Un jour, j'écrirai mes mémoires.
J'ai vu et vécu tant de situations incroyables, que tout le monde pensera en les lisant que c'est un ramassis de mensonges, que tant de méchanceté ne tient pas dans ce monde.
(Dans tome 2 : Arctic-nation)
Parfois, quand j'entre dans mon bureau, j'ai l'impression de marcher dans les ruines d'une ancienne civilisation. Non à cause du désordre qui y règne, mais plus certainement parce que cela ressemble aux vestiges de l'être civilisé que je fus jadis.
(Tome 1 : Quelque part entre les ombres)
...ne crois jamais ce que dit un type qui fixe un prix à ses mots.
(Tome 5 : Amarillo)
« Nous vivons dans un grand pays où l’initiative privée est toujours à même de satisfaire nos moindres désirs de consommation. Il suffit de jeter un coup d’œil à n’importe quel supermarché… et si tu ne trouves pas ce que tu cherches, pas la peine de t’en faire, tôt ou tard, quelqu'un montera un commerce qui satisfera toutes tes demandes ».
(chapitre 4).
« Ce sont l’inaction et la lâcheté qui pourrissent le cœur de l’homme. »
(chapitre 5).
« Je ne sors jamais sans ma frangine. Les rues d’Amarillo peuvent être très dangereuses. Elles sont infestées de policiers. »
(chapitre 5).
« Dans ce boulot, la logique est plus utile que n’importe quelle arme à feu. »
(chapitre 4).
« Désormais, j’étais condamné à ce monde-là : une jungle où le gros dévore le petit, où les hommes se comportent comme des animaux. »
(chapitre 1).
Quand une femme engage un détective privé pour suivre son mari, c'est d'abord pour savoir ce que les autres femmes peuvent bien lui trouver.
J'aime imaginer un monde juste, où même les puissants paieraient leurs fautes. Dans le fond, je suis un ingénu.