L'amour de mon enfant n'a pas besoin de la moindre réflexion. Il est absolu, indiscutable, éternel. Je te promets que tu comprendras le jour où cela t'arrivera.
Retrouver ma liberté. Réaliser ce rêve soudain, brûlant, de m'offrir cet amour venu d'ailleurs. Je n'avais qu'à poser mon nom au bas de cette feuille impersonnelle... Cette déclaration par laquelle je renonçais à tous mes droits sur ma fille.
« J’ai abandonné tous mes droits à être sa maman. Qui peut effacer un papier signé sans assez d’amour ? » (p. 77)