L'énigme de la chambre 622

Jole Dickers a écrit encore un livre efficace où le lecteur est tenu en haleine !!!

Je comprends que ce livre puisse agacer par le côté presque Harlequin des personnages, soit beaux jeunes et riches soit pauvres, intelligents mais toujours beaux. Je comprends que la multitude des allers- retours temporels ( bravo à Dicker pour la réussite de l' exercice intellectuel) puissent perdre certains mais au final on se prend au jeu et on tourne les pages pour connaître la suite, même si les deux derniers chapitres sont un peu too Much à mon sens. Pour moi ça reste un bon roman.. en tout cas bien meilleur que le livre des Baltimore qui était mon dernier Dicker et qui pour le coup n'avait aucun intérêt.

l'auteur s'amuse à nous tendre de fausses pistes, abracadabrantesque mais plaisant

C'est rigolo ce jeu du Cluédo (colonel moutarde dans la cuisine avec le chandelier). Un peu long, trop d'hypothèses possibles.
- Bon en gros; Plaisant à lire, rigolo, mais un peu méli mélo dans la chaine du vélo.

Déçue

Deuxième livre de Joël Dicker, après l'affaire Harry Quebert.
Je suis déçue par le manque de charisme de Macaire Ebezner. Comment peut-on être aussi puissant et avoir si peu de caractère ?
La trame du livre m'a fait penser à son premier livre : un mystère à résoudre et des allers-retours avec le passé. Sur ce point, pas de surprise. A l'avenir, il faudrait varier la construction de l'histoire.
J'ai quand même été happée par cette enquête : ciblée tout d'abord sur la prise de poste de la présidence. le meurtre est la cerise sur le gâteau et complète le mystère.
Impossible de fermer le livre avant la fin. Joël Dicker nous hypnotise pour être ses lecteurs.
J'ai passé quand même un bon moment.
Cependant, je ne sais pas si je renouvellerai l'expérience des flash-backs une troisième fois.

Dicker m'avait fait bonne impression à La grande librairie. J'ai sauté sur son roman à la bibliothèque. J'ai commencé la lecture en toute innocence. Puis j'ai stoppé net à la page 178. Oui je vois pourquoi monsieur Dicker affichait un si grand air à la Grande librairie. Pour moi le champagne coulait à grands flots dans ce roman. Et ça m'a soûlé.

Le tant attendu dernier opus de Joël Dicker ! Forcément que tout le monde l'attendait au tournant et c'est effectivement un roman qui fait se diviser les lecteurs ces jours, les avis sont très tranchés

Je ne vous cache pas que mon début de lecture a été difficile : des personnages improbables, des clichés, des scènes à la limite du grotesque, des longueurs….Et puis après un bon quart du livre à ramer, il y a eu un petit déclic dans l'histoire qui me l'a fait voir d'un autre oeil ! Et passé la moitié, le rythme et l'intrigue m'ont embarquée. Par contre il faut s'accrocher aux branches, l'enquête part dans tous les sens, tant au niveau de l'histoire que des époques

En bref, je n'ai malheureusement pas retrouvé mes coups de coeur de la vérité sur l'affaire Harry Québert et le livre des Baltimore mais après des débuts difficiles, j'ai finalement passé un bon moment de lecture. J'ai surtout beaucoup aimé les passages où il rend hommage à son éditeur, Bernard de Fallois, décédé en 2018. Et j'ai aussi aimé pouvoir déambuler dans Genève, ma ville natale.

Cette lecture est une relative déception. J'ai réussi à aller au bout sans avoir envie d'abandonner, mais sans addiction particulière. Joël Dicker est allé trop loin dans dans le découpage : il jongle entre l'histoire réelle, 15 ans plus tôt ou 15 ans plus tard, et l'histoire de l'écrivain avec Sloane et avec son éditeur : c'est trop pour moi. Sans compter le côté tarabiscoté de l'intrigue. Et quelques longueurs ici et là.
Conclusion : ça n'est pas au niveau de ses précédentes productions.

J'ai été prise par l'histoire et je suis allée au bout ... pourtant j'ai été déçue. Il y a trop d'allers retours dans le temps, c'est clair car indiqué à chaque fois, mais est ce nécessaire ? le dénouement est très long, il n'en finit pas. C'est dommage.