Un rival trop attirant :
Ecoute, c’est encore très tôt pour nous. Je ne peux pas te faire beaucoup de promesses. Je suis têtu comme une mule. Je ne suis pas romantique. Je ne penserai jamais à t’envoyer des fleurs pour l’anniversaire de notre premier repas en tête à tête. Je ne te ferai pas de câlin quand il y a un match à la télé, et tu peux être sûre que je ne vais jamais porter ton sac à main. Ce n’est pas mon genre. Mais je te promets que je prendrai soin de toi. Je partirai en guerre pour toi quand tu en auras besoin et je t’aimerai telle que tu es. Quoi qu’il arrive, je sais que toutes les erreurs que tu fais sont dues à la passion et à l’amour. Alors oui, il y aura toujours un pot de nounours blancs pour toi dans ce placard. Ça, c’est le genre d’homme que je suis. Celui qui sait ce qui te touche.
Le piège de la forêt :
— J’irai avec toi, lança-t-elle.
— C’est hors de question, dit-il d’une voix rauque.
(...)
Elle redressa la tête et lui offrit un léger baiser, puis se recoucha.
— Alors tu ferais mieux de dormir, parce que demain il faudra que tu affrontes une dispute.
Son côté espiègle… Il adorait ça.
— C’est une menace ?
Elle lui fit un clin d’œil, puis se retourna de l’autre côté.
— Tu verras bien dans quelques heures.
Troublante ressemblance :
— Non ! Je n’ai pas de fiancé. Où es-tu allée chercher une idée pareille ? Et tu ne devrais pas parler la bouche pleine, tu le sais.
Kristy finit ostensiblement de mâcher, avala et remarqua d’un ton de reproche :
— Ben alors, tu devrais pas me poser des questions quand ma bouche est pleine.
Un rival trop attirant :
Elle allait faire des efforts jusqu’à un certain point. S’il la plaquait, elle ne le supplierait pas. Jamais de la vie. Elle se contenterait de le poignarder avant de partir.