« Quand j’étais enfant, nous passions nos vacances chez un vieux berger. Chez lui, il n’y avait aucune trace de modernité et j’adorais cela. Sa femme l’avait quitté, elle était partie habiter en ville, elle voulait vivre avec son temps. Plus tard, j’ai vécu un retour à la terre. J’aimais parler avec les anciens qui avaient toujours des histoires à me raconter. Leurs enfants avaient quitté la campagne et ne comprenaient pas notre démarche. L’industrialisation, le pas... >Voir plus
elle laisse aller sa plume pour se vider de tous ses soucis. Les instants trop chargés en émotion lui font tourner la tête. Elle s'accoche à ce journal comme à une bouée.