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4,13

sur 580 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
TADAM 🎉 … Luca me voilà ! Enfin ! Car, il faut bien reconnaître que moultes groupies tu as !
Il me fallait donc absolument percer le mystère de ce flamboyant engouement et je l'ai compris en te lisant Caro Signore di Fulvio … oui j'ai bien compris et je ne vais pas être, très originale car … conquise !
Ce que j'ai ressenti en te lisant est en parfaite symbiose avec l'image de l'homme que j'avais. Celle du charme à l'italienne, chaleureux et débordant d'énergie. Oui c'est bien cela : ça déborde délicieusement ! Ça parle fort, ça fait de grands gestes, ça crie l'Amour !

💭 Au coeur de ton histoire, “Mamma Roma” ! Rome, plus qu'une ville devient personnage à part entière. La mère d'un peuple qui, en ce mois de mars 1870, est encore un état pontifical protégé par les troupes française … mais l'orage gronde …
C'est bien plus qu'une ville pour toi, c'est ton sang. Et ce roman c'est justement la naissance de ta Mamma Roma. Une mère dans son sens le plus noble et authentique, dans toutes ses contradictions, toute à la fois fastueuse et misérable, mais battante jusqu'au bout …

Et puis il y a ces trois là, Pietro, Nella et Marta. Trois personnages que le destin va réunir. Ils ont tous les trois un point commun, celui d'être orphelin … Rome les accueille en son sein, comme une mère …
Ils sont, comme elle, en quête de sens, chahutés par la vie mais bien debouts, persévérants et mus par le plus beau des moteurs … l'Amore …
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Eh oui Luca, là est la clé du mystère “Di Fulvio” … Amore … Un amour authentique, passionnel pour la Vie et le don du partage. Ce don spécial, cette belle aura qui fait de toi un homme unificateur et aujourd'hui officiellement tu comptes une groupie de plus ….
Grazie mille volte a te Luca ! Grazie per la tua bellissima luce! E ci vediamo presto !

À toi ami lecteur, cours découvrir Mamma Roma, le voyage en vaut vraiment la peine : une magnifique fresque historique et romanesque, écrite sans nul doute avec le coeur …
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Plonger dans un roman de Luca Di Filvio, c'est partir à la découverte, c'est vivre aux côtés de personnages tous aussi touchants les uns que les autres. Après New York, Venise ou encore Buenos Aires, il embarque ses lecteurs au coeur de Rome en 1870, l'année où l'Histoire de l'Italie est en route, avec des personnages dont les destins s'entrecroisent, se perdent, pour enfin se retrouver pour notre plus grand bonheur.
L'Italie est en cours d'unification, mais le Pape, à Rome, continue de régner en souverain temporel, protégé par des troupes françaises, alors que résonne les complots visant à abolir cette pesante tutelle.
Dès les premières pages, la magie opère, la plume nous captive, les mots nous enlacent pour prendre le chemin de notre coeur, sans jamais tomber dans la facilité, ou ennuyer malgré le nombre de pages. Chaque mot est à sa place.
Une galerie de personnages attachants et émouvants à la une construction d'une rare finesse avec une psychologie qui démontre le talent de conteur. L'immersion est totale, grâce aux descriptions très visuelles, les sentiments sont exacerbés par des thématiques touchants ce qu'il y a de plus profondément ancré en nous. Une ode à la liberté, l'amour, l'amitié aux femmes, mais aussi la conquête et la construction d'une nation. Le tout porté par une plume à la musicalité touchante et tranchante, transcendant toute la noirceur de l'être humain pour porter au firmament la beauté de l'humanité que chacun porte au plus profond de lui.
Une grande fresque historique, riche, dense, au coeur de Rome, de l'Italie, pays natal de l'auteur, à la veille d'une révolution. Une lecture qui fait du bien, qui met du baume sur nos coeurs, où l'espoir transpire et transfigure les destins.
Un roman d'une grande intensité où l'émotion est à son paroxysme avec au premier plan la naissance d'une nation, la découverte du patriotisme et tout ce qu'il peut révéler. Un roman que Victor Hugo ne pourrait renier. Un roman historique, politique, qui porte en lui tous les ingrédients dignes des grands auteurs. 

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C'est avec beaucoup de regrets que je quitte Pietro, Nella, Melo, Marta et tous les personnages de cette fresque romaine.. le rire, le sourire se sont mêlés aux larmes à la colère. L'espoir a remplacé la peur, l'amour l'a emporté et la magie de Luca di Fulvio a opéré! .
De mai à septembre 1870, Etats pontificaux. Rome est à un tournant de son histoire. Luca di Fulvio se fait tour à tour conteur, historien, psychologue, amoureux et fait revivre une ville à nulle autre pareille sous les yeux ébahis de la lectrice inconditionnelle que je suis devenue au fil de ses romans.. Une lecture plaisante et fluide, une lecture enrichissante et instructive, des personnages hors du commun .. que demander de plus?
A très vite Monsieur di Fulvio .

