Un petit livre tellement ovationné sur Babelio.com ne pouvait que titiller ma curiosité, en plus du thème qui ne pouvait que me ravir: les livres.
Quand on pris par la passion de la lecture, on vit presque en marge des autres car on a souvent le nez plongé entre les pages d'un roman. Par on je veux dire nous les lecteurs, avides de mots et de belle prose. Cet être qui ne peut vivre sans lire, une addiction positive qui nourrit son esprit, son coeur et même son âme.
Dans le liseur du 6h27 il est question d'un sujet delicat qui fâche les Babeliotes.
J'ai tout de suite identifié "la chose et comme Guylain, je l'ai haï ce monstre.
J'ai été attendrie par les deux soeurs Monique et Josette, passionnées par les peaux vives et en font profiter les "autres.
C'est une torture puis un soulagement à chaque page extirpee et on saute d'un sujet à un autre sans connaître le début de la fin, il est machiavélique
Jean-Paul Didierlaurent.
Avec ces pages mortes, Guylain amène la vie autour de lui et surtout aux "vieux ". On ne peux que sourire à l'évocation des Glycines.
Ce roman, je l'ai lu à petites gorgées comme un bon thé à la menthe. Tout le monde a besoin d'une quête qui donne un sens à sa vie. Une belle fin de livre toute en poésie et en délicatesse et une vie de bonheur et de belle prose.
Allez je passe à la lecture des 540 critiques et des 271 citations. Vive le partage.