AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,2

sur 4605 notes
Lecture distrayante, on joue le jeu ou pas de suivre ces témoignages, ces rebondissements, ces flash-back…

On se noie dans des vérités qui s'avèrent fausses et des mensonges qui contribuent à trouver la vérité.

D'une écriture très aisée, les pages se déroulent accumulant faits, contradictions, étonnements, méprises, relations perturbées, drames familiaux, lieux que la reproduction d'un tableau de Hopper sur la couverture du livre illustre parfaitement : isolement, ambiance glauque,…

Gros livre dû à la maison d'édition fondée par l'auteur qui est un petit malin.
Les nombreuses références au livre précédent, à la famille de Baltimore… ne peuvent que susciter l'envie de les lire.
La fin est malicieuse nous annonçant peut-être un futur livre où nous retrouverions les protagonistes.

Le sergent et l'écrivain dont la relation me paraît quelque peu irréaliste sont les personnages qui nous emmènent dans le méli-mélo de ce crime sordide et dans les secrets les plus vils des êtres que l'on y croise.
Les niveaux de langage sont présents et donnent une réalité aux uns et aux autres et quelle imagination!
Quant à l'enquête, on la suit et la curiosité de savoir est au rendez-vous même si on peut trouver l'histoire un peu forcée.

La présence faussement réelle de l'écrivain/Dicker (lui-même signale qu'il est le contraire de son héros) permet quelques passages sur la notion d'écriture et la créativité.

Livre qui ne bouleverse rien mais offre un moment agréable, créant le suspense et peut passionner les amateurs de policier.






Commenter  J’apprécie          120
Attaqué aussitôt après une deuxième lecture, dix ans après, de la vérité sur l'affaire Harry Quebert qui m'a scotchée une nouvelle fois, j'ai pu me rendre compte que l'affaire Alaska Sanders utilise les mêmes ingrédients et ressorts d'intrigue. J'ai remarqué également quelques faiblesses dans le style par-ci par-là. Les rappels des deux autres livres de la trilogie se produisent aussi un peu trop souvent à mon goût (Le Livre de Baltimore est le troisième). Bref, j'ai été moins emballée cette fois.
Il n'en reste pas moins que les deux personnages principaux : l'écrivain Marcus Goldman et le policier Perry Gahalowood sont très attachants et qu'on aimerait les retrouver dans d'autres ouvrages de cet auteur.
Commenter  J’apprécie          110
En un excellent dicker. L'intrigue nous tien en haleine jusqu'au bout du livre. On se faliliarise avec tout les personnages du roman. Bravo. On retrouve tout les codes de chez dicker. Faut pas le lâcher sinon on perd le fil mais c'est un très bon moment de lecture. J'aime ses dialogues, ses rebondissement. Alaska sandersrestera dans ma mémoire un moment.
Commenter  J’apprécie          110
J'ai aimé lire ce roman, l'écriture est agréable je suis allée jusqu'au bout mais voilà, il y a quelques couacs . J'ai eu du mal avec la fin de cette histoire qui ballade le lecteur (en l'occurrence moi) de fausses pistes en mensonges , de faux coupables en faux innocents et tout ça pour en arriver à un dénouement imprévu mais que je trouve incohérent . On y parle aussi beaucoup de l'affaire Harry Quebert qui n'apporte pas grand chose à l'intrigue; et surtout il y a des phrases inachevées, des mots oubliés ,des coquilles et moi ça me gène! En bref: je ne suis pas vraiment déçue, mais pas vraiment emballée non plus.
Commenter  J’apprécie          111
J'avais adoré l'Affaire Harry Québert et le Livre des Baltimore, beaucoup moins les suivants. Quand ce roman a été présenté comme une suite de l'Affaire Harry Québert, je me suis presque sentie obligée de le lire, j'étais même enthousiaste. Alors au début, l'intrigue se met assez vite en place, j'ai avancé assez vite, et après le premier tiers, j'ai trouvé çà long, et ces allers retours incessants entre passé et présent ont vite rendu cette lecture désagréable, le tout manque de fluidité. Comme toujours avec cet auteur, je trouve qu'il y a beaucoup de passages inutiles, beaucoup de répétitions, j'ai mis une éternité à en venir au bout. Cette fois c'est sûr, j'arrête Joël Dicker...
Commenter  J’apprécie          110
Comme dans tous les romans de Joel Dicker j'ai été entrainé dans cette enquête. L'intrigue est très prenante et captivante. L'auteur sait manier le suspens comme personne à tel point qu'à chaque fois que je croyais avoir trouvé le coupable ce n'étais jamais le bon. Rebondissement après rebondissement on ne découvre le coupable qu'à la fin du livre.
J'ai été heureuse de retrouvé ce duo d'enquêteur que forme Peter le policier et Marcus l'écrivain ainsi que le rappel de ses précédents romans "La vérité sur l'affaire Harry Quebert" et "Le livre des Baltimore". Une très bonne lecture pour les vacances
Commenter  J’apprécie          110
Un roman volumineux qui, à l'instar de la vérité sur l'affaire Harry Quebert, ne manque pas de rebondissements. Nous retrouvons Marcus Goldman ainsi que le sergent Gahalowood à Mount Plaisant. Ils combinent leurs talents afin de résoudre une enquête bouclée rapidement il y a onze ans et pour laquelle de nouveaux éléments viennent mettre à mal les déductions passées.

