Noir comme l'orage

Noir comme l'orage est le dernier roman en date de Sonja Delzongle, sorti en début d'année. Une auteure dont j'ai lu presque tous les thrillers (ne me reste plus que Abîmes à lire) , et même si je ne les trouve pas tous égaux, j'ai toujours plaisir à ouvrir la première page de ces romans qui ont tous une touche d'originalité , notamment concernant les thématiques.
Son petit nouveau ne m'aura malheureusement pas convaincu .
Si l'intrigue comporte une fois de plus de l'originalité , à travers la thématique des orages et de la foudre et aussi du personnage principal, j'ai trouvé l'intrigue assez confuse , qui aurait plus être plus simple et surtout plus courte . En effet , le roman fait plus de 500 pages, mais n'évite pas les longueurs, Une enquête qui va un peu dans tous les sens , qui multiplie les fausses pistes mais qui m'a perdue .
Ca manquait de fluidité et c'est dommage car le début était vraiment prometteur , avec la découverte de plusieurs personnes ( dont des enfants) attachées à un pieu, et mortes foudroyées une mise en bouche spectaculaire donc , mais qui s'est vite perdue au milieu des nombreux personnages
L'enquête est menée par Max, un flic qui pour le coup sort de l'ordinaire, qui a un passé difficile ( ça c'est trop classique ) mais aussi un présent vraiment compliqué, il vient de faire un choix radical ( le lecteur l'apprend rapidement mais je vous laisse le découvrir , par amour , un choix irréversible , qu'il a fait pour de mauvaises raisons
Il va de voir gérer une vie personnelle très compliquée , en plus de mener une enquête mouvementée , et les morts vont se multipliées , dont certaines vont le toucher de très près S'il peut compter sur le soutien d'un de ses collègues et de son patron ( les seuls à être au courant de son secret) , une autre de ses collègues va lui mettre des bâtons dans les roues
La vie personnelle de Max prend je trouve beaucoup de place L'intrigue centrée autour ne m'a vraiment pas passionnée , presque sans
J'ai trouvé le héros un peu trop larmoyant, et qui enchaine vite les coups de foudre
Certains personnages secondaires sont trop caricaturaux
Quant au dénouement final , il n'est pas très surprenant,qui a un air de " tout ça pour ça"
Par contre, la scène finale est complétement inutile, et franchement invraisemblable , tellement que risible Je ne mâche pas mes mots, mais c'est vraiment le sentiment que j'ai eu
J'ai bien aimé l'écriture, pas de surprise à ce niveau ( heureusement)
Lecture très mitigée donc , qui sera loin d'être un coup de foudre , qui ne me découragera pas pour continuer à lire une auteure vraiment sympathique , et qui ose proposer quelque chose de différent , que ça plaise ou non ( ici une scène de crime , une thématique principale originaux , et un personnage principal atypique )

Il est rare que j'apprécie les livres qui font plus de 450 pages ; je crains toujours de m'ennuyer si l'histoire n'est pas à la hauteur, si le rythme s'en trouve ralenti par des descriptions à n'en plus finir.
« Noir comme l'orage » de Sonja Delzongle ne fait pas exception, malheureusement !
Pourtant tout commence admirablement bien ; plusieurs cadavres sont retrouvés accrochés à des sortes de paratonnerres et à différents endroits du grand Oléron.
Morts la même nuit d'orage.
Un inspecteur un peu étrange (ce qui est étrange était que je venais de finir « L'enfermée » de Jacques Saussey) mais incroyablement compétant, est mis sur l'affaire et l'histoire commence sur les chapeaux de roue. L'enquête part dans tous les sens sur un rythme soutenu.
Et puis aux alentours de la page 90, le soufflé retombe. Mais que va-t-on faire pendant les plus de 440 pages restantes ? Et c'est là, que pour moi, l'autrice s'égare un peu dans d'autres enquêtes parallèles qui verront leur utilité dans le dernier quart du livre mais, en attendant, il faut se farcir plus de 250 pages (1 bon livre, quoi !) d'errance, de passages même romantiques, d'enquêtes qui ne nous égarent même pas sur de fausses pistes dont une qui pour moi n'apporte rien à l'histoire (ça c'est mon avis personnel).
Un « ventre mou » assez conséquent qui permet malgré tout un survol de différents sujets qui je le suppose, sont chers à l'autrice.
J'attends donc avec impatience le twist final ! La fin qui va enfin dévoiler le fin fond de l'histoire !
Et là aussi patatras, c'est l'embardée ! Pas de twist final qui vous fait dire « Et ben ça alors ! »
Une fin « logique » mais sans éclat. Dommage !

Hélas,pour moi,c'est un avis mitigé que je vais faire.
Commençons par le meilleur, j'ai adoré la plume ainsi que l'écriture page-turner de cette histoire. Un chapitre ne fait que quelques pages,c'est génial parce que ça se lit vraiment vite. du coup, j'essaierai un autre livre d'elle.
Par contre, je n'ai absolument pas adhéré à l'histoire qui était trop alambiqué. J'ai trouvé que c'était trop gros. Et en plus,je n'ai pas accroché aux personnages. C'est pas qu'ils étaient creux, mais leur mentalité ne me plaisait pas. Je n'ai ressenti aucune empathie pour eux. Et ça c'est primordiale pour moi. En fait,ce roman n'était tout simplement pas fait pour moi. Je sais que beaucoup aime cette autrice et j'en suis désolée. Et je sais que ce livre a trouvé son public, mais on ne peut pas tous aimer.

Le pitch était séduisant. Une série de meurtre à la foudre, c'était plutôt original et attirant. Mais au final, l'intrigue se révèle mal ficelée, le style est pauvre, on relève de nombreuses incohérences dans le récit et le dénouement est très décevant et très léger.

Je retiens malgré tout quelques personnages attachants et bien campés, mais ce livre ne restera pas longtemps gravé dans ma mémoire.

Plusieurs scènes de crime sont découvertes suite à une nuit d'orage. Toutes les victimes sont mortes foudroyées.
Le capitaine Max Fontaine est mis sur l'affaire, il cherche à faire le lien entre toutes les personnes décédées. Il va lui-même être bouleversé par des évènements personnels.
J'ai beaucoup aimé l'idée de départ de l'histoire. Ces mises en scène pour que les victimes meurent foudroyées, c'était très ingénieux et étonnant.
Hélas je n'ai pas du tout adhéré au personnage de Max Fontaine. Une femme qui s'est transformée par amour en homme et qui se fait quitter par la suite. Je n'ai pas compris ce personnage ni la manière dont il était traité par l'autrice.
Une deuxième enquête parallèle vient s'ajouter à la première et franchement je ne suis pas certaine que c'était nécessaire. Ça amène de la confusion.
J'aime la plume de Sonja Delzongle, j'ai lu tout ou presque d'elle mais là je suis passée à côté.
Si vous l'avez lu, dites moi si vous avez aimé!

Pas mal, pas mal. Mais ! Beaucoup de détails m'ont rendu cette lecture un peu agaçante. D'abord, la 2eme enquête qui n'a pas grand intérêt, sinon nous perdre. le fait que le personnage principal ait envie de sauter sur tout ce qui bouge, malgré ce qui vient de lui arriver. Certaines questions qui resteront sans réponse. Des personnages qui semblent tous frappés par des drames terribles. Et une fin plutôt décevante concernant le motif de tous ces meurtres.
Bref, j'ai passé un bon moment en lisant ce livre car l'histoire est originale mais je pense qu'il y avait moyen de le rendre plus fluide, et donc plus agréable.