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Culte.
10 fois que je relis ce livre,sans lassitude.
J'aime l'Amour qu'éprouve Zorg pour Betty.
Betty en borderline, à fleur de peau, passionnée jusqu'au déchirement...
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A lire pour découvrir ce qui faisait le charme de P. Djian au début de son oeuvre : des images savoureuses et des personnages capables de tout.
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Zorg et Betty...Betty et Zorg.
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L'histoire se déroule en France et suit le personnage principal, Zorg, un écrivain en herbe, et sa relation avec Betty, une femme passionnée et instable.

L'intrigue du roman explore la passion, la créativité et la folie. Betty est de nature impulsive et volatile. le livre,provocateur, décrit de manière très crue et réaliste la relation tumultueuse entre Zorg et Betty, ainsi que leurs tentatives de réaliser leurs rêves personnels.

Le roman explore les thèmes de la passion, de la folie et de l'art.
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Tout ce que je connaissais jusque-là de Djian, c'était l'adaptation de ce roman au cinéma par Jean-Jacques Beineix. Autant dire que cette chronique du roman risque de beaucoup parler du film. Et ce qui est curieux pour commencer, c'est qu'au fil de ma lecture mes souvenirs du film se réveillaient, alors que je croyais n'en avoir qu'un souvenir assez lointain, une ou deux scènes ou péripéties en plus de la scène d'ouverture dont tout le monde se souvient, pas plus. Cette scène d'ouverture, dans le film, secondée ensuite par l'interprétation de Béatrice Dalle, présentant l'intérêt de donner une grande intensité et une grande place au personnage de Betty, autour duquel tout peut tourner à loisir. le roman, il me semble, manque de ce centre aussi incandescent. Après ça coule bien quand même, Djian est un conteur efficace dans la maîtrise des codes de ses modèles nord-américains (le livre s'ouvre sur une citation de Brautigan et les quatre cents pages suivantes ressemblent à une traduction un peu rapide d'icelui), saupoudrés de procédés qui m'ont interpellé (narrateur et lieux dont on ne dit jamais les noms, sans passé, sans famille, le tout formant un réalisme insouciant ne cherchant pas à en imposer par un soin inutile du détail).
Bon, ça se traîne quand même un peu en longueur dans le dernier tiers du livre, avec quelques pages superflues où l'auteur tire un peu à la ligne avec des formules du genre "La vie, c'est pas un stand de foire avec tout un tas de lots bidons à décrocher..." et autres "Le monde est comme ci et comme ça, les gars, c'est moi qui vous le dis...", avant de conclure avec un métier certain par deux - trois chapitres brillants d'efficacité et de souffle narratif. Bref, je reverrais bien le film, et je suis pas contre non plus me farcir d'autres Djians.
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e finis ma lecture avec la mélodie de "Betty et Zorg" dans la tête. La diffusion du film "37°2 le matin" en hommage au réalisateur Jean-Jacques Beineix me donne l'envie de re lire le roman au titre éponyme. Cette histoire d'amour est infiniment bouleversante, tendre et violente. Une autre issue était elle possible? On découvre Betty à travers les yeux amoureux de Zorg, "...Kerouac m'avait dit sois amoureux de ta vie...", la vie de Zorg c'est Betty. Un animal sauvage qui souffre du petit espoir qu'offre la vie ordinaire.

Au hasard d'une dispute, elle découvre qu'elle s'est installée chez le "plus grand écrivain de sa génération" et elle a à coeur de le faire connaître, reconnaître comme tel. Elle voudra même un enfant avec ce futur grand auteur mais la vie "se met contre" elle et l'emmène désespérément loin du bonheur attendu. Il aurait fallu "qu'elle comprenne que le bonheur n'existe pas, que la Paradis existe pas, qu'il y à rien à gagner ou à perdre et qu'on peut rien changer pour l'essentiel. Et si tu crois que le désespoir est tout ce qu'il reste après ça. Ben tu te goures une fois de plus parce que le désespoir aussi est une illusion."

Lien : https://www.babelio.com/monp..
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Comme beaucoup je connaissais le film avant de lire le livre.. J'adore Philippe Djian et je préfere le livre au fulm. Cet auteur a un style bien à lui... Un langage parfois vulgaire mais le langage authentique de la vie quotidienne. Ne vous arrêtez à 37.2 learin lisez aussi Bleu comme l'enfer ou Maudit manège
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L'écriture de Djian me plait énormément. Elle est simple et complexe, elle est rock. Une histoire d'amour tragique comme je les aime. Des personnages attachants dans leurs folies, leurs excès, leurs douleurs. Un très beau livre.
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Je ne connaissais pas Philippe Dijan. La couverture du livre ne me donnait pas envie. Encore un de ces livres défraîchis qu'il m'arrive de piocher au hasard. J'ai mis quelques pages avant de rentrer dedans. Et puis finalement... une bombe ce livre. L'écriture, l'histoire, les personnages, on s'immerge négligemment et progressivement dans quelque chose de puissant. Je ne puis décrire autrement l'expérience que j'ai vécu à travers ce roman, et je n'ose trop en dire. A découvrir sans à priori.
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Une belle histoire d'amour originale, , personnages sont touchants avec leur mal de vivre. Récit à la première personne qui avec humour et sensualité raconte le quotidien d'un couplé trentenaire, leur descente aux enfers.
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