Merci beaucoup aux éditions Slatskine pour ce partage
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💚🤍❤️Ce que j'ai ressenti:

« Vous êtes pires que des ennemis. Vous êtes…les indifférents. »

Comment rester indifférente quand c'est Luca di Fulvio qui nous raconte l'Italie, la naissance d'une nation, la chair et le sang, le désir et l'éveil du patriotisme? Je ne peux pas, je suis obligée de m'enflammer d'amour et de ferveur parce que c'est un sujet qui brûle et que Luca a ce don, de transmettre sa passion, au travers de ces histoires qui font L'Histoire, au travers de sa plume qui fait toute la magie, au travers de son coeur qui fait l'union…Rester indifférente est donc impossible et puis, vous le savez, parce que c'est Lui et parce que c'est Moi, je serai toujours aussi admirative de son talent à me faire vivre dans ces livres, un moment précieux d'émotions…

Je suis meute, je suis entière, je suis chair de l'Italie alors ce livre, je l'ai ressenti jusque dans mes tripes. J'étais là-bas, tour à tour, orpheline, comtesse, acrobate, louve capitoline, pauvre, féroce, soeur, fébrile, mamma, mais surtout miséreuse, avec rien à perdre…Et ça, c'est la puissance, car on n'a plus qu'à lutter. Lutter avec Pietro, Martha, Nella, un capitaine et des Loups, un drapeau et des soldats, un appareil photo et quelques fous idéalistes. Lutter contre l'injustice, contre l'oppression, contre le destin. Lutter pour la liberté, pour la jeunesse, pour Rome. J'ai voulu éprouver cette douleur, j'ai voulu rêver, j'ai voulu me confondre avec leurs combats. Et en ne me préservant pas, j'ai aussi eu la joie qui remplit les espaces vides, la joie qui pousse à l'intérieur du coeur, la joie qui repousse les ennemis, la joie qui grandit d'elle-même et resplendit sur son prochain…Je t'ai aimé, Rome, je t'aime passionnément, et je sais que je t'aimerai de toute mon âme, tous les jours qui viendront…

S'il en est ainsi, alors je vous dirai que ce livre est un coup de coeur! Et ne m'obligez pas à dire des gros mots, ni à vous cuisinez des bucatoni all'amtriciana, pour vous convaincre de lire, ce roman fabuleux, parce que vous pourriez être surpris! Allez, je vous laisse choisir, je fais voeu à Luca di Fulvio, de nous écrire des romans aussi exceptionnels qui nous inspirent, qui nous bouleversent, qui nous traversent de part et d'autre de notre chair! Merci déjà pour les précédents, et bonne chance pour le prochain que j'attends avec impatience!!!!!!
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Dans une cour, cent enfants sont alignés, ils portent le même uniforme (plusieurs fois rapiécé), ils sont sales et ils espèrent. Ils prient : « Fais que ce soit moi ». L'enjeu est immense : celui qui sera désigné par la Comtesse quittera l'Institut et ne sera plus orphelin. C'est Pietro qu'elle choisit, séduite par sa fougue. le jeune garçon part vivre avec elle et avec son époux. Il apprend les codes du nouveau milieu dans lequel il évolue quand un drame force sa protectrice à fuir avec lui. Ils rejoignent Rome, ville en ébullition : alors que les soldats français l'occupent, les monarchistes et les républicains se battent. Nous sommes en 1870, Mamma Roma décrit les évènements qui ont conduit à l'unification de l'Italie et la chute des États pontificaux.


Marta est une adolescente, qui a été élevée dans un cirque. Elle n'y est pas née : elle a été recueillie par Melo. Il est la seule personne en qui elle a confiance. Cavalier émérite, il ne monte plus et prend soin des chevaux. L'arrivée d'une petite fille réveille les souvenirs de Marta et elle s'interroge sur les circonstances de sa propre incorporation dans l'univers circassien.


Dès les premières pages, j'ai été subjuguée par la magie de l'écriture de Luca di Fulvio. J'ai eu la sensation que les mots se posaient directement dans mon coeur, sans filtre, sans chemins détournés. L'émotion envahissait mon âme, mon corps et mon coeur. J'ai éprouvé une admiration sans faille pour cette plume qui me susurrait le texte, qui me contait les faits et me confiait les sentiments que je recevais comme s'ils étaient miens.


