'histoire. Quelle idée géniale et originale que cette arme du crime qui est la foudre! Cela m'a permis d'en apprendre plus sur les fulgurés, ces personnes frappées par la foudre et qui peuvent développer des capacités cérébrales augmentées.

Le roman est plutôt long, 560 pages, je ne me suis pas ennuyée du tout même si j'avoue que l'histoire secondaire concernant la vie privée du capitaine Max Fontaine n'était pas la partie la plus intéressante. Malgré tout, je l'ai trouvé attachant ce flic et j'ai aimé la façon dont il menait son enquête, la proximité qu'il nouait avec l'entourage des victimes. Il peut compter sur le soutien sans faille de son collègue Thomas, leur relation de confiance et d'amitié est très forte.

Je remercie @fleuve_editions et @netgalleyfrance pour l'envoi.
Thanatea, le précédent roman de l'autrice, m'attend dans ma PAL, j'ai hâte de m'y plonger!
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Pas mal, pas mal. Mais ! Beaucoup de détails m'ont rendu cette lecture un peu agaçante. D'abord, la 2eme enquête qui n'a pas grand intérêt, sinon nous perdre. le fait que le personnage principal ait envie de sauter sur tout ce qui bouge, malgré ce qui vient de lui arriver. Certaines questions qui resteront sans réponse. Des personnages qui semblent tous frappés par des drames terribles. Et une fin plutôt décevante concernant le motif de tous ces meurtres.
Bref, j'ai passé un bon moment en lisant ce livre car l'histoire est originale mais je pense qu'il y avait moyen de le rendre plus fluide, et donc plus agréable.
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