Le Velvet Underground passé à la moulinette socio
des maîtres à dé-penser Bourdieu, à étiqueter Becker, à diviser Durkeim
m'a d'abord filé une indigestion
qui s'est un peu dissipée quand l'auteur érudit,
Stéphane Dorin commence à parler du groupe,
de l'usine pop Factory et de la Warhol Compagnie...
La célèbre bande de velours formait une alchimie infernale.
Loin d'être un joyeux drille, Lou Reed avait le sens du phrasé
et un sacré Feeling, Maureen Tucker un frappé sauvage,
Sterling Morisson, une bonne rythmique, John Cale
apportait la touche artistique et Nico la sensualité et la beauté plastique.
La musique du Velvet Underground, me file toujours autant des frissons et la banane, j'en dirais pas autant pour ce livre prise de...chou.
A vos platines !
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