J'ai adoré Pietro, le « poulain » fougueux qui fait des bêtises par amour et qui a un sens aigu de la justice. J'ai été émue par Nella, cette femme courageuse qui connaît la dureté de la vie, et par Marta, jeune fille intrépide et terriblement attachante. J'ai complètement craqué pour Melo, un homme au grand coeur : il aime bougonner, mais la beauté de sa personnalité s'exprime dans ses actes. J'ai aussi eu un énorme faible pour Mamma Lucia : le pendant féminin de Melo ; elle m'a fait rire par sa manière de tourner les sentiments à la taquinerie. Les destins de ces personnages s'entremêlent, s'éloignent, se rapprochent, s'opposent, se retrouvent. Ils croisent, également, celui qui souhaite exister au-delà de la mort, puis cet autre au parcours barbare, qui laisse échapper de l'humanité, ou encore celui-là au dessein effrayant…


Émotion, peur, espoir, amour, lutte pour la liberté, courage, avidité, vengeance, attendrissement, rires, morts, tristesse, fierté : c'est un tourbillon de sentiments et d'événements. Les rêves surmontent les abattements, la cruauté de la vie écrase les voeux, la noirceur est masquée par la lumière des valeurs humaines, la beauté est opacifiée par les tragédies, certains larcins oeuvrent pour la justice, le mensonge est évincé par la réalité, grâce à celui qui prend tous les risques pour la vérité. Une sensation de merveilleux m'a entourée.


Cette magnifique fresque romanesque se termine à la page 686. Je n'y crois pas, cela ne correspond pas à ma perception, cela m'a paru trop court, je souhaitais mille pages de plus. Depuis que je l'ai terminé, j'ai des difficultés à m'immerger dans d'autres lectures, elles ne m'apportent pas ce brasier que Mamma Roma a fait naître dans mon coeur.


Je salue la traduction admirable d'Elsa Damien.


Mamma Roma est un coup au coeur pour moi.


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Lire un livre de Luca di Fulvio s'est partir à l'aventure, à la conquête de liberté, à travers les ombres et la lumière, avec toujours cette petite pincée de sentiments et d'amour qui donne toute son universalité au roman.

Un roman tout entier sur Rome et l'unification de l'Italie, Luca di Fulvio l'avait rêvé, puis imaginé et enfin réaliser ; comme quoi tout les rêves sont possibles et réalisables. Des rêves et de destins les personnages De Luca en débordes pour notre plus grand plaisir.

Après New York, Venise ou encore Buenos Aires, nous voilà à Rome en 1870, l'année de tout les possibles car cette date marque la naissance de l'Italie. A travers la ville éternelle, Pietro, Marta et Nella se croisent, se perdent, se retrouvent et s'aiment. Résumer un roman De Luca est impossible tellement les actions, les thèmes et les émotions sont puissants en si peu de pages.

A travers un dédale de rues aussi vieilles et historiques les unes que les autres, Pietro et Marta, les deux orphelins vont se faire engloutir mais Rome va vite les adopter. Car dans "Mamma Roma", le vrai personnage principal est bien Rome elle -même.

Ceux qui me suivent depuis plusieurs années savent tout mon amour pour les romans de Luca di Fulvio mais aussi pour l'auteur, ce génie des mots, ce magicien des histoires, ce conteur hors pair, cette personne au grand coeur. On n'aurait envie que d'une seule chose : que Luca soit aussi éternel que Rome pour nous conter ses histoires toute notre vie !

"Mamma Roma" est surement le roman le plus intime, celui on l'on sent le coeur battre de l'auteur à travers les pages. le seul regret en refermant un livre De Luca, c'est de se dire qu'il va falloir attendre patiemment le prochain !
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1870-1871 L'Italie est en cours d'unification mais les états pontificaux restent en dehors du mouvement . A Rome où le Pape , protégé par des troupes françaises , continue à régner en souverain temporel , bruisse de complots visant à abolir cette pesante tutelle. Voilà le cadre choisi par Luca di Fulvio pour son nouveau roman au titre pasolinien dans sa traduction française « Mamma Roma » ( en VO La Ballata della città éterna ») . Il y applique la recette qui a fait ses succès précédents ( « La Gang des rêves » , « Les enfants de Venise », « Les prisonniers de la liberté » ) , des personnages à l'histoire tourmentée ,Marta l'orpheline adoptée par un cirque, Pietro l'orphelin adopté par Nella elle-même orpheline devenue comtesse . Leurs destinées vont se croiser et s'entrelacer dans le creuset de Rome et se fondre au feu de la révolte. C'est du pur romanesque , rien n'y manque , les très méchants , les méchants devenus bons , les amours , le sang et les larmes .Des dialogues pétillants ou dramatiques (juste un bémol sur la traduction du parler populaire romain) . En arrière -plan un hymne à la fraternité au-delà des classes et des origines . Certes l'Histoire est un peu bousculée dans le récit qui fait de Pietro le premier reporter de guerre ,un Robert Capa du 19ème (Vous comprendrez à la lecture) mais comme le disait Dumas « C'est permis à condition de lui faire de beaux enfants… ». Et celui-ci est à mon goût , un beau bébé : il y a certes du mélo (c'est même le nom d'un des personnages principaux) , beaucoup de bons sentiments , mais par les temps que nous vivons ce n'est pas du luxe , et puis, que les bons triomphent des méchants , il n'y a plus que le roman pour nous en convaincre. Et il y a Rome , ses marbres et sa misère , alors embarquez-vous , Mamma Roma vous attend !
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« Ainsi mon frère, tu t'en reviens du pays dont je me souviens » Osons le pari, Alfred aurait adoré cet opus de di Fulvio. L'écrivain italien, plume romantique, s'il en est, comme le montre son hommage à Hugo, nous offre une rocambolesque aventure avec en toile de fond la libération de Rome de 1870. Les déboires de Napoléon III eurent, en effet, comme conséquence collatérale, d'accélérer le processus de réunification de la Botte, la ville éternelle et ses alentours constituant jusque là une enclave papale. La Prise de Rome, événement considérable pour nos voisins transalpins, est méconnue en France, sans doute parce que, au même moment, un tragique épisode laissait dans nos coeurs une plaie ouverte.
800 pages qui se dévorent comme se dévore la cuisine de ce pays en général et de cette ville en particulier. Forcément, des grincheux trouveront les personnages trop purs pour être crédibles, dénonceront les anachronismes, s'insurgeront des ficelles romanesques un peu trop criantes. Si l'on s'en tient à la rationalité de leurs arguments, ils n'ont objectivement pas tort, c'est oublier que Di Fulvio est un chef de gang… des rêves… Et puis, surtout pour éviter de cracher dans le minestrone, il fallait seulement éviter de rentrer dans cette auberge italienne tenue par ce sympathique chef. Que voulez-vous ! Il est comme ça, Luca… le client reconnaît de suite la patte, ou plutôt la pâte du Maestro, histoire de filer la métaphore culinaire… Pour me faire l'avocat du diablo, ces convives récalcitrants, pourraient reconnaître que certains personnages, l'Albanese ou Leone Pompei notamment, introduisent des ambiguïtés qui empêchent Mamma Roma d'être considérée comme une oeuvre naïve ou manichéenne. Il est aussi envisageable de réfuter l'argument de la photographie jugée anachronique. Les historiens s'accordent à considérer que la Commune, j'y reviens, marque l'irruption de ce médium comme document historique avec ce qu'il suppose de subjectivité. Que di Fulvio s'accorde cette licence romanesque n'a donc rien de choquant…
Pour la troisième fois, j'admire la faculté de l'écrivain à tenir en haleine le lecteur en l'immergeant dans des milieux différents dépeints sans détails superflus mais de façon suffisamment précise. Cependant, le talent principal de di Fulvio réside dans ses tableaux où les nombreux personnages se croisent, autant de figures vivantes. Comme dans la Commedia dell'arte ? Oui et alors ? Entrez donc sous le chapiteau de cette grande fresque, le magicien Di Fulvio saura flatter votre âme d'enfant… Vous ne « croyez » pas aux prestidigitateurs ? Lisez Mamma Roma et, quand les épées transperceront la boîte, vous tremblerez pour la prisonnière ingénue. N'est-ce pas Paolo ? « Ma cos'è la luce piena di vertigine, Come di, come di… »
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La ballata della città eterna 2020

Ce roman historique se déroule de mars à fin septembre 1870. Les Etats pontificaux ne font pas partie de l'Italie récemment unifiée. Ils sont gardés par des troupes françaises que le peuple déteste.
Victor_Emmanuel envoie l'armée et prend la Ville après la bataille de la Porta Pia, le 20 septembre.
L'annexion est consacrée par un plébiscite.

L'amour de l'écrivain pour l'Italie et sa Ville transparaît tout au long du roman.
Et comme Luca di Fulvio est un merveilleux conteur il nous offre un long roman de pur style romanesque et nous enchaîne à ses personnages hors du commun qui subissent péripéties et rebondissements.
Bien sûr, on a droit à l'éblouissement de leur bonheur final.
Trop beau pour y croire ?
Mais que c'est bienfaisant !!
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1870, à la veille de la libération de Rome et de son unification au Royaume d'Italie, les aventures de Pietro, orphelin adopté par Nella et Marta, qui travaille dans un cirque. Une histoire de guerre, d'amour et d'invention du photo-journalisme. Un roman romanesque et romantique, qui n'exclut pas quelques approximations historiques (assumées) et improbabilités, mais qui emporte le lecteur par sa fougue, ses personnages hauts en couleurs et son art de la narration. Un plaisir de lecture.
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