Après l'excellent tome 1 de cette duologie que j'avais dévoré pendant le confinement, j'ai été ravie de me plonger dans ce deuxième tome et de retrouver Arka, Lasty, Pyrrha, Pétrocle, le Nabot et tous les autres, car l'un des gros points forts de ce récit reste, selon moi, l'univers fantastique créé par
Eléonore Devillepoix. Elle continue à développer les différentes parties du monde évoqués précédemment, tout en arrivant à raconter les destins des différents personnages en simultané, ce qui me plait toujours autant dans ce roman.
Concernant le format de ce livre, le premier tome m'avait charmée par sa couverture tellement unique signée
Guillaume Morellec. Je crois que j'ai encore plus apprécié celle de la fille de la Forêt qui, en restant dans la lignée du premier, regorge de détails sur l'histoire à venir et de finesse.
Je referme donc ce tome absolument ravie : de l'énigmatique prologue, aux pensées et parcours des différents protagonistes, en passant par les thèmes abordés : immigration, racisme, place des femmes dans la société, tolérance et même manipulation des foules, sans oublier des scènes d'action épiques et de magie, je ne me suis pas ennuyée une seconde dans cette lecture, que je recommande pas seulement aux amateurs de fantasy et de romans YA, mais à tous tellement l'écriture est fluide et chaque lecteur trouvera au moins un élément qui le ravira !
Petit bonus : j'ai aimé le petit clin d'oeil aux tortues à la toute fin du livre, je ne vous en dirai pas plus pour ne pas spoiler, mais pour moi la boucle est bouclée grâce à ce détail.