L'affaire Alaska Sanders

J'ai été déçue par les deux derniers romans de Joël Dicker (La disparition de Stéphanie Mailer et L'énigme de la chambre 622). J'avais donc quelques réticences en me lançant dans la lecture de celui-ci mais elles se sont très vite évanouies. On retrouve l'écrivain Marcus Goldman qui va se mettre à enquêter sur le meurtre d'Alaska Sanders, survenu onze ans plus tôt, avec le sergent Galahood. le tandem du premier livre de Joël Dicker, La vérité sur l'affaire Harry Québert, est donc reformé et, en parallèle de l'intrigue policière principale, c'est la suite de la relation entre Marcus et Harry Québert qui est ici racontée. C'est sans doute ce qui explique que j'ai beaucoup plus apprécié ce roman tout comme les deux premiers de Joël Dicker. Cet auteur a une réelle capacité à captiver son lecteur malgré la longueur du texte. Il sait jouer des fausses pistes et manie les rebondissements à merveille. Mais, encore une fois, en arrivant à la fin du texte, ce n'est pas l'intrigue policière qui me reste en tête mais bien le couple Goldman Galahood et les réflexions sur le métier d'écrivain. L'histoire se termine avec le départ du sergent pour un tour du monde en voilier accompagné de ses deux filles mais, avant de partir, il remet un document à Marcus qui nous laisse espérer une nouvelle enquête à venir.
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Hormis La Vérité sur l'affaire Harry Québert, je n'ai connu que des déceptions face aux intrigues de Joël Dicker. Des intrigues, à mon sens, sans trop de reliefs et surtout aux fins prévisibles.
Cependant, j'ai bien fait de m'acharner car L'affaire Alaska Sanders m'a quasiment réconciliée avec cet auteur. Alors, j'ai de nouveau eu l'impression que pour faire coller tous les (trop nombreux ?) éléments de l'enquête l'auteur sort les rames pour nous livrer la conclusion. Ceci dit l'histoire d'Alaska a le mérite de nous tenir en haleine et est loin d'être déplaisante. Pas inoubliable mais pas déplaisant, c'est déjà ça :)
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Première lecture d'un roman de Joël Dicker, je découvre donc sa plume.

J'ai mis du temps à accrocher au récit, les flashback entre la vie d'Alaska, les moments de vie de Perry et celle de Marcus n'ont pas facilité l'approche mais une fois dedans j'ai eu du mal à lâcher.

Seul vrai reproche : la constante promo des autres romans de l'auteur. J'ai littéralement été soulée par les références à l'enquête Harry Quebert et celles des cousins de Baltimore qui n'apportent rien à l'histoire.

Joël Dicker nous invite à suivre, une nouvelle fois, l'écrivain Marcus Goldman et le Sergent Perry Gahalowood, dans une intrigue à tiroirs.
La trame est la même que dans « La vérité sur l'affaire Harry Québert » : une enquête sur un meurtre perpétré des années plus tôt, des allers retours dans le temps qui nous obligent à lire le titre des chapitres pour nous repérer.
Personnellement j'aime assez car il n'y a pas d'ennui à la lecture, mais je reconnais que les répétitions que cela engendre puissent lasser certains lecteurs.
L'auteur distille, tout au long du roman, des rebondissements, des incertitudes, des fausses pistes jusqu'à la surprise finale que je n'avais pas vu venir.
L'évolution de l'amitié entre Marcus et Perry est bien mise en valeur.
L'écriture de Joël Dicker est fluide mais des coquilles dans l'édition ont perturbé ma lecture ; c'est dommage.
Je n'ai pas encore lu « le livre des Baltimore » mais je pense qu'il va bientôt arriver dans ma PAL

Le duo Marcus et le Sergent rempilent pour une nouvelle affaire. Alaska Sanders a été sauvagement assassinée il y a 11 ans mais les meurtriers présumés ne sembleraient pas être les véritables coupables. le duo repart donc à l'attaque et cherche la vérité. J'apprécie beaucoup le fait que la limite qui différencie l'auteur de son personnage soit toujours aussi mince de par les différentes évocations de ses opus. J'ai sans cesse envie de poursuivre afin de savoir ce qu'ils vont découvrir et comme toujours l'issue me surprend. Cependant ces enquêtes, les indices tout droit tombés du ciel et les théories fumeuses mais qui sont toujours les bonnes, semblent parfois un peu trop simples.

Une autre aventure ou Joel Dicker ramene Marcus Goldman et Harry Quebert dans l'Affaire Alaska Sanders. Même structure narrative (présent, passé proche, passé lointain, présent, etc) que tous ces romans. Au de là de cette structure qui donne parfois des maux de tête aux lecteurs, il n'y a pas de grande complication a lire ce roman, comme les autres de l'auteur d'ailleurs.
L'affaire Alaska Sanders ce déroule entre 1998 et 2010 et est un vaudeville des plus efficace. Très bien si vous voulez ne pas vous cassez la tête pendant une fin de semaine au chalet, tout en lisant un page turner très réussie. L'histoire est emberlificotée à souhait, comme d'habitude avec les romans de Dicker et c'est ce qui en général tiens le lecteur accroché car sinon, le reste du contenu est bien mince.

L'AFFAIRE ALASKA SANDERS de Joël Dicker

En 1999, le corps d'Alaska Sanders , employée dans une station service, est retrouvé au bord d'un lac.
L'affaire est classée rapidement mais onze ans plus tard, une lettre anonyme envoyée au sergent de police chargé de l'affaire, remet tout en question...
Perry Gahalowood et Marcus Goldman vont-ils réussir à élucider cette affaire ?

Un roman dont les pages se tournent toute seules.
Une enquête intrigante pleine de rebondissements dont les personnages sont attachants et un suspens maintenu jusqu'à la dernière page.
Cependant l'histoire est en définitive assez banale et le récit émaillé de longueurs.
Découverte mitigée de cet auteur dont j'avais sûrement trop entendu parlé de manière dithyrambique.
Déception.

J'ai beaucoup apprécié ce livre de Joël Dickers, qui passe de rebondissement en rebondissement pour nous donner un final très surprenant.
On joue beaucoup avec les caractères particuliers de chaque personnage.
J'aime cette amitié entre Marcus et Perry.
Le retour de Harry Quebert au cours de cette histoire va guider Marcus dans ses choix...

J'avais adoré La vérité sur l'affaire Harry Quebert, puis beaucoup moins aimé le livre des Baltimore et L'enigme de la chambre 622 et finalement abandonné La disparition de Stephanie Mailer en cours de lecture. Je ne pensais pas retenter ma chance avec Joel Dicker... Il faut croire qu'il ne faut jamais dire jamais. Cette fois j'ai adoré. On est baladé du début à la fin de suspect potentiel en suspect potentiel et de rebondissement en rebondissement.

Quel plaisir de retrouver Marcus Goldman dans ce nouveau Cold Case! 


Une intrigue palpitante jusqu'à la dernière page!



Des rebondissements à n'en plus finir et des secrets révélés font que les pages se tournent à vitesse folle!



Avec une double temporalité entre 1999 et 2010 (sans oublier quelques passages par 2008 où l'on retrouve Harry). 


Sans compter ce twist final époustouflant. 



J'ai littéralement adoré et dévoré ce livre. 


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