« Londres. 1940. Soucieux de pallier l'anéantissement de l'armée britannique à Dunkerque,
Winston CHURCHILL a une idée qui va changer le cours de la guerre : créer une branche particulière des services secrets, le Special Operations Executives (SOE). Elle lui sera directement rattachée, et chargée de mener des actions de sabotage et de renseignement à l'intérieur des lignes ennemies. Tous ses membres seront issus des populations locales pour être insoupçonnables. du jamais vu jusqu'alors. L'existence même du SOE a été longtemps tenue secrète. Soixante-dix ans après les faits,
Les Derniers Jours de nos pères est un des premiers romans à en évoquer la création et à revenir sur les véritables relations entre la Résistance et l'Angleterre de
Churchill ».
Ce roman nous embarque directement dans les années 40, au sein des services secrets britanniques. Alors que la Seconde Guerre Mondiale a éclaté et progresse fortement en France, le SOE est créé : une agence secrète spécialisée dans le sabotage et l'infiltration des camps ennemis.
On fait la connaissance de PAL (Paul-Émile) qui décide d'abandonner son père pour rejoindre le SOE, afin de pouvoir sauver la France et son père. Nous allons donc suivre dans ce roman, dans un premier temps la formation des agents du SOE. C'est là que nous découvrons différentes personnes, toutes attachantes, comme Claude, Gros, Faron ou encore Laura. Dans un second temps, nous suivons les agents en mission, un passage fort en émotion, rythmé par des liens forts (comme l'amour, l'amitié ou encore la fraternité).
Les romans historiques sont un style de lecture que j'apprécie particulièrement. Encore une fois,
Joël DICKER me transporte au coeur de son livre. Il m'a fait vivre une belle aventures aux côtés de personnages touchants. J'ai découvert une nouvelle facette de la Seconde Guerre Mondiale ; j'ai trouvé ça très instructif.
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