On ne peut regretter ce qu'on n'a jamais connu.
J'étais si intriguée de plaire à autant d'hommes que je ne voulais pas perdre déjà les regards qui me découvraient.
J'espérais qu'on m'espère, je désirais qu'on me désire.
J'attendais qu'on m'attende.
Debussy n'écrivait pas de la musique, il composait des souffles, des soupirs. Des miroirs, des frissons, des émotions.
A côté des vérités officielles, il y a les vérités des femmes et des hommes qui les ont traversées.
La vie m'offre une chance de te protéger à nouveau.
On peut regretter ce qu'on n'a jamais connu. On peut refuser ce qui nous fait peur, ou accepter ce qui nous détruit.
Il m'a serré dans ses bras. Et j'ai compris qu'il ne pourrait jamais me réchauffer.
J'espère que tu n'auras pas les allemands aux fesses, moi qui aime tant les regarder!
Debussy n'écrivait pas de la musique, il composait des souffles, des soupirs. Des miroirs, des frissons, des émotions.
« Captive des nuits où je ne pouvais plus courir rejoindre mes amis, où je devais serrer Nicole contre moi, au fond d’un abri de métro. » (p. 55)