Quand je commence une saga, j'ai cette envie de connaître la fin alors que je n'en suis qu'aux premières pages.
Phobos n'a pas échappé à la règle : dès le premier tome, je me demandais comment une telle histoire pourrait se terminer, les quatre volumes la composant permettant un grand nombre de possibilités.
Pour vous enlever un certain poids, je vous le dis tout de suite : je n'ai pas été déçue par la fin, que j'ai trouvée cohérente (certaines fins peuvent être plaisantes dans l'idée mais ne pas coller avec l'histoire, et ça n'a pas été le cas ici, ouf).
J'ai eu un petit coup de stress quand j'ai remarqué que le dernier rebondissement arrivait dix pages avant la fin. Je me suis dit « non, pas une fin ouverte, j'ai besoin de savoir comment se termine l'histoire ». Quel ne fut pas mon soulagement quand j'ai terminé le livre, et que j'ai lu la fin, qui était une vraie fin.
Victor Dixen a su me tenir en haleine pendant plusieurs milliers de pages, et ce n'était pas gagné d'avance !
J'avais su deviner certains choses durant ce dernier tome, mais j'ai quand même été surprise, non seulement par le dénouement, mais très souvent au cours de ma lecture (si vous aimez les rebondissements, vous en trouverez à la pelle dans cette saga).
J'ai adoré découvrir le passé de Léonor, mais également voir certains sujets apparaître dans le récit : TDAH (Trouble du Déficit de l'Attention avec ou sans Hyperactivité), les sectes, le réchauffement climatique (et la mobilisation pour essayer de le freiner), l'addiction aux écrans et à la technologie…
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