Comme toujours, Joël Dicker ne laisse aucun répit aux pauvres lecteurs que nous sommes ! On le suit et on avance avec ses deux protagonistes. Les pistes se mêlent, s'emmêlent…et les suspects se succèdent ! Certains même disparaissent du banc des accusés pour réapparaître quelques chapitres plus loin ! Bref, telle Ariane, nous suivons le fil pour enfin comprendre l'enchaînement des événements.
Beaucoup trop de références à ces romans précédents. J'ai apprécié par contre de découvrir l'intrigue du prochain, c'est comme une confidence de l'auteur.
Je regrette les va-et-vient de Marcus, qui combinés aux aller-retour temporels donnent une impressions de chapitres mis bout à bout. Il y a un manque de lien qui ne nuit pas à la compréhension mais qui donne une impression de décousu.
Ceci reste anecdotique et certains (peut-être même tous !) n'y porteront pas attention. Je vous le conseille donc.
L'été est propice au long bon roman !
Commenter  J’apprécie          110
Pour ceux qui ont adoré le premier livre primé de Dicker, ce roman va les charmer. Personnellement, j'avais apprécié les précédents ouvrages sans avoir le coup de coeur national de beauté.
Je trouve que ses livres sont longs, dans le sens où l'auteur s'éternise, revient en arrière et au final sans rien apporter de nouveau.
Avec l'affaire Alaska Sanders, c'est la même chose. Cela se lit plutôt bien, car le style est agréable et bien écrit, mais que de retours en arrière en particulier sur l'affaire Harry Quebert. Peut-être utile si on n'a pas lu le livre mais vraiment pénible sinon.
En clair cela se lit, mais ce n'est pas le livre de l'année !
En plus pour un éditeur que de fautes d'orthographe et de syntaxe ! Ça pique vraiment les yeux.
Déçue ? Non car je n'attendais rien de ce livre trop plébiscité toujours signe de marketing et non de qualité.
Commenter  J’apprécie          110
J'ai lu L'affaire Harry Quebert il y a un bon bout de temps. J'ai le livre des Baltimore dans ma PAL (que je compte lire ensuite pour suivre l'ordre chronologique de cette trilogie Marcus Goldman). J'avais hâte de voir ce que nous réservait l'auteur dans ce nouvel opus et, dès le premier jour, je suis allée en librairie pour me le procurer. Je n'ai pas tardé pour le lire et j'ai adoré. Après plusieurs mois, voici enfin ma chronique toujours d'actualité 😉

Dès les premières pages, je retrouve le style de Joël Dicker qui me semble tellement familier alors que je n'ai lu qu'un livre de lui jusqu'à présent : des chapitres courts, des allers-retours passé-présent et de nombreux détails non sans importance 😉

Pour ceux d'entre vous qui ont déjà lu le livre des Baltimore vous trouverez dans ce tome quelques mentions aux Goldman de Baltimore et ça vous rappellera peut-être des souvenirs. Moi qui ne l'ai pas encore lu, ça me donne envie de le lire pour en savoir plus. Il serait d'ailleurs tant que je m'y mette lol !

On retrouve bien entendu Marcus Goldman qu'on ne présente plus ainsi que Perry Gahalowood. Perry avait travaillé sur l'affaire Alaska Sanders quelques dix ans auparavant mais une lettre anonyme remet tout en cause.

Petit à petit, le voile se lève, les soupçons se portent sur les uns et les autres et la fin m'a scotchée. Un vrai page-turner malgré le pavé de plus de 500 pages.
Lien : https://lesmotsdevirginie.wo..
Commenter  J’apprécie          100
Mais quel plaisir de retrouver un de mes auteurs chouchou.
Cela fait pas mal de temps que je n'avais pas retrouvé sa plume. J'avais oublié combien j'aimais être baladé d'une hypothèse à l'autre...

Comme pour l'Affaire Harry Quebert, mon cerveau a chauffé plusieurs fois et j'ai dû revoir mes talents d'enquêtrice. Joël Dicker sait très bien jouer avec nos méninges et nous embarquer dans de multiples théories qui finissent en cul-de-sac. Bref, j'adore ce type de livre qui ne cesse de me surprendre.

Cela fait quelques années que j'ai lu l'affaire Harry Quebert et j'ai parfois eu du mal à raccrocher les wagons. Toutefois, ce n'est pas un drame, car l'histoire porte sur une autre enquête et les allusions au tome précédent ne sont pas si récurrentes.

➡️ En bref, un nouveau livre coup de coeur chez cet auteur. Il ne me reste plus qu'à me procurer "Le livre des Baltimore" que je n'ai pas encore lu 🥰.

Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          100





Lecteurs (9619) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz - L'Affaire Alaska Sanders - Joël Dicker

Qui est retrouvée morte à Grey Beach le 3 avril 1999 ?

Eleanor Lowell
Walter Carrey
Alaska Sanders
Lauren Donovan

30 questions
33 lecteurs ont répondu
Thème : L'affaire Alaska Sanders de Joël DickerCréer un quiz sur ce livre

{